MauriceRonet, nom de scène de Maurice Julien Marie Robinet, est un acteur et réalisateur français né le 13 avril 1927 à Nice et mort le 14 mars 1983 à Paris (France). Biographie Enfance Fils unique né de l'union de deux comédiens, Émile Robinet et Gilberte Dubreuil (Émile Ronet et Paule de Breuil à la scène), il découvre dès sa petite enfance l'atmosphère MARIA PACOME Maria Pacôme, née Simone Pacôme 18 juillet 1923, Paris – 1er décembre 2018, est une comédienne et dramaturgefrançaise. Sommaire 1Biographie 2Comédienne théâtre ce soir 3Auteur de théâtre 4Distinctions 5Publication 6Notes et références 7Voir aussi connexes externes Biographie[modifier modifier le code] Simone Pacôme naît le 18 juillet 19231 et passe une partie de son adolescence en tant que vendeuse dans un magasin de chaussures. À l’âge de 18 ans, elle entre au cours Simon, où elle est condisciple de Michèle Morgan qui est déjà une actrice connue, et de Danièle Delorme. Elle rencontre un peu plus tard l’acteur Maurice Ronet, qu’elle épouse en 19502. Leur fils François Pacôme né en 1965 deviendra également comédien. Souhaitant laisser un complet épanouissement à la carrière de son mari sans lui faire de l’ombre, elle renonce à la scène, décidée à ne faire que de la poterie. Elle pratique ensuite la peinture, qui est aussi une de ses passions. Elle divorce de Maurice Ronet six ans après son mariage2. Cependant, son attrait pour le métier de comédienne ne s’est pas émoussé, elle désire remonter sur les planches. En 1958, sa carrière commence avec Oscar de Claude Magnier, aux côtés de Pierre Mondy et Jean-Paul Belmondo3. Citons également N’écoutez pas Mesdames de Sacha Guitry en 1962, Les Grosses Têtes de Jean Poiret et Michel Serrault en 1969, Joyeuses Pâques de Jean Poiret en 1981. Elle devient une des Reines du théâtre de boulevard et participe souvent à l’émission de télévision Au théâtre ce soir. Parce qu’elle en a assez de n’être qu’une bourgeoise exubérante dans ses rôles, elle décide d’écrire pour le théâtre des comédies qu’elle interprète, dont la première d’une série de sept a été Apprends-moi Céline en 1977, jusqu’à son spectacle seule en scène L’Éloge de ma paresse en 2002, en passant par On m’appelle Émilie et Les Seins de Lola. Sa première apparition à l’écran se fait, en 1959, dans le film Voulez-vous danser avec moi ? de Michel Boisrond. Elle interprète ensuite beaucoup de seconds rôles comiques au cinéma, comme dans Le Gendarme de Saint-Tropez, Les Tribulations d’un Chinois en Chine, Le Distrait. Elle sera néanmoins tête d’affiche au cinéma dans Les Sous-doués ou La Crise. À la télévision, elle joue dans la série Docteur Sylvestre. Maria Pacôme a publié ses mémoires en 2007 et en 2011prête sa voix à la mémé de Titeuf dans l’adaptation de la bande dessinée sur grand écran. Maria Pacôme meurt le samedi 1er décembre 2018 des suites d’une longue maladie4,5. Comédienne[modifier modifier le code] Cinéma[modifier modifier le code] 1959 Voulez-vous danser avec moi ? de Michel Boisrond Clémence 1960 Les Jeux de l’amour de Philippe de Broca Une cliente 1961 Le Tracassin de Alex Joffé Mme Gonzalès 1962 Un clair de lune à Maubeuge de Jean Chérasse la journaliste 1962 Que personne ne sorte de Ivan Govar Pauline 1963 Constance aux enfers de François Villiers Marie-Cécile 1964 Le Gendarme de Saint-Tropez de Jean Girault Mme Lareine Leroy 1964 Un drôle de caïd de Jacques Poitrenaud Tante Emma 1964 Les Gorilles de Jean Girault Josépha Dépelouze 1965 Les Tribulations d’un Chinois en Chine de Philippe de Broca Suzy Ponchabert 1966 Les Combinards de Riccardo Pazzaglia Lucienne 1966 Tendre Voyou de Jean Becker Germaine 1968 Un drôle de colonel de Jean Girault Aurélia 1969 La Maison de campagne de Jean Girault Véronique 1970 Le Distrait de Pierre Richard Glycia Malaquet 1974 Bons baisers… à lundi de Michel Audiard Myrette 1975 Pas de problème! de Georges Lautner Mme Michalon 1976 La Situation est grave… mais pas désespérée de Jacques Besnard Vicomtesse Sophie de Valrude 1976 Silence… on tourne de Roger Coggio la mère d’Elisabeth 1977 Le Dernier baiser de Dolorès Grassian l’inconnue 1980 Les Sous-doués de Claude Zidi Lucie Jumaucourt 1992 La Crise de Coline Serreau mère de Victor 1996 Le Bel été 1914 de Christian de Chalonge Maria 1997 Une femme très très très amoureuse de Ariel Zeitoun Emma 2003 Mauvais esprit de Patrick Alessandrin Belle-maman 2011 Titeuf, le film de Zep La mémé de Titeuf voix 2012 Arrête de pleurer Pénélope de Corinne Puget et Juliette Arnaud Lise Télévision[modifier modifier le code] 1962 Le Monsieur de 5 heures d’André Pergament Mme Précardant 1966 Sacrés Fantômes de Stellio Lorenzi 1966 Si Perrault m’était conté de Jean Bacqué 1968 Les Dossiers de l’Agence O de Marc Simenon, épisode l’Étrangleur de Montigny 1970 Les Enquêteurs associés de Gilles Grangier, Serge Korber et Jean Salvy, série TV, 13 épisodes Comtesse Olga de Charance 1982 Emmenez-moi au théâtre Apprends-moi Céline Céline 1986 Le Cadeau de Sébastien de Franck Apprederis Madeleine 1989 Les Seins de Lola de Pierre Badel Lola 1989 La Compagnie de Sarah de Stéphane Loison Sarah 1994 Adieu les roses de Philippe Venault Hortense 1995 Comment épouser un héritage? de Patrice Ambard Lulu Dorval 1995–1998 Docteur Sylvestre série TV, 14 épisodes Mlle Raynal 1998 Ça commence à bien faire! de Patrick Volson Janine 2001 Un couple modèle de Charlotte Brandström Maryse 2003 Une villa pour deux de Charlotte Brandström Marion 2005 Cyrano de Ménilmontant de Marc Angelo Andréa Morin 2005 Vénus et Apollon série TV, 1 épisode 2006 Les Secrets du volcan de Michaëla Watteaux Hortense Bertin 2012 Emma de Alain Tasma Eléonore Au théâtre ce soir[modifier modifier le code] 1966 Interdit au public de Roger Dornès et Jean Marsan, mise en scène Jean Le Poulain, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny Gabrielle Tristan 1969 Les Enfants d’Édouard de Marc-Gilbert Sauvajon d’après Frederick J. Jackson et Roland Bottomley, mise en scène Jean-Paul Cisife, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny Denise 1971 De doux dingues de Joseph Carole, mise en scène Jean Le Poulain, réalisation Georges Folgoas, théâtre Marigny Sophie 1972 Le Don d’Adèle de Pierre Barillet et Jean-Pierre Grédy, mise en scène Jean Le Poulain, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny Edmée 1974 L’Amant de madame Vidal de Georges Berr et Louis Verneuil, mise en scène Michel Roux, réalisation Georges Folgoas, théâtre Marigny Catherine Vidal 1975 Le noir te va si bien de Jean Marsan d’après Saul O’Hara, mise en scène Jean Le Poulain, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Édouard VII Lucie 1977 Appelez-moi maître de Renée et Gabriel Arout, mise en scène Georges Vitaly, réalisation Pierre Sabbagh, théâtre Marigny Tamara Théâtre[modifier modifier le code] 1956 La Reine et les insurgés d’Ugo Betti, mise en scène Michel Vitold, avec Edwige Feuillère, Michel Vitold, Laurent Terzieff, Maurice Pialat, théâtre de la Renaissance 1958 Oscar de Claude Magnier, mise en scène Jacques Mauclair, avec Pierre Mondy, Jean-Paul Belmondo, Mario David, théâtre de l’Athénée 1959 Oscar de Claude Magnier, mise en scène Jacques Mauclair, tournée Karsenty, théâtre des Célestins 1960 De doux dingues de Michel André, mise en scène Jean Le Poulain, théâtre Édouard VII 1960 Le Signe de kikota de Roger Ferdinand, mise en scène Fernand Gravey, théâtre des Nouveautés 1961 Coralie et Compagnie de Maurice Hennequin et Albin Valabrègue, mise en scène Jean Le Poulain, théâtre Sarah Bernhardt 1962 N’écoutez pas Mesdames de Sacha Guitry, mise en scène Jacques Mauclair, théâtre de la Madeleine 1963 Léon ou La Bonne Formule de Claude Magnier, mise en scène Jean Le Poulain, théâtre de l’Ambigu-Comique 1964 Quand épousez-vous ma femme de Jean Bernard-Luc et Jean-Pierre Conty, mise en scène Jean Le Poulain, théâtre du Vaudeville 1967 Interdit au public de Jean Marsan, mise en scène Jean Le Poulain, théâtre Saint-Georges 1969 Les Grosses Têtes de Jean Poiret et Michel Serrault, mise en scène Jean Poiret et René Dupuy, théâtre de l’Athénée 1970 Les Enfants d’Édouard de Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène Jean-Paul Cisife, théâtre des Bouffes-Parisiens 1971 Madame Jonas dans la baleine de René Barjavel, mise en scène Jacques Charon, théâtre des Bouffes-Parisiens 1971 Oscar de Claude Magnier, mise en scène Pierre Mondy, avec Louis de Funès, Gérard Lartigau, Mario David, théâtre du Palais-Royal 1972 Oscar de Claude Magnier, mise en scène Pierre Mondy, avec Louis de Funès, Gérard Lartigau, Mario David, théâtre du Palais-Royal 1972 Le noir te va si bien de Saul O’Hara, adaptation Jean Marsan, mise en scène Jean Le Poulain, avec Jean Le Poulain, Odette Laure, théâtre Antoine 1977 Apprends-moi Céline de Maria Pacôme, mise en scène Gérard Vergez, avec Daniel Auteuil, Gérard Chambre, théâtre des Nouveautés 1981 Le Jardin d’Eponine de Maria Pacôme, mise en scène Gérard Vergez, avec Michel Robbe, Madeleine Barbulée, Comédie des Champs-Élysées 1981 Joyeuses Pâques de Jean Poiret, mise en scène Pierre Mondy, théâtre du Palais-Royal, théâtre de la Michodière 1983 Joyeuses Pâques de Jean Poiret, mise en scène Pierre Mondy, théâtre Édouard VII 1984 On m’appelle Émilie de Maria Pacôme, mise en scène Jean-Luc Moreau, avec Patrick Bruel, Odette Laure, théâtre Saint-Georges 1987 Les Seins de Lola de Maria Pacôme, mise en scène Jean-Luc Moreau, avec François Perrot, Stéphane Hillel, théâtre Saint-Georges 1989 Pâquerette de Claude Magnier, mise en scène Francis Perrin, théâtre de la Michodière 1990 Et moi et moi de Maria Pacôme, mise en scène Jean-Luc Moreau, avec Marie-France Mignal, François Pacôme, théâtre Saint-Georges 1993 Les Désarrois de Gilda Rumeur de Maria Pacôme, mise en scène Jean-Luc Moreau, avec Michel Creton, théâtre Saint-Georges 1997 Une mesure d’avance d’Anne-Marie Étienne, mise en scène Adrian Brine, théâtre Saint-Georges 2002 L’Éloge de ma paresse de Maria Pacôme, mise en scène Agnès Boury, théâtre Montparnasse 2003 L’Éloge de ma paresse de Maria Pacôme, mise en scène Agnès Boury, théâtre de la Gaîté-Montparnasse 2004 L’Éloge de ma paresse de Maria Pacôme, mise en scène Agnès Boury, théâtre de la Michodière 2008 La Maison du lac d’Ernest Thompson, mise en scène Stéphane Hillel, avec Jean Piat, Béatrice Agenin, théâtre de Paris, en remplacement de Danielle Darrieux qui ne peut assurer son rôle après un accident. 2009 La Maison du lac d’Ernest Thompson, mise en scène Stéphane Hillel, avec Jean Piat, théâtre de Paris Auteur de théâtre[modifier modifier le code] 1977 Apprends-moi Céline 1981 Le jardin d’Éponine 1985 On m’appelle Émilie6 1987 Les Seins de Lola 1990 Et moi et moi 1993 Les Désarrois de Gilda Rumeur7 2002 L’Éloge de ma paresse Distinctions[modifier modifier le code] Nominations[modifier modifier le code] 1993 Nomination au César de la meilleure actrice dans un second rôle pour La Crise. 2003 Nomination au Molière du one man show pour L’Éloge de ma paresse Publication[modifier modifier le code] 2007 Maria sans Pacôme, Le Cherche Midi. Notes et références[modifier modifier le code] ↑ Notice de personne – Maria Pacôme » [archive], sur Bibliothèque nationale de France ↑ a et b Marie-Laure Delorme, Maurice Ronet, une hésitation devant la vie », Le Journal du dimanche,‎ 21 octobre 2013 lire en ligne [archive] ↑ Marion Thebaud, Maria Pacôme, actrice auteur en liberté », Le Figaro,‎ 13 décembre 2002, p. 29 ↑ La comédienne Maria Pacôme est morte à l’âge de 94 ans » [archive], sur France Info, 1er décembre 2018 consulté le1er décembre 2018 ↑ La comédienne Maria Pacôme, qui a joué dans La Crise » et Les Sous-Doués », est morte », Le Monde,‎ 1er décembre 2018 lire en ligne [archive] ↑ Actes Sud-Papiers, 1986 ISBN 978-2-86943-024-2. ↑ L’avant-scène théâtre, no 939, 1993 ISBN 2-7498-0363-2. Voir aussi[modifier modifier le code] Articles connexes[modifier modifier le code] Théâtre de boulevard Cinéma français Liens externes[modifier modifier le code] Notices d’autorité Fichier d’autorité international virtuel • International Standard Name Identifier • Bibliothèque nationale de France données • Système universitaire de documentation • Bibliothèque du Congrès • Gemeinsame Normdatei • Bibliothèque royale des Pays-Bas • WorldCat en Maria Pacôme [archive] sur l’Internet Movie Database Vous pourriez aussi aimer... EnfanceFils unique des comédiens Émile Ronet (Émile Robinet) et Paule de Breuil (Claire Salvi), mariés le 24 mars 1927 à Paris 12e, il découvre très tôt l'atmosphère et les difficultés du métier d'acteur, en accompagnant ses parents dans les tournées à travers toute la France. Bien que cette enfance ait été enrichissante, il ressent très rapidement le besoin Synopsis Pour rendre service à un compatriote empêtré - dit-il - dans une affaire sentimentale, Nicolas, jeune Français qui vit à Barcelone du commerce des glaces, cache dans sa voiture cet Alex qui vient, en fait, de cambrioler une bijouterie. Alex s'enfuit en lui laissant quelques billets Nicolas en dissimule une partie dans sa voiture et s'empresse d'employer le reste à combler de fleurs la jolie Maria qui danse au théâtre Molino et à régaler ses amis du café français où il a ses habitudes. Ceux-ci, attendris par de généreuses libations, s'attachent à ses pas et Nicolas passe la nuit à essayer de les semer pour être seul avec Maria. Mais il a été vu dans les parages de la bijouterie cambriolée et la police l'interroge sans preuves, elle le relâche mais le surveille. Il ne peut plus rentrer chez lui et ses jeunes clients mangeurs de glace, très fiers, le croyant coupable, de connaître un audacieux voleur, le cachent et organisent son transport en corbillard dans un refuge de banlieue. Leur héros » que la police recherche maintenant, est en danger, ne pouvant prouver son innocence et les enfants veulent le faire fuir sur un bateau en partance. Il lui faut donc de l'argent et le magot est chez lui, inaccessible. De plus, Nicolas est menacé de mort par un syndicat de cambrioleurs qui estiment qu'il leur doit une indemnité pour avoir chassé sur leurs terres. Que faire ? Une expédition est organisée par les enfants pour récupérer l'argent dans la voiture sous le nez de la police mais les amis du café, ayant eu vent de l'affaire, les devancent déguisés en peintres, décidés à faire fructifier ces capitaux. Ils seront bientôt déçus car la radio annonce que les numéros des billets ont été relevés et peu après que le vrai voleur est sous les verrous. Les enfants, très dépités aussi de s'être donné tant de mal pour un faux héros, abandonnent Nicolas sans même lui faire part de ces nouvelles qui l'innocentent. Les tueurs revendicatifs ignorent aussi l'arrestation d'Alex et poursuivent Nicolas tout au long de la folle nuit qu'il passe joyeusement, la croyant la dernière, en compagnie de Maria et de ses amis. A l'aube, tout le monde se retrouvera en prison, mais pour tapage nocturne, et Nicolas, qui a craint d'être accusé de complicité, pourra repartir, joyeux, avec Maria vers un heureux © Fiches du CinémaRegarder Le Voleur du Tibidabo en VODPlateformesModèleTarifQualitéDésolé, aucun résultat ne correspond à votre aucun résultat ne correspond à votre aucun résultat ne correspond à votre aucun résultat ne correspond à votre 6Production et distribution 3Générique détaillé 9Mentions techniquesLong-métrageSous-genres Comédie, PolicierLangue de tournage FrançaisOrigines France, EspagneNationalité Majoritaire français France, EspagneAnnée de production 1965Sortie en France 12/02/1965Etat d'avancement SortiVisa délivré le 09/02/1965Formats de production 35 mmType de couleurs Noir & blanc
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Parce que Louis de Funès en pédagogue énervé doit retrouver son fils fugueur...Mr Bosquier Charles dirige une pension pour fils de famille fortunés. Il est sévère, onctueux et injuste. Oui mais voilà son propre fils Philippe l'héritier du nom rate son bac pour cause de dilettantisme et d'inaptitude à l'anglais. Du coup le paternel organise pour les grandes vacances un séjour studieux en angleterre et l'accueil en échange de la jeune anglaise. Les cours de langues...1 min avant2 min aprèsLes avis sens critiqueLes + de filmo1 min avantUn de Funès sinon rien! Le revoilà le pétulant, le sanguin, l’abasourdi dans Les grandes vacances de Jean Girault, un grand cru de 1967. Cette fois l’agité est directeur d’un lycée pour gens huppés dont le fils, la honte de la famille, est recalé au bachot comme on disait à l’époque parce qu’il speake mal english. Du coup le paternel veut l’envoyer en Angleterre pour l’été et accueillir en échange la fille du le point de départ d’un film de clé des champs où ce bon Louis va se faire beaucoup de mauvais sang immédiatement transformé en grimaces et postillons. L’irremplaçable Claude Gensac joue la première dame, pour la première fois de sa vie d’artiste, elle récidivera 6 fois, Olivier de Funès fils du dragon dans la vie est le fils cadet du film et des acteurs délicieux comme Maurice Risch, Mario David ou Maria Pacôme sont eux aussi pris de grandes vacances, un sacré moment de détente. Dans le même genre vous pouvez trouver L'AILE OU LA CUISSE DE CLAUDE ZIDI 1976 Pour un autre affrontement père-fils, et une passation de pouvoir entre deux comiques générationnels de Funès et Coluche. Certes le roi Louis est fatigué mais le contraste entre sa personnalité explosive et celle plus nonchalante de Coluche mérite le détour. Entre le critique gastronomique irascible et son fils un artiste contrarié le dialogue passe mal, comme il passait difficilement d'ailleurs entre les deux publics. Une curiosité qu'on revoit avec tendresse. ou encore PASSE TON BAC D'ABORD DE MAURICE PIALAT 1978 Sur la thématique du sacro-saint baccalauréat supposé donner un viatique pour la vie professionnelle, le beau film désenchanté de Maurice Pialat ramène vers le réalisme et une époque déjà sinistrée par la crise. Le cinéaste observe un groupe d'élèves dans le nord de la France et les perspectives d'avenir sont peu encourageantes. La naissance du réalisme cruel du cinéaste de "Nous ne vieillirons pas ensemble" aux antipodes des satyres à la de Funès. On peut aimer les deux qui racontent deux époques d'une France optimiste puis saisie par le doute.. dequoi est mort maurice ronet. June 4, 2022 @ 6:59 pm. by . in david cross jeune. front mission 3 wiki Accueil Région Louviers A l’occasion de cette date anniversaire, du 25 juin au 3 juillet, Suzanne Lipinska, fondatrice de l’association culturelle du Moulin d’Andé en 1962, ouvre la boîte aux souvenirs. Article réservé aux abonnés
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Quelquepeu oublié aujourd’hui, cet acteur au « visage froissé », Maurice Ronet fut l’une des personnalités du cinéma préférées des Français durant les années 1960.On le considéra également comme le rival d’Alain Delon. Fils d’acteurs, Maurice Robinet voit le jour à Nice le 13 avril.Attiré par le théâtre, il suit des cours d’art dramatique au Centre du Spectacle de James BondUn article de Wikipédia, l'encyclopédie à Navigation, RechercherCet article concerne le personnage imaginaire. Pour les autres significations, voir James Bond homonymie. Logo de la série James Bond, également connu par son matricule 007, est un personnage de fiction créé en 1953 par l'écrivain et ancien espion britannique Ian Fleming. Espion des services secrets britanniques et grand séducteur, James Bond est rapidement devenu un personnage célèbre et apprécié du public. Après la mort de Fleming en 1964, les aventures de Bond furent successivement écrites par Kingsley Amis sous le nom de Robert Markham, John Gardner et Raymond Benson. De plus, John Pearson a écrit une biographie imaginaire de James Bond et, comme John Gardner et Raymond Benson, Christopher Wood a rédigé les novélisations de ses propres scénarios de films de James 1962, James Bond a fait l'objet de nombreuses adaptations cinématographiques. Quoique déjà reconnu du temps des romans de Fleming, c'est la longue série de films d'EON Productions qui en a fait un authentique mythe contemporain. Avec plus de vingt films en plus de quarante ans, celle-ci constitue l'une des plus longues sagas cinématographiques. Quelques productions indépendantes mais officielles mettant en scène James Bond furent aussi secret a également été décliné en bande dessinée, en jeu vidéo, en jeu de rôle et en 2005, Charlie Higson rédige une série de livres sur la jeunesse de James Bond. En juillet 2007, il a été annoncé que Sebastian Faulks serait l'auteur du nouveau livre ayant James Bond pour héros Le Diable l'emporte, prévu pour le 4 juin 2008[1].Sommaire [masquer]1 Genèse Création Débuts littéraires Le nouveau mythe du cinéma Après Fleming... 2 Présentation 3 Biographie Divergence sur l'année de naissance Jeunesse Au service secret de Sa Majesté Vie privée Habitudes et préférences Biographies alternatives Biographie moderne Autres théories 4 Univers Amis et ennemis Voitures, armes et gadgets 5 ¼uvres composant l'univers de fiction ¼uvres écrites Films Filmographie EON » Filmographie hors série » ou indépendante » Principaux acteurs Musique des films Jeux vidéo Bandes dessinées Autres produits dérivés 6 Influences 7 Anecdotes 8 Références 9 Notes 10 Traductions de 11 Bibliographie 12 Voir aussi Articles connexes Liens externes Genèse [modifier] Création [modifier]James Bond fut créé le mercredi 15 janvier 1952 à 9 heures heure jamaïcaine, soit 15 heures heure française, par le journaliste britannique Ian Fleming, qui fut également espion au cours de la Seconde Guerre mondiale, pendant ses vacances dans sa propriété en Jamaïque, Goldeneye. Pour baptiser son personnage, Ian Fleming reprit le nom d'un ornithologue, James Bond, dont il lisait l'ouvrage Birds of the West Indies. À ce sujet, Fleming annonce qu'il voulait simplement que le nom et le prénom soient le plus simple possible[trad 1]. Fleming prétend avoir créé James Bond pour se remettre du choc de son mariage, à quarante-trois ans, avec Ann plupart des biographes s'accordent à dire que James Bond est la projection idéalisée et romancée de Ian Fleming, l'homme qu'il aurait aimé être. Fleming et Bond partagent plusieurs traits physiques taille, coupe de cheveux, couleur des yeux, apprécient les mêmes repas ½ufs brouillés, café, possèdent les mêmes habitudes boisson, cigarette, aiment les mêmes styles de femmes, ont fréquenté les mêmes écoles, et ont suivi un chemin similaire dans la marine les deux étant montés au rang de commandant. Certains pensent que le charme sophistiqué de Bond est basé sur Hoagy Carmichael jeune[2].Pour ses histoires, Fleming a admis s'être en partie inspiré de son service dans la Naval Intelligence Division de l'Amirauté britannique. Cependant, les aventures de 007 comportent également une grande part d'imagination et de science-fiction où les jolies filles se succèdent, les méchants sont toujours vaincus et où le monde est toujours sauvé par l'agent britannique. Débuts littéraires [modifier]Après avoir terminé le manuscrit de Casino Royale, Fleming autorise son ami et futur éditeur, le poète William Plomer à le lire. Le livre plaît à Plomer qui le soumet à Jonathan Cape, mais celui-ci ne l'apprécie pas autant. Cape le publie finalement en 1953 sur la recommandation de Peter Fleming, grand frère de Ian Fleming réputé pour ses récits de voyage[3]. Par la suite, chaque aventure de James Bond suivra le même processus de rédaction prise de notes en automne, rédaction d'un premier jet pendant le séjour hivernal dans sa résidence en Jamaïque, corrections ou refonte en août-septembre, remise du manuscrit définitif à l'éditeur Jonathan Cape, qui le publie en avril de l'année suivante. Seul L'Homme au pistolet d'or ne connaîtra pas la phase de révision et mise au point, Ian Fleming étant mort premier tirage de Casino Royale, à 4 750 exemplaires, sort le 13 avril 1953 et met un mois pour s'écouler. Si la critique reçoit bien l'ouvrage, le succès reste faible. En juin 1954, les ventes totales ne s'élèvent qu'à 8 000 unités. En avril 1956, malgré trois ans de présence du héros dans les librairies, Jonathan Cape limite avec prudence le premier tirage des Diamants sont éternels à 12 500 Bond est véritablement devenu un personnage célèbre en littérature grâce à deux coups de projecteurs. Le premier en novembre 1956 lorsque le premier ministre britannique Anthony Eden passe trois semaines de convalescence en Jamaïque dans la résidence de Fleming, suscitant une certaine curiosité du public pour l'½uvre du romancier. Le second, plus décisif, arrive le 17 mars 1961 avec la publication dans Life de la liste des dix livres préférés de John Fitzgerald Kennedy, alors nouveau président des États-Unis Bons baisers de Russie arrive en neuvième position. Le succès en librairie explose du jour au lendemain aux États-Unis, pressant les producteurs d'accélérer la mise en chantier d'une première adaptation cinématographique. Le nouveau mythe du cinéma [modifier]L'adaptation de Bond se fait d'abord sur le petit écran avec une adaptation télévisée de Casino Royale en 1954. Malgré le maigre budget alloué, le feuilleton reçoit un accueil encourageant ; à tel point qu'une série télévisée est un instant envisagée. Intitulée Commander Jamaïca, elle aurait dû mettre en scène un certain James Gunn opérant depuis son yacht dans l'archipel des Caraïbes. Ce projet non abouti conduira Ian Fleming à écrire un script de trente pages, qui sera à l'origine du roman James Bond contre Dr. 1959, Fleming désire vendre les droits de son personnage à divers producteurs de cinéma dont Alfred Hitchcock, James Mason et Cary Grant. Ensuite sort le roman Opération Tonnerre qui aboutit à un procès en 1961. En effet Fleming avait ré-utilisé la trame d'un script rédigé conjointement avec deux autres scénaristes en 1959 pour ce qui aurait pu être la toute première aventure cinématographique de l'agent 007. Au final, c'est le producteur Kevin McClory qui obtient les droits pour l'adaptation cinématographique du roman qu'il utilisera plus tard d'abord pour un film en co-production avec Eon Productions en 1965, ensuite dans un remake indépendant intitulé Jamais plus jamais en l'adaptation de James Bond contre le Dr. No réalisée par Terence Young sort en 1962 et le succès est suffisant pour poursuivre la série avec la sortie en 1963 de Bons baisers de Russie. Mais c'est Goldfinger en 1964 qui fera exploser la carrière de Bond jusqu'à l'ériger au rang de star internationale en même temps que son interprète Sean n'aura pas le temps de profiter de ce succès. Il décède le 12 août 1964 d'un infarctus à l'âge de 56 ans. À sa mort, il avait déjà vendu 30 millions de romans ; un chiffre qui sera doublé dès l'année suivante. Après Fleming... [modifier]Le douzième et dernier roman de Fleming, L'Homme au pistolet d'or, est inachevé. Gildrose Publications demandent à l'écrivain Kingsley Amis qui a rédigé plusieurs études sur James Bond de rédiger un mémento concernant l'ouvrage. Malgré les réticences de la femme de Fleming, Gildrose décide alors d'autoriser Amis à poursuivre les aventures de l'agent secret. En 1968 sort le premier James Bond non-écrit par Fleming Colonel Sun mais les ventes n'ont pas le succés des livres originaux. Une autre tentative est faîte avec Les Aventures de James Bond Jr destiné aux enfants, toujours sans guère de succès et une biographie apocryphe de John Pearson en 1981 la famille Fleming retente en chargeant John Gardner de poursuivre les aventures littéraires de 007. Cette fois le succès revient et Gardner publie un nouveau roman par an jusqu'en 1995 où lui succède Raymond Benson, premier écrivain qui ne soit pas britannique à reprendre le flambeau, et qui continuera la série jusqu'en 2005 Charlie Higson approche la série par une série de cinq rétro-romans consacrés à La Jeunesse de James Bond dont le premier tome apparaît en tête des ventes dans les pays licence Glidrose, Samantha Weinberg a également commencé en 2005 une trilogie intitulée Les carnets secrets de Moneypenny et qui devrait se terminer en 2008 pour le centenaire de la naissance de Ian Faulks, auteur de romans à succès, a été missionné pour rédiger une nouvelle aventure de James Bond. Prévu spécifiquement pour le centenaire de Fleming et ne constituant pas a priori une nouvelle série mais bien un livre unique. Cet ouvrage, intitulé Le diable l'emporte, est sorti en mai côté des films, chaque histoire de Fleming a été adaptée jusqu'à Tuer n'est pas jouer en 1987. Par la suite, d'autres films sortent en se basant sur des scénarios inédits jusqu'à Quantum of Solace en 2008. Présentation [modifier] Le smoking, un costume souvent associé à James Bond est un espion des services secrets britanniques ayant le matricule 007 double-zéro 7 » le premier zéro signifiant qu'il a l'autorisation de tuer, le second qu'il l'a déjà » fait. Bond est commander dans la marine britannique, c'est-à-dire capitaine de frégate, mal traduit dans la version française des films par commandeur » ; il fait partie des troupes de la Royal Naval Reserve. Il est décoré de l'ordre de Saint-Michel et au long des livres, la description physique de Bond reste assez cohérente une carrure mince, une cicatrice verticale sur sa joue droite absente des films, des yeux bleu-gris, des cheveux noirs et courts, une mèche tombante sur le front, et, après le livre Casino Royale, la cicatrice de la lettre cyrillique Ш SH pour Shpion espion en russe sur le dos de l'une de ses mains tracée par un agent du SMERSH. Dans le livre Bons baisers de Russie, il est écrit que Bond mesure 1 m 83 de haut et pèse 76 est dépeint comme quelqu'un de très intelligent. Dans Goldfinger, il calcule dans sa tête combien de camions sont nécessaires pour transporter tout l'or de Fort Knox, et combien de temps l'or devrait être radioactif si la bombe d'Auric Goldfinger explosait. Dans Casino Royale, il montre son aptitude à calculer les probabilités de draws d'un jeu de carte dans un tournoi de poker. Dans les films, le génie » de Bond est d'ailleurs devenu un running gag durant la période Roger Moore, la blague disparut lorsqu'il fut remplacé par Timothy l'écran, il est connu pour se présenter par la phrase Mon nom est Bond, James Bond » dès qu'il en a l'occasion, une réplique devenue culte, et pour commander sa vodka-martini au shaker, pas à la cuillère. » Il est généralement vêtu d'un smoking l'habit qui le caractérise par excellence, et porte souvent une présente une certaine maîtrise de la majorité des sports, notamment la boxe, le judo, l'escrime et le ski. De plus, il a une pratique suffisante du golf, ce qui lui donne une certaine classe. En plus de l'anglais, il parle couramment plusieurs langues, dont l'allemand, le russe, le français et le japonais[4].Enfin, Bond est connu pour être un séducteur invétéré. La plupart des femmes qu'il rencontre finissent tôt ou tard par lui céder, qu'elles soient dans son camp ou non. Sexiste, James Bond s'attache rarement aux femmes et en change à chaque mission. Il se marie malgré tout une fois mais son épouse Tracy est assassinée juste après la cérémonie. Il est d'ailleurs courant que ses conquêtes perdent malencontreusement la vie parce qu'elles se trouvent mêlées à son aventure, mais il n'en semble jamais très affecté, n'étant pas du genre à révéler sa souffrance. Biographie [modifier] Divergence sur l'année de naissance [modifier]Hormis dans la série La Jeunesse de James Bond, l'âge de Bond est rarement défini dans les films ou les livres. Son âge se situe approximativement au niveau de la quarantaine. Beaucoup de biographes de Ian Fleming s'accordent à dire que celui-ci n'avait jamais pensé écrire autant d'aventures de James Bond et qu'il a dû bricoler » la vie de Bond et changer les dates pour s'assurer qu'il possédait l'âge approprié pour le service. Les acteurs qui ont incarné Bond à l'écran avaient des âges variés George Lazenby n'avait que 29 ans dans Au service secret de Sa Majesté, tandis que Roger Moore avait 57 ans dans Dangereusement vôtre, son dernier James sa biographie fictive sur l'agent secret, John Pearson donne à Bond la date de naissance du 11 novembre 1920[note 1], mais Fleming n'a jamais laissé entendre cela dans ses livres. Par contre, le roman On ne vit que deux fois fournit deux indices indiquant que l'année de naissance serait 1924. Dans l'histoire, pensant que celui-ci est mort, M écrit sa nécrologie où il indique que Bond a quitté l'école à 17 ans pour rejoindre le Ministère de la Défense en 1941 en se donnant 19 ans. Si Bond avait 17 ans en 1941, alors il serait né en 1924. De plus, Tiger Tanaka, le chef des services secrets japonais, dit que Bond est né l'année du Rat ce qui soutient l'année 1924. Cependant, dans Moonraker, Fleming écrit que l'âge de Bond est de 37 ans, ce qui signifierait probablement qu'il est né en 1918, lui en donnant 34 dans Casino complexe, John Griswold dans son livre autorisé Ian Fleming's James Bond Annotations and Chronologies lui donne la date de naissance du 11 novembre 1921. Griswold note que l'entrée de Bond au Ministère de la Défense est à l'origine daté dans le manuscrit de Fleming à 1939 et plus tard retardé à 1941. Griswold s'est un moment disputé pour que Bond ait rejoint l'Amirauté en 1939 la même année que pour Fleming et que 1941 soit l'année repère de son recrutement dans une organisation plus tard rattaché au Ministère de la Défense par Fleming. Griswold pense qu'un tas de détails dans la chronologie de Bond prennent plus de sens avec l'année originale de 1939. Par exemple, ses parents étant morts quand il avait 11 ans, Bond avait donc 11 ans du premier janvier au 10 novembre 1933 si l'on admet qu'il est né en 1921. Dans Casino Royale, 1933 est mentionné comme l'année où Bond a acheté » sa première Bentley. Puisque toutes les années de naissance envisagées font que Bond était trop jeune pour acheter sa Bentley, un scénario plus probable serait qu'il en aurait hérité au décès de son présenta son idée à Ian Fleming Publications en février 2003. La compagnie s'inspira de cette version pour la série La Jeunesse de James Bond où Bond est un adolescent des années 1930 dont l'auteur Charlie Higson indique qu'il est né en 1920. Dans cette série, la Bentley en question est achetée par Bond en décembre 1933 dans Poker fatal avec l'argent récolté en aidant quelqu'un à gagner à la roulette. Auparavant, Bond avait hérité d'une Bamford & Martin Sidevalve Short Chassis Tourer vers Pâques 1933 de son oncle comme son année de naissance, son lieu de naissance est aussi source de débat. Selon John Pearson, Bond est né à Wattenscheid, une petite ville près d'Essen en Allemagne. Charlie Higson, dans Opération Silverfin, déclare que Bond est né en Suisse. Jeunesse [modifier]James Bond est le fils d'un Écossais, Sir Andrew Bond of Glencoe, et de Monique Delacroix, une Suissesse du canton de Vaud. Leurs nationalités sont établies dans Au service secret de Sa Majesté. Fleming a accentué le côté écossais de Bond après avoir apprécié le portrait à l'écran de James Bond par l'acteur écossais Sean Connery, tandis que le nom de la mère de Bond s'inspire d'une fiancée suisse de Fleming. Une aventure prévue, mais jamais écrite, de James Bond aurait présenté la mère de Bond comme Écossaise. Selon l'héraldiste Griffon Or, du Collège of Arms, dans Au service secret de Sa Majesté, la famille paternelle remonterait à Norman Le Bond en 1180 dont la devise est Orbis non sufficit du latin Le monde ne suffit pas », ce qui corrige un peu les origines populaires du patronyme qui signifierait fermier, paysan, passe une bonne partie de ses jeunes années à l'étranger, ce qui lui permet de maîtriser parfaitement l'allemand et le français, grâce au travail de son père comme représentant à l'étranger de la firme britannique d'équipement militaire Vickers. À onze ans, Bond perd ses deux parents dans un accident d'alpinisme dans le massif des Aiguilles Rouges près de la mort de ses parents, il part vivre en Angleterre à Pett Bottom dans le Kent chez sa tante Charmian Bond qui achève son éducation. Il entre au Eton College aux alentours de l'âge de 12 ans[note 2] qu'il quitte au bout de deux semestres à cause de son comportement présumé » avec une domestique. Dans l'une des nouvelles de Bons baisers de Paris, il raconte cependant avoir perdu sa virginité lors de sa première visite à Paris à l'âge de 16 quitte Eton pour le collège de Fettes à Édimbourg en Écosse, l'ancienne école de son père où il se fait remarquer pour une aptitude à tous les sports, en particulier la boxe poids léger. Selon John Pearson et une allusion de Fleming dans Bons baisers de Russie, Bond a aussi étudié un temps à l'université de Genève. À l'exception de Fettes, la présence de Bond dans ces écoles s'établit de façon parallèle à la propre vie de Fleming. Le film On ne vit que deux fois affirme qu'il est diplômé de langues orientales à l'université de Cambridge. À un certain moment, il étudie aussi à l'Université d'Oxford pour apprendre le danois comme il est dit dans le film Demain ne meurt jamais. Bond peut parler plusieurs langues, notamment l'allemand, le français, le russe et le japonais. À plusieurs reprises, il existe des contradictions dans les films et les romans sur les langues qu'il dit 1941, Bond ment sur son âge pour pouvoir entrer dans la Royal Naval Reserve pendant la Seconde Guerre mondiale, d'où il sort avec le grade de commander. Bond conserve son rang alors qu'il est employé dans les services secrets britanniques. Il est promu capitaine dans Gagner, perdre ou mourir de John Gardner mais est redevenu commander depuis les romans de Raymond Benson. Il est aussi devenu membre de la Royal Naval Volunteer Supplementary Reserve RNVSR constituée d'officiers avec une grande expérience du terrain. Au service secret de Sa Majesté [modifier] Le MI6 est la section du renseignement britannique où travaille où James Bond est devenu un agent 00 n'est jamais explicitement située jusqu'à Casino Royale où sa mise en service est éclairée, bien que des références dans James Bond contre Dr. No laissent suggérer l'année 1952. Selon Fleming, après avoir joint le RNVSR, Bond aurait voyagé en Amérique, à Hong Kong et en Jamaïque. C'est à ce moment-là que Bond aurait rejoint une autre organisation comme le SOE, la branche 00 du Secret Intelligence Service ou même devenu commando dans le 30th Assault a gagné ses galons dans la section 00 en accomplissant deux missions énumérées dans Casino Royale. La première est l'assassinat de l'expert en chiffrement japonais au 36e étage du RCA Building du Rockefeller Center à New York. La seconde est l'assassinat d'un agent double norvégien, qui avait trahi deux agents britanniques, à Stockholm en le poignardant dans son Bond, obtenir le numéro 00 n'est pas si dur tant que l'on est préparé à tuer ; Pearson suggère que Bond a tué pour la première fois alors qu'il était adolescent. Dans les films et les livres, l'attitude de Bond envers son travail est la même il n'aime pas tuer et se protège par des blagues désinvoltes et des remarques impertinentes ce qui est souvent mal interprété comme une marque de sang froid[trad 2]. Dans les films, Bond n'a jamais montré de malaise dans le fait de donner la mort jusqu'à GoldenEye où il semble troublé par la brutalité de son travail tandis qu'il admet dans Le Monde ne suffit pas que le meurtre de sang froid est un sale Bond n'hésite pas à tuer lorsqu'il y est contraint, et commet dans les films des actes qui pourraient être considérés comme des meurtres en d'autres circonstances par exemple en tuant des ennemis désarmés par vengeance[5] ou des assassinats politiques[6]. Le James Bond littéraire reste réservé sur son permis de tuer, désobéissant parfois aux ordres en évitant de tuer s'il pense que la mission peut être accomplie d'une autre façon[7]. Bond a aussi un profond dégoût pour ceux qui tuent des personnes sans défense, en particulier si la victime est une femme. Il lui arrive d'abandonner ses v½ux envers la nation pour venger la mort d'innocents, comme il l'a fait pour Felix Leiter et sa femme assassinée dans le film Permis de les livres et les films, Bond a une attitude cavalière face à sa propre mort lorsqu'il est capturé, il accepte son sort et espère que le MI6 reniera son existence dans une telle situation. Il montre à plusieurs reprises qu'il sait parfaitement résister à la torture notamment dans Casino Royale, Le monde ne suffit pas et Meurs un autre jour sans jamais divulguer une seule information à ses tortionnaires. Vie privée [modifier]Quand il n'est pas en mission, Bond habite à Kings Road dans le quartier de Chelsea à Londres. Son appartement est entretenu par une vieille gouvernante écossaise nommé May, qui est très loyale et très maternelle envers 007. Selon La Jeunesse de James Bond, May travaillait auparavant pour la tante de Bond. Bond n'a presque jamais amené de femme chez lui, cela n'arrive qu'une fois dans les romans, entre Les Diamants sont éternels et Bons baisers de Russie, lorsqu'il vit temporairement avec Tiffany Case et une fois dans les films, dans Vivre et laisser mourir, M et Moneypenny viennent voir Bond à son appartement, ce qui l'oblige à cacher sa conquête du moment dans sa penderie. Selon les livres de Pearson et une allusion dans Bons baisers de Russie, Tiffany s'est souvent disputé avec May et est finalement partie. Dans son appartement, Bond possède deux téléphones un pour les appels personnels et un téléphone rouge en ligne directe avec les services secrets dont il est dit qu'il sonne toujours aux moments les femmes, Bond connaît de nombreuses conquêtes mais il s'agit pour la quasi-totalité d'amourette ou d'aventures d'une nuit. Il sort littéralement avec toutes les filles qu'il rencontre, et les abandonne dès qu'elles deviennent un inconvénient. Si son charme chauvin répulse certaines femmes au premier abord, il finit tout de même par leur faire de l'effet comme Holly Goodhead dans Moonraker ou Wai Lin dans Demain ne meurt jamais. Dans les films plus récents, son attitude envers les femmes est plus douce, il respecte le nouveau M qui est une femme et son supérieur, et quelques femmes comme Elektra King et Paris Carver ont un peu réussi à modifier son le film et le livre Au service secret de Sa Majesté, James Bond tombe pourtant amoureux et va jusqu'à se marier mais son épouse, Teresa Tracy » di Vicenzo, est tuée le jour de leurs noces par son ennemi juré, Ernst Stavro Blofeld ; ce drame le suit plusieurs années. Dans les livres, Bond a sa revanche dans le roman suivant, On ne vit que deux fois, quand par chance il retrouve Blofeld au Japon tandis que le Bond des films attrape Blofeld dans Les diamants sont éternels avec un résultat ambigu. Plus tard, dans le prégénérique de Rien que pour vos yeux, Bond élimine ce qui semble être Blofeld[note 3].Dans le livre On ne vit que deux fois, Bond a un enfant de Kissy Suzuki, bien qu'il n'apprenne jamais son existence dans les livres de Fleming. Dans le livre de Pearson, l'enfant s'appelle James Suzuki. Bond est clairement au courant de son existence dans la nouvelle Le Spectre du passé de Raymond Benson où son enfant lui demande de venir à New York pour une urgence avant d'être tué par Irma Bunt. Le statut officiel de l'histoire est souvent contesté car il s'agit d'une nouvelle rédigée hors de la chronologie de toutes les autres continuations, les propres romans de Benson compris. Habitudes et préférences [modifier]Bond est un fin gourmet qui donne des instructions méticuleuses sur la préparation de ses repas et de ses boissons. Son repas préféré est le petit-déjeuner et il adore les ½ufs à la coque de sa gouvernante May. La recette de ce plat, surnommé les ½ufs brouillés à la James Bond », est écrite dans la nouvelle 007 in New York. Il adore le caviar mêlé à du jaune d'½uf, les soles meunières, les crabes noirs, le gratin de queues de langoustes, les quenelles de brochet et la viande tendre qui se coupe à la fourchette. Pour son quatre heures », il commande souvent du foie possède une connaissance impressionnante des alcools. Il apprécie les vins, notamment le Rothschild 47 et le Piesporter Goldtropfchen 53. Il est aussi un grand amateur de champagne comme le Taittinger, le Bollinger et le Dom Perignon. Bond commande toujours une vodka-martini mélangée au shaker, pas à la cuillère » shaken, not stirred. Dans le roman Moonraker, il boit sa vodka d'un seul coup, servie avec une pincée de poivre noir ; une habitude prise lorsqu'il travaillait dans la région baltique. Il explique que ce n'est pas pour le goût mais parce que cela entraîne les impuretés dans les vodkas bon marché au fond du verre. En Floride, il préfère déguster un double Old Grandal sec. Il aime aussi le martini Gin et le bourbon. Au cours de ses aventures, Bond aurait consommé 317 boissons, dont 101 whisky, 35 sakés, 30 coupes de champagne et seulement 19 vodka-martinis soit une moyenne d'une boisson toute les sept pages[8].Dans les romans de Fleming, Bond est un gros fumeur. En moyenne, il fume quotidiennement une soixantaine de cigarettes, bien que dans certains livres, il essaie de freiner sa consommation afin de pouvoir accomplir certaines exercices physiques comme nager sous l'eau. Il est aussi forcé de réduire son nombre de cigarettes après avoir été envoyé dans un centre de remise en forme par son supérieur dans Opération Tonnerre. Les cigarettes favorites de Bond sont les Morland Specials fabriqués avec un tabac macédonien et avec un contenu plus élevé que la moyenne en goudron de Morlands of Grosvenor Street. La cigarette elle-même porte trois bandes dorées sur le filtre, tout comme le rang de commander de Bond. À partir des romans de John Gardner, Bond passe à des cigarettes avec un taux allégé en goudron issu de Morlands et plus tard de H. Simmons of Burlington Arcade. Dans les films, Bond fume par intervalle selon les humeurs de la société. Dans les films avec Connery, Lazenby et Dalton, Bond est un fumeur alors que les James Bond de Moore et de Brosnan ne fument jamais de cigarettes, bien qu'ils fument occasionnellement le cigare. Dans Demain ne meurt jamais, Brosnan fait la remarque à un Russe qui fume que c'est une mauvaise habitude. La dernière fois que Bond est vu en train de fumer une cigarette à l'écran remonte à 1989 dans Permis de tuer, jusqu'à 2002 dans Meurs un autre jour où il se rend à Cuba et qu'il fume des le penchant de Bond à vivre dans le luxe, son salaire est établi à 4 200 USD par an dans le roman Goldfinger 1959, soit 28 719,18 USD en 2008. Biographies alternatives [modifier] Biographie moderne [modifier]Le film Casino Royale de 2006 est une réinitialisation de la franchise qui raconte la première mission de Bond en tant qu'agent 00. Le site officiel du film donne une biographie détaillée de Bond parallèle à la backstory du personnage de Ian Fleming. Bond est né le 13 avril 1968 13 avril étant le jour où Casino Royale fut publié en 1953 et 1968 l'année de naissance de Daniel Craig. Ses parents, Andrew et Monique Bond, meurent dans un accident d'escalade, après quoi il fut élevé par sa tante Charmain dans le Kent en le personnage original, Bond est viré du Eton College et rejoint le collège Fettes où son père a étudié. Il suit des cours à l'université de Genève durant son passage à Fettes par le biais d'un programme d'échange étudiant. Après Fettes, il rejoint la Royal Navy et entre au Britannia Royal Naval College à l'âge de 17 service militaire de Bond est mieux documenté il rejoint le Special Boat Service de la Royal Navy, où il obtient le rang de Commander, puis il est placé dans le 030 Special Forces Unit[note 4]. Bond sert secrètement en Irak, Somalie, Iran, Libye et activement en Bosnie. Il est ensuite recruté par le RNR Defense Intelligence Group. Bond suit un parcours spécialisé dans les universités de Cambridge et d'Oxford à ce moment-là, décrochant un diplôme de langues orientales à Cambridge. Lorsqu'il rejoint le MI6, Bond est noté comme parlant couramment l'anglais, le français, l'allemand et l'italien, et pouvannt aussi parler le grec, l'espagnol, le chinois et le japonais. Au cours de sa formation, il reçoit des notes exceptionnelles en endurance physique, en logique et en Psychological Ops exercises. De 17 à 31 ans, il sert la Royal Navy, rejoint le MI6 à 32 ans et est promu agent 00 à 38 ans en 2006. Autres théories [modifier]Dans son concept de Wold Newton, l'écrivain Philip José Farmer suggère que Bond appartient à cette famille d'êtres exceptionnels aux côtés de Tarzan, de Sherlock Holmes, de Doc Savage et d'autres héros fictifs. Il existe aussi certaines théories qui veulent recouper Bond avec d'autres personnages de fiction, en suggérant que Bond est un Time Lord, comme dans Doctor controversé, le réalisateur de Meurs un autre jour Lee Tamahori pense que le nom James Bond » est un nom de code comme 007 donné aux meilleurs agents secrets. Cette théorie est censée expliquer les différents changements d'acteurs au cours de la série et donc les changements d'âge et d'apparence de Bond. L'idée fut lancée pour que Tamahori puisse inclure un caméo de Sean Connery dans le film, et ainsi expliquer comment il était possible que Connery et Brosnan soient tous les deux dans le film en tant que Bond[9].Tamahori explique sa théorie ainsi En gros, mon idée est qu'il existe plusieurs Bonds. James Bond n'est pas le vrai nom de l'homme, il s'agit juste d'un préfixe et d'un nom de code. C'est comme cela que je l'ai toujours vu depuis le remplacement de Connery par Lazenby. Comment cet homme peut-il rester toujours jeune ? Bien sûr que pour moi, il s'agit juste d'un préfixe et d'un nom de code. Cela signifie que Connery est mort ou à la retraite, que Moore est mort ou à la retraite et ainsi de suite. En suivant cela, cela vous permet la possibilité de mettre deux Bonds dans le film. Qu'arrive-t-il aux autres ? Sont-ils morts ou retirés du service ? »[trad 3]Cette théorie, tout comme le caméo avec Connery, fut rejetée par les producteurs Barbara Broccoli et Michael G. Wilson[note 5]. Le seul indice supportant cette théorie est la dernière phrase de Lazenby dans le prégénérique de Au service secret de Sa Majesté après que Tracy lui échappe Cela n'est jamais arrivé a l'autre type. » La théorie est condamnée par de nombreux admirateurs à cause de la continuité dans les films suivants lorsque la femme de Bond, Tracy, est mentionnée, notamment dans L'espion qui m'aimait où le James Bond de Roger Moore réagit émotionellement lorsque la mort de sa femme est mentionnée. Puis dans Rien que pour vos yeux où Bond se recueille devant la tombe de sa femme ; et dans Permis de tuer où Felix Leiter se refère au mariage de Bond. Plus récemment dans Le Monde ne suffit pas, lorsqu'Electra demande à Bond s'il n'a jamais perdu quelqu'un qu'il aimait, Bond ne répond pas et change immédiatement de sujet. De plus, de temps en temps, Bond est vu avec des gadgets et des armes issus de films précédents dont il se souvient que James Bond ne soit qu'un nom de code pour plusieurs agents est présente également dans le film parodique Casino Royale de 1967 où le James Bond initial est un vieux gentleman interprété par David Niven qui admoneste M de donner son matricule et son nom à un jeune agent impétueux dont la description ressemble au Bond de Sean Connery. Plus tard dans le film, six autres agents du MI6 reçoivent le nom de James Bond 007 », dont Vesper Lynd et Evelyn Tremble. Univers [modifier] Amis et ennemis [modifier] Articles détaillés Liste des alliés de James Bond, James Bond girls et Liste des méchants de James supérieurs de Bond et les autres officiers du MI6 sont généralement désignés par des lettres. Les plus connus sont M, le directeur du MI6, et Q, le responsable de l'équipe qui fournit les gadgets de Bond. Si M a pu être joué par des acteurs différents au cours des films M est une femme dans les derniers Bond, Q a pratiquement toujours été interprété par Desmond Llewelyn avant d'être remplacé à la mort de l'acteur par R dans les films, il est expliqué que Q a pris sa retraite. Dans les romans, James Bond a deux secrétaires, Loelia Ponsonby et Mary Goodnight, dont les rôles dans les films sont transférés sur la secrétaire de M, Miss Moneypenny. Dans les films, lorsque Bond attend d'entrer dans le bureau de M, il se livre traditionnellement à un léger flirt avec Bond est amené à travailler avec son vieil ami de la CIA, Felix Leiter. Dans les films, Leiter apparaît régulièrement durant la période avec Sean Connery, seulement une fois aux côtés de Roger Moore, et dans les deux films de Timothy Dalton ; cependant, il est à chaque fois incarné par un acteur différent. Absent dans les films avec Pierce Brosnan même s'il est remplacé par Jack Wade, Leiter revient dans Casino Royale 2006 et dans Quantum of Solace 2008.Les conquêtes de Bond communément appelées les James Bond girls n'apparaissent généralement que dans un épisode. Amies ou ennemies, elles portent souvent des noms à double sens Pussy Galore[note 6] », Plenty O'Toole[note 7] » ou Xenia Onatopp[note 8] ».James Bond possède aussi de nombreux ennemis. Dans les premiers romans, l'ennemi est le SMERSH, organisation criminelle soviétique. Ian Fleming crée dès le début des années 1960 le SPECTRE, que l'on retrouvera par la suite d'une manière directe ou non chez les autres auteurs, tels que John Gardner ou Raymond Benson. Régulièrement, l'agent 007 aura à affronter des organisations secrètes ennemies, telles BAST et le Syndicat. Au cours des premiers films jusqu'à Vivre et laisser mourir, l'ennemi principal de James Bond est le SPECTRE, un réseau criminel d'envergure, avec à sa tête Ernst Stavro ce soit dans les romans ou les films, il n'existe qu'une poignée de personnages récurrents dans James Bond. Parmi les plus mémorables se trouvent Bill Tanner, René Mathis, Felix Leiter, Jack Wade, Requin, Pepper et plus récemment Charles Robinson. Voitures, armes et gadgets [modifier] Articles détaillés Liste des voitures de James Bond et Liste des gadgets de James Bond. L'Aston Martin visible dans Tuer n'est pas gadgets et les véhicules tiennent une part importante dans les missions de James Bond. Ces objets s'avèrent très précieux dans la réussite de ses romans de Fleming et les premières adaptations à l'écran ne laissent qu'une petite place à l'équipement comme Bons baisers de Russie avec la mallette explosive. Dans James Bond 007 contre Dr. No, l'équipement de Bond est constitué d'un compteur Geiger et d'une montre-bracelet avec un côté lumineux et radioactif. Toutefois, au début du film, le major Boothroyd - chargé des équipements techniques et principalement de l'armurerie - parvient sur la demande pressante de M à contraindre Bond d'abandonner son Beretta fétiche pour le Walther PPK. Le rôle de Boothroyd est repris dans Bons baisers de Russie par l'acteur Desmond Llewelyn que l'on reverra dans ce même rôle de conseiller technique dans les épisodes ultérieurs, mais renommé Q ».Les gadgets commencent à prendre cependant une place plus spectaculaire dans le film Goldfinger de 1964. Le succès du film encourage à mettre plus en avant l'équipement de l'agent secret avec la section Q » qui équipe 007. Les gadgets de Bond peuvent s'avérer surréalistes, comme dans le film penchant vers la science fiction Moonraker 1979 ou dans Meurs un autre jour 2002 où la voiture de Bond peut devenir invisible. Photo de la montre-bracelet Rolex les films, le plus célèbre gadget avec qui Bond a été associé est certainement sa montre-bracelet qui intègre plusieurs options très sophistiquées. Plusieurs modèles ont existé, mais la plus célèbre est la Rolex Submariner, qui apparaît au cours des films avec Sean Connery. Le James Bond de Roger Moore préfère les montres à quartz Seiko tandis que celui de Pierce Brosnan et de Daniel Craig porte une les romans, Bond accorde une extrême attention à sa Bentley de 1939. Souvent endommagée, il dépense une fortune pour la remettre en état. À l'écran, la première voiture de Bond est effectivement une Bentley dans James Bond 007 contre Dr. No, mais la plus célèbre voiture de James Bond reste l'Aston Martin DB5 grise visible dans le film Goldfinger qui est la première voiture équipée d'une série de gadgets. Par la suite, plusieurs films ont utilisé un certain nombre de modèles différents d'Aston Martin. Le Walther PPK, arme symbolisant James choix de la montre de Bond, tout comme sa voiture, dépend du style mais aussi d'intérêts financiers liés aux arrangements avec les fabricants. Par exemple, suite à un contrat passé avec la marque, Bond troque temporairement son Aston Martin pour une BMW durant trois films de 1995 à de Bond dans le premier film est un Beretta 6,35 mm ; il est ensuite remplacé par le Walther PPK 7,65 mm plus performant. Le PPK est alors utilisé dans les films suivants et devient l'arme de prédilection du héros jusqu'à Demain ne meurt jamais où Bond change pour le Walther P99 plus puissant. Depuis, Bond n'a pas changé d'arme. ¼uvres composant l'univers de fiction [modifier] ¼uvres écrites [modifier]En février 1952, Ian Fleming commence l'écriture de son premier James Bond. À cette époque, il était le responsable à l'étranger des journaux du groupe Kemsley, propriétaire du Daily Express à Londres. Fleming demandait deux mois de vacances annuelles dans son contrat, le temps pour lui d'écrire en Jamaïque. De 1953 à sa mort en 1964, il publiera douze romans et un recueil de nouvelle un second recueil fut publié posthume.Plus tard, les aventures de Bond se poursuivirent sous la plume de Kingsley Amis sous le nom de Robert Markham, de John Gardner, de Charlie Higson et de Raymond Benson, qui fut le premier auteur américain de James Bond la dernière aventure fut publiée en 2002. La série de livres La Jeunesse de James Bond de Charlie Higson a commencé en 2005[10],[11].En 2008, pour le centenaire de la naissance de Ian Fleming, Ian Fleming Publications a publié un nouveau roman se situant historiquement dans la continuité des oeuvres de Fleming. Le diable l'emporte Devil May Care a été rédigé par Sebastian Faulks et, malgré son succès, ne devrait constituer qu'une oeuvre unique et non pas une nouvelle série. Article connexe Romans de James Bond. Films [modifier] Filmographie EON » [modifier] Pays dans lesquels s'est rendu James Bond au cours de ses droits d'adaptation des livres au cinéma appartiennent conjointement à EON et United Artists. Mais une faille légale a permis à Kevin McClory de réaliser Jamais plus jamais, un remake d'Opération Tonnerre en 1983. Depuis, United Artists et MGM ont protégé la marque James Bond », et aucune autre adaptation ne peut être tournée sans leur films produits par EON Productions ont généralement été tournés aux Pinewood Studios situés dans un comté du Buckinghamshire près de chacun de ces films commence par la même introduction montrant un rond blanc sur fond noir à l'intérieur duquel Bond se déplace avant de faire feu vers le spectateur, puis l'écran rougit et le logo 007 terminé par un pistolet apparait, le tout accompagné du James Bond theme, chanson composée par Monty Norman. S'ensuit un prégénérique au cours duquel Bond termine une mission généralement en rapport avec le reste du film, sauf pour Dr No sans prégénérique, Goldfinger en rapport avec le premier chapitre du roman, Rien que pour vos yeux et Octopussy. Enfin, le générique met en scène des femmes en ombre chinoise, dans une sorte de ballet fantasque et sensuel. La majorité des génériques sont conçus par Maurice Binder 14 contributions.À la fin des années 1950, la société EON Productions s'approprie les droits pour les adaptations filmographiques de tous les livres de James Bond en-dehors de Casino Royale dont les droits ne seront achetés qu'en 1999[12] et d'Opération Tonnerre détenus par Kevin McClory. Ainsi en 1962, le premier roman adapté à l'écran est Dr. No, avec Sean Connery dans le rôle de 007. Connery incarnera l'agent secret dans cinq autres films, il sera ensuite remplacé à l'écran par George Lazenby pour 1 film, Roger Moore pour 7 films, Timothy Dalton pour 2 films, Pierce Brosnan pour 4 films et Daniel Craig 2 films. En 2008, 22 films ont été tournés. Un nouveau film, dont le titre est encore inconnu, est Titre français Titre original Année Réalisateur Acteur BudgetUSD Total Box-officeUSD Total Box-office ajusté **USD 1 James Bond 007 contre Dr. No 1962 Terence Young Sean Connery 1 000 000 59 600 000 388 037 628 2 Bons baisers de Russie From Russia with love 1963 2 500 000 78 900 000 508 104 954 3 Goldfinger Goldfinger 1964 Guy Hamilton 3 500 000 124 900 000 794 800 903 4 Opération Tonnerre Thunderball 1965 Terence Young 5 600 000 141 200 000 886 994 986 5 On ne vit que deux fois You Only Live Twice 1967 Lewis Gilbert 9 500 000 111 600 000 669 906 721 6 Au service secret de Sa Majesté On Her Majesty's Secret Service 1969 Peter Roger Hunt George Lazenby 7 000 000 87 400 000 489 303 677 7 Les diamants sont éternels Diamonds are forever 1971 Guy Hamilton Sean Connery 7 200 000 116 000 000 581 819 757 8 Vivre et laisser mourir Live and Let Die 1973 Roger Moore 7 000 000 161 800 000 753 224 370 9 L'Homme au pistolet d'or The Man with the Golden Gun 1974 7 000 000 97 600 000 427 829 913 10 L'Espion qui m'aimait The Spy Who Loved Me 1977 Lewis Gilbert 14 000 000 185 400 000 634 304 309 11 Moonraker Moonraker 1979 34 000 000 210 300 000 627 863 628 12 Rien que pour vos yeux For Your Eyes Only 1981 John Glen 28 000 000 195 300 000 460 741 749 13 Octopussy Octopussy 1983 27 500 000 187 500 000 377 621 373 14 Dangereusement vôtre A View to a Kill 1985 30 000 000 152 400 000 285 151 891 15 Tuer n'est pas jouer The Living Daylights 1987 Timothy Dalton 40 000 000 191 200 000 338 879 453 16 Permis de tuer License to Kill 1989 42 000 000 156 200 000 256 701 197 17 GoldenEye GoldenEye 1995 Martin Campbell Pierce Brosnan 60 000 000 353 400 000 463 577 113 18 Demain ne meurt jamais Tomorrow Never Dies 1997 Roger Spottiswoode 110 000 000 346 600 000 430 648 471 19 Le monde ne suffit pas The World Is Not Enough 1999 Michael Apted 135 000 000 390 000 000 468 969 175 20 Meurs un autre jour Die Another Day 2002 Lee Tamahori 142 000 000 456 000 000 508 229 469 21 Casino Royale Casino Royale 2006 Martin Campbell Daniel Craig 140 000 000 594 293 106 594 293 106 22 Quantum of Solace Quantum of Solace 2008 Marc Forster 230 000 000 23 Bond 23 Bond 23 2010 Totaux Films 1-22 6 acteurs 848 200 000 4 397 593 106 10 947 003 843 *. en Chiffres du 6 mai 2007, Les totaux sont ajustés sur les chiffres de 2006 selon l'indice des prix à la données proviennent de différents sites web[13],[14],[15],[16]. Filmographie hors série » ou indépendante » [modifier]La dénomination de films non officiels est évitée dans cet article, dans la mesure où lorsque ces oeuvres ont été mises sur le marché, les producteurs en détenaient les droits de manière officielle. On leur préfèrera plutôt la dénomination de films hors série » ou indépendants. »En 1963, Kevin McClory, qui participa avec Ian Fleming et Jack Whittingham à l'écriture d'un scénario de film qui ne vit jamais le jour, obtint définitivement les droits cinématographiques du roman que Ian Fleming avait publié sous le titre d'Opération Tonnerre d'après ce même scénario. Les descendants de McClory sont toujours propriétaires de ces droits, contrairement à Royale de William H. Brown Jr., télédiffusé le 21 octobre 1954. En 1954, CBS paye Ian Fleming pour obtenir le droit d'adapter Casino Royale dans une aventure d'une heure dans le cadre de sa série Climax!. Dans ce téléfilm américain, James Bond joué par Barry Nelson est renommé en Jimmy Bond et est un espion américain travaillant pour la CIA, Clarence Lieter est un agent britannique joué par Michael Pate et Peter Lorre est Le Chiffre. Casino Royale de John Huston, Ken Hughes, Val Guest, Robert Parrish et Joseph McGrath 1967. Aux côtés de Deborah Kerr et Barbara Bouchet, David Niven joue, dans ce film parodique, le rôle de James Bond. Niven était en fait la préférence de Fleming pour représenter l'agent secret[17] mais EON Productions choisit Sean Connery. Niven est le seul James Bond dont le nom est mentionné dans l'un des romans de Fleming[18]. Jamais plus jamais de Irvin Kershner avec Sean Connery 1983. En 1983, une voie légale, après une longue bataille juridique, a permis à Kevin McClory de produire un remake de Opération Tonnerre, dont il avait été producteur, avec le même Sean Connery, présenté par la promotion du film comme le vrai James Bond. Dirigé par Irvin Kershner qui venait de réaliser L'Empire contre-attaque, le film sortit en même temps qu'Octopussy, avec Roger Moore dans le rôle principal, mais reçut malgré tout un très bon accueil quoiqu'inférieur à Octopussy. James Bond Junior 1991 il s'agit d'une série d'animation lancée par EON Productions mettant en scène les aventures du neveu du célèbre espion. Depuis, MGM a acheté le nom de James Bond » rendant très improbables de futures productions en-dehors des circuits EON Productions. Cependant, Kevin McClory étant décédé en 2006, sa famille est toujours détentrice des droits cinématographiques d'Opération Tonnerre, du SPECTRE et de Blofeld, droits que EON Productions ne peut s' Année Acteur Total au box-officeUSD BudgetUSD Total au box-office ajusté **USD Casino Royale — épisode télé 1954 Barry Nelson non applicable inconnu non applicable Moonraker — programme radio 1956 Bob Holness non applicable non applicable non applicable Casino Royale — parodie 1967 David Niven 44 400 000 12 000 000 272 980 000 Jamais plus jamais 1983 Sean Connery 160 000 000 36 000 000 329 880 000 James Bond Junior — série animée 1991 non applicable non applicable inconnu non applicable Principaux acteurs [modifier]De 1962 à 2008, six acteurs ont interprété James Bond dans la série produite par EON - 1967, 1971 Sean Connery VF Jean-Pierre Duclos puis Jean-Claude Michel est encore inconnu lorsqu'il prend le rôle de Bond. Les producteurs n'avaient en effet pas les moyens de se payer une vedette pour un film de série B. Le James Bond cynique et un peu sexiste, proche de celui que décrivait Fleming dans ses romans, de Sean Connery obtient un succès immédiat et le propulse au rang de vedette internationale. 1969 George Lazenby VF Jean-Claude Michel ne réussit pas à convaincre le public qui ne digère pas le départ de Connery. En conflit avec ses producteurs, son contrat n'est pas reconduit après le film. Au service secret de Sa Majesté est le premier James Bond à terminer mal une autre raison possible au mauvais accueil du public. 1973 - 1985 Roger Moore VF Claude Bertrand parvient à imposer sa propre image de James Bond en apportant l'humour particulier qui devint ensuite si caractéristique de l'agent secret. En date de 2008, il est l'acteur à avoir tourné le plus de James Bond sous le label EON. 1987 - 1989 Timothy Dalton VF Edgar Givry puis Guy Chapellier décide de se rapprocher du jeu de Sean Connery. Son Bond est froid et professionnel, mais reste plus humain que l'original. L'accueil de sa prestation est mitigée. 1995 - 2002 Pierce Brosnan VF Emmanuel Jacomy reprend le rôle de l'agent secret après quelques années d'absence. Après ces années de ballotements, la prestation de Brosnan est décisive et celui-ci est attendu au tournant. GoldenEye est un succès planétaire et relance la carrière de Pierce Brosnan tout en redonnant un souffle à la série. 2006 - ? Daniel Craig VF Éric Herson-Macarel s'avère être un choix surprenant de la production car il est le seul acteur blond. Cependant, son premier film, Casino Royale, est salué par la critique et par les spectateurs, quoique l'humour et les gadgets qui caractérisaient les autres films aient tendance à disparaître pour une réalisation plus noire. Quantum of Solace, son deuxième film, adopte un ton moins sombre et concentre plus de scènes d'action. Sean Connery George Lazenby Roger Moore Timothy Dalton Pierce Brosnan Daniel Craig Musique des films [modifier] Article détaillé Musiques de James Bond Theme, la fameuse chanson qui accompagne le traditionnel générique des James Bond d'EON Productions, a été composé par Monty Norman en 1960 puis orchestré pour la première fois par John Barry pour James Bond contre Docteur No en 1962. À l'origine, cette chanson, signature significative, était une chanson créée par Monty Norman dans les années 1950 sous le titre de A House for Mister Biswas. La version retouchée » donnera le James Bond Theme. La paternité de cette musique a été la source d'un long procès entre les deux auteurs, mais Monty Norman a finalement eu gain de cause en a continué de composer les musiques de onze films de Bond en plus de sa contribution non créditée pour Docteur No, et devient crédité avec la composition de 007, un morceau utilisé comme thème alternatif dans plusieurs films, tout comme le célèbre thème orchestré On Her Majesty's Secret Service. James Bond Theme et On Her Majesty's Secret Service ont tous deux été remixés de nombreuses fois par des artistes célèbres, tels que Art of Noise, Moby, Paul Oakenfold et Propellerheads. Les Beatles ont utilisé une partie du James Bond Theme dans l'introduction de leur chanson Barry fut suivi par d'autres compositeurs et producteur de musique comme George Martin, Bill Conti, Michael Kamen, Marvin Hamlisch et Éric Serra. Depuis le début du XXIe siècle, David Arnold est le compositeur choisi pour la série, et a récemment composé la musique de son quatrième James Bond, Casino musiques des James Bond sont reconnues, notamment pour les musiques thématiques que l'on entend pendant le générique d'ouverture de chaque film et qui sont interprétés par des chanteurs connus comme Shirley Bassey, Nancy Sinatra, Sheryl Crow, Tina Turner, Paul McCartney, Madonna ou encore Tom Jones. Au service de Sa Majesté est le seul film à n'avoir qu'un thème purement instrumental, une ballade de Louis Armstrong We Have All the Time in the World. Bien que beaucoup de ces thèmes furent de gros succès, le seul thème à devenir n°1 des charts aux États-Unis fut A View to a Kill de Duran Duran en Easton est la seule chanteuse à apparaître dans le générique d'un film, en l'occurrence lorsqu'elle chante le thème de Rien que pour vos yeux. Madonna est la seule interprète d'un thème à apparaître comme personnage à l'intérieur même du film ; non créditée, elle apparait comme professeur d'escrime, Verity, tout en ayant enregistré le thème de Meurs un autre Cornell interprète You Know my Name pour Casino Royale 2006. Il s'agit du premier chanteur masculin à enregistrer une chanson de Bond depuis a-ha en 1987 dans Tuer n'est pas jouer. C'est aussi le premier thème d'un James Bond depuis Octopussy en 1983 à porter un nom différent de celui du 1998, la musique de On ne vit que deux fois, composée par John Barry est adaptée dans le morceau Millennium par le producteur et compositeur Guy Chambers pour Robbie Williams. Le clip montre Robbie Williams en parodie de James Bond, et comporte des références à d'autres films de Bond comme Opération Tonnerre et Bons baisers de Russie. Le clip fut tourné aux Pinewood Studios où la plupart des films de Bond ont été Of Solace a comme thème principal Another Way to Die interprété par Jack White et Alicia Keys. C'est le premier thème où il y a un duo. Courant septembre 2008, un bout de la version instrumentale de Another Way to Die à été diffusée pour un spot de publicité pour Coca-Cola Zero, ce que n'a pas apprécié Jack White. À l'origine, Amy Winehouse devait interpréter le thème de Quantum Of Solace mais suite à ses déboires au courant de l'année 2008, on lui a refusé l'interprétation, ce qui l'a quelque peu irritée. Elle aurait décidé de créer un thème non officiel de Quantum of Solace. Jeux vidéo [modifier] Article détaillé Jeux vidéo de James Bond 007, le premier jeu vidéo de James Bond, développé et produit par Parker Brothers, sort en 1983 sur Atari 2600, Atari 5200, Atari 800, Commodore 64, et Colecovision. Depuis, de nombreux jeux vidéo basés sur les films ou sur une histoire originale ont été produits. Généralement, l'apparence du James Bond qu'intègre le joueur ressemble à celle de l'acteur choisi pour tourner les films à ce moment-là, tout comme les autres étape est marquée en 1997 avec le GoldenEye 007 développé par Rare pour la Nintendo 64 qui obtient un énorme succès. En conséquence, tous les jeux vidéo de James Bond qui ont suivi ont essayé de reproduire l'exploit avec plus ou moins de réussite ; quitte à aller plus loin pour avoir le jeu GoldenEye Au service du mal qui n'a que peu de chose en commun avec le jeu vidéo GoldenEye 007 ou le film du même qu'il a acquis la licence en 1999, Electronic Arts EA a sorti huit jeux, cinq ayant leur propre histoire, dont le populaire 007 Quitte ou double qui s'éloigne du jeu de tir subjectif introduit avec GoldenEye 007 pour une vue à la troisième personne. En 2005, EA sort un autre jeu dans la même veine, Bons baisers de Russie, qui est cette fois une adaptation du film homonyme. Le James Bond virtuel reprend pour l'occasion les traits de Sean Connery, l'acteur lui-même a prêté sa voix pour le jeu après 34 ans d' 2006, Activision s'approprie la licence, initialement partagé avec EA. Le contrat devient exclusif en septembre 2007 et la sortie du prochain jeu James Bond se fera en même temps que celle de Quantum of Solace, vers novembre 2008 et portera le même nom que le film. Celui-ci sera basé sur les histoires de Casino Royale et de Quantum of Solace. Bandes dessinées [modifier]En 1957, le Daily Express, un journal tenu par Lord Beaverbrook, approche Ian Fleming pour qu'il adapte ses histoires en comic strip. Au départ réticent, Fleming accepte et le premier strip Casino Royale est publié le 7 juillet 1958 pour produire une planche hebdomadaire jusqu'au 13 décembre 1958. Le comic est illustré par John McLusky jusqu'en 1963 date où il est remplacé par Yaroslav Horak et scénarisé par Henry Gammidge et Anthony Herne supervisés par Ian Fleming en personne puis à partir de 1963 par Jim Lawrence. C'est le Daily Express qui en premier lance ensuite un sondage parmi ses lecteurs pour qu'ils désignent plus tard l'acteur idéal pour incarner le personnage de Bond au cinéma ; les résultats du sondage influenceront grandement le choix d'Albert Broccoli et de Harry Saltzman en 1964, Takao Saito, adapte en manga plusieurs James Bond connu sous le nom de série des 007 publiés chez Golden nombreuses aventures de James Bond ont ainsi été illustrées jusqu'en 1977, comprenant tous les livres de Fleming, ainsi que le Colonel Sun de Robert Markham, et la plupart des nouvelles de Fleming. Par la suite, le comic strip produit ses propres histoires jusqu'en 1983 avec des aventures inventées par Doug Moench et un dessin de Paul Gulacy. En France, les bandes de James Bond ont été publiés dans Le Courrier de l'Ouest durant les années 1970 ainsi que dans France Soir et différents quotidiens régionaux à partir de éditions Glénat ont édité en 1988 un album reprenant des épisodes de Yaroslav Horak L'Homme au pistolet d'or et Tuer n'est pas jouer. Dark Horse France a sorti en 1995 trois albums d'une histoire intitulée La Dent du serpent Moench/Gulacy. Titan Books est actuellement en train de réimprimer ces comic strips dans une série de roman graphique ; fin 2005, toutes les adaptations basés sur les romans de Fleming et Colonel Sun avaient été comics ayant adapté les films de James Bond ont été publiés au cours des ans, tout comme de nombreuses histoires originales. Autres produits dérivés [modifier]En 1965, Playcraft Toys Ltd, une branche de Mettoy, qui depuis quelques années s'était lancé dans les maquettes de véhicules issus de séries télévisées, passe un contrat avec EON Productions pour commercialiser des répliques miniatures des véhicules de James Bond[19]. À cet époque, la série est plutôt considérée pour les adultes mais EON Productions pense que le succès de Goldfinger et surtout la mise en avant des gadgets dans le futur film Opération Tonnerre permettra d'attirer un public plus qui produit alors une modèle réduit de l'Aston Martin DB4 décide de retirer ce modèle et de lancer la production de la DB5. La première DB5 Corgi 261 est commercialisée par Corgi en octobre 1965, pratiquement un an après la sortie de Goldfinger et deux mois avant la sortie d'Opération Tonnerre. Cette DB5 comporte l'arrière de la DB4 et elle est de couleur or et non silverbirch comme dans le de 45 000 livres sterling de l'époque est très important mais est largement compensé par l'énorme succès du jouet avec 2 771 000 Aston Martin DB5 007 vendues en 1966. Il permet à Playcraft d'obtenir deux récompenses, les UK Toy Of The Year et Best Boys Toy Of existe un jeu de rôle James Bond 007 de Victory Games sorti en 1983. Une collection de timbres a aussi été fabriqué. Influences [modifier]Le nom de James Bond est connu dans le monde entier et l'½uvre demeure une influence majeure dans les livres et les films d' multitude de films parodiques comme Notre homme Flint 1966, Opération Frère Cadet 1967, Casino Royale 1967, Bons baisers de Pékin 1994, Austin Powers 1997, Le Smoking 2002, Johnny English 2003 et Double Zéro 2004 sont autant de preuves de la proéminence de Bond dans la culture populaire. Dans le film Rock, l'espion britannique joué par Sean Connery fait une curieuse référence à James années 1960 ont vu de nombreux feuilletons s'inspirant de James Bond comme Les Espions, Max la Menace ou Des agents très spéciaux. Napoleon Solo, le héros de la série Des agents très spéciaux, doit son nom d'un personnage de Goldfinger ; Fleming suggéra aussi le nom d'April Dancer qui fut plus tard utilisé dans le spin-off de la série Annie, agent très spécial. Le téléfilm Le Retour des agents très spéciaux 1983 introduit notamment un caméo de George Lazenby en James Bond en hommage à Fleming pour des raisons de droits, le personnage s'appelle JB ».Le personnage Arsène Lupin III du manga Lupin III de Monkey Punch a aussi plusieurs traits inspiré de Bond, comme le pistolet Walther, le goût pour les femmes et les gadgets, et son allure détaché. L'un des personnages de la série animée de Nickelodeon Doug est un agent secret nommé Smash Adams, qui est inspiré de plupart des acteurs de la série Chapeau melon et bottes de cuir, au moins 155 d'entre eux, ont fait des apparitions dans les films de James Bond[20]. Quelques temps après le départ du personnage Cathy Gale, joué par Honor Blackman, le personnage de John Steed, joué par Patrick Macnee, reçoit une carte de noël de sa part. Il commente alors It's from Mrs Gale! I wonder what she's doing in Fort Knox? » C'est de la part de Mrs Gale ! Je me demande ce qu'elle fait à Fort Knox ? » - la destination prévue par Pussy Galore dans Goldfinger. L'actrice Diana Rigg, qui joue Emma Peel, apparaît plus tard en tant que Tracy Bond dans Au service secret de Sa Majesté. Patrick Macnee, ami de Roger Moore, apparaît comme Sir Godfrey Tibbett dans Dangereusement vôtre. Joanna Lumley, qui joue le rôle de Purdey dans la série, peut aussi être vue dans un petit rôle où elle ne prononce quelques mots dans Au service secret de Sa épisodes de la série Arrested Development For British Eyes Only, Forget-Me-Now, Notapusy et Mr. F se référrent aux films de Bond. Les titres des épisodes sont des parodies des titres originaux de plusieurs James l'émission britannique Red Dwarf, James Bond est parodié sous la forme de Ace Lucas a déclaré à plusieurs occasions que le portrait de James Bond par Sean Connery fut l'une des principales inspirations pour le personnage d'Indiana Jones, une raison pour laquelle Sean Connery fut choisi pour le rôle du père d'Indiana dans le troisième film de la série de jeu vidéo Amiga James Pond est aussi un clin d'½il à James Bond. La série de comics de Sonic the Hedgehog comprend plusieurs références à Bond dans une histoire intitulée The Man from le vidéoclip du groupe Jonas Brothers, Burning Up, Nick Jonas incarne le personnage de James Bond. Anecdotes [modifier] Les sections Anecdotes » ou Autres détails » sont déconseillées sur améliorer cet article il convient, si ces faits présentent un intérêt, de les intégrer dans d'autres sections. Cet article ou cette section ne cite pas suffisamment ses sources. date inconnueSon contenu est donc sujet à caution. Wikipédia doit être fondée sur des informations vérifiables. Améliorez cet article en signalant les passages qui demandent une référence en y insérant par exemple le modèle {{Référence nécessaire}}, et en liant les informations à des sources, au moyen de notes de bas de page voir les recommandations. Pierce Brosnan était pressenti pour jouer James Bond dès le départ de Roger Moore. Néanmoins, il dut refuser à cause du contrat qu'il avait passé pour la série Remington Steele. Roger Moore fût envisagé pour jouer Bond dans James Bond 007 contre Dr. No, puis au départ de Sean connery, il fût envisagé pour Au service secret de sa Majesté mais il n'était pas disponible. Après Les Diamants sont éternels, Roger Moore peut enfin jouer Bond dans Vivre et laisser mourir. Demain ne meurt jamais n'aurait pas dû s'appeler comme cela. En effet, le titre original était au départ Tomorrow never lies Demain ne ment jamais. Mais une erreur de retranscription remplaça lies par dies. La production apprécia et changea ainsi le titre. James Bond donne sa démission 3 fois au cours des films la 1re fois dans Au service secret de sa majesté pour un désaccord avec M qui voulait lui retirer l'affaire Bedlam concernant la traque de Blofeld et de l'organisation La 2e fois dans Casino Royale après être tombé amoureux de Vesper Lynd. Et enfin la 3e fois dans Permis de tuer pour venger son ami de toujours Felix Leiter dont la femme fut assassinée par un haut trafiquant de drogue. Ian Fleming a appelé son personnage du nom d'un ornithologue dont il lisait l'ouvrage A Field Guide to the Birds of the West Indies. Un clin d'½il est à noter dans une scène de Meurs un autre jour où Bond lit l'ouvrage en question et se présente à Jinx comme ornithologue. James Bond est classé troisième dans AFI's 100 ans... 100 Héros et Méchants du cinéma. Le matricule de Bond est toujours 007 sauf dans le roman On ne vit que deux fois où il devient temporairement 7777 ». Trois films consécutifs des années 1980 ont pour intrigue initiale la mort d'un agent 00 Octopussy, Dangereusement vôtre et Tuer n'est pas jouer. Dans L'espion qui m'aimait quand la Lotus sort de l'eau, dans Moonraker quand Bond traverse la place St Marc et dans Rien que pour vos yeux quand Bond, qui est poursuivi par des motards traverse un restaurant d'altitude, on voit le même homme regarder sa bouteille de vin, l'air incrédule. Le matricule 007, le double 0 est le permis de tuer de l'agent 7. 007 est donc l'agent numéro 7 qui a le droit de tuer. Sean Connery a failli reprendre du service en 1998. Sony souhaitait réaliser un épisode basé, comme le non-officiel Jamais Plus Jamais, sur Opération Tonnerre. Finalement, le projet ne s'est jamais concrétisé. .[21] Steven Spielberg, fan absolu de James Bond, n'a jamais eu l'autorisation d'en réaliser un la règle imposée par la famille Broccoli, les producteurs historiques de la série, veut que les réalisateurs des films de 007 soient comme les acteurs du rôle-titre issus du Commonwealth. Alors il truffe ses films de références à Bond. Néanmoins cette règle semble en désuétude actuellement, puisque Marc Forster, réalisateur de Quantum of Solace, est suisse. Références [modifier]↑ Le Point, n° 1820, 2 août 2007, p. 79. ↑ Dans Espions faites vos jeux, l'anti-héroïne Vesper Lynd fait la remarque que [Bond] reminds me rather of Hoagy Carmichael, but there is something cold and ruthless. De même dans Moonraker, Gala Brand pense que Bond est certainly good-looking ... Rather like Hoagy Carmichael in a way. That black hair falling down over the right eyebrow. Much the same bones. But there was something a bit cruel in the mouth, and the eyes were cold.. Kingsley Amis, 1965, The James Bond Dossier, Jonathan Cape. ↑ en Ian Fleming Biography Discussing Early Writings [archive], James Bond 007 MI6 - The Home Of James Bond. Consulté le 16 septembre 2008. ↑ Dans On ne vit que deux fois, James Bond rappelle à la secrétaire de M ses compétences en langue japonaise. ↑ Par exemple, il a tué le professeur Dent dans Dr. No et Elektra King dans Le Monde ne suffit pas, alors qu'ils sont désarmés. ↑ Par exemple, il a tué Mr. Big, chef d'une petite nation fictive, dans Vivre et laisser mourir. ↑ Comme dans un passage de Meilleurs v½ux de la Jamaïque où Bond prend la décision de désobéir aux ordres en épargnant un assassin. ↑ en Atomic Martinis [archive] ↑ en Lee Tamahori Talks Die Another Day [archive], consulté le 14 octobre 2006 via ↑ en Charlie Higson interview with [archive], The Charlie Higson CBn Interview, consulté le 23 février 2005. ↑ Raymond Benson, 1984, The James Bond Bedside Companion, Dodd, Mead. ISBN 1-4011-0284-0. ↑ en Bond, from the beginning? [archive] ↑ en Bond franchise Box Office numbers [archive] ↑ en [1] [archive] ↑ Casino Royale Box Office numbers 1967 [archive] ↑ en Box Office numbers + Inflation [archive] ↑ en Ian Fleming, Author or Spy ? [archive], visité le 24 octobre 2007. ↑ Dans Au service secret de Sa Majesté, Bond passe dans une station de ski où il est dit que David Niven est un visiteur fréquent. ↑ Miniatures Corgi [archive], Club James Bond France, consulté le 8 septembre 2007. ↑ en The Avengers James Bond [archive] ↑ Sean Connery le prochain Bond ? [archive]. Consulté le 31 octobre 2008. Notes [modifier]↑ Le 11 novembre est la date anniversaire de l'armistice de 1918. ↑ Il a 13 ans dans La Jeunesse de James Bond. ↑ Le personnage n'est pas nommé pour des raisons légales liées au conflit entre EON Productions et Kevin McClory sur les droits de l'adaptation du roman Opération Tonnerre. ↑ Il s'agit d'une référence au 30th Assault Unit où a officié Fleming durant la Seconde Guerre Mondiale et surnommé Red Indians dans Casino Royale ↑ Bien qu'un reportage télévisé au cours de la production du film rapporta de manière erronée que Connery apparaissait en caméo en tant que père de Bond. ↑ Pussy Gallore apparaît dans Goldfinger. En argot américain, son prénom signifie l'organe sexuel féminin. ↑ Plenty O'Toole apparaît dans Les diamants sont éternels. Son prénom est une allusion à sa poitrine plantureuse. ↑ Xenia Onatopp apparaît dans GoldenEye. Son prénom Xenia, d'origine grecque, renvoie à la notion d'hospitalité. Ce peut être aussi une allusion au personnage principal de la série télévisée Xena, la guerrière. Traductions de [modifier]↑ en I wanted the simplest, dullest, plainest-sounding name I could find, 'James Bond' was much better than something more interesting, like 'Peregrine Carruthers.' Exotic things would happen to and around him, but he would be a neutral figure—an anonymous, blunt instrument wielded by a government department. Ian Fleming. Henry Chancellor, 2005, James Bond The Man and His World, John Murray, ISBN 0-7195-6815-3. ↑ en It was part of his profession to kill people. He had never liked doing it and when he had to kill he did it as well as he knew how and forgot about it. As a secret agent who held the rare Double-O prefix – the licence to kill in the Secret Service – it was his duty to be as cool about death as a surgeon. If it happened, it happened. Regret was unprofessional — worse, it was a death-watch beetle in the soul. — Goldfinger, chapter 1 Reflections in a Double Bourbon ↑ en My idea was basically that there have been several Bonds. It's just a prefix and a code name. Even James Bond is not the guy's name. That's the way I've always been able to view these things from when Connery left and Lazenby and Moore took over, right up to Brosnan. How could this guy be so young still? Of course to me, it is just a prefix and a code name. That means that Connery either died or retired, Moore died or retired and so on. Following that, that allows you to have possibly two James Bonds in a movie. What happened to the others? Were they retired from active service or were they killed? That's where I came from. — Lee Tamahori Bibliographie [modifier]en Kingsley Amis, The James Bond Dossier, Londres, Jonathan Cape, 1965, 159 p. en Tony Bennett, Text and Social Process the Case of James Bond », Screen Education, n° 41, hiver/printemps 1982. en Tony Bennett et Janet Woollacott, Bond and Beyond the Political Career of a Popular Hero, Les escoumins QC Canada, Jean-Michel Tremblay, 1986, 256 p. en Raymond Benson, The James Bond Bedside Companion, Dodd, Mead & Co., 1984, 257 p. en James Brosnan, James Bond in the Cinema, Barnes/Tantivy Press, 1981, 309 p. it Oreste del Buono et Umberto Eco sous la direction de, Il caso Bond, Milan, Bompiani, 1965 en David Cannadine, James Bond and the Decline of England », Encounter, septembre 1979, p. 46-55. en James Chapman, Licence To Thrill A Cultural History Of The James Bond Films, Tauris, 1999. en John Cork, James Bond The Legacy, Boxtree/Macmillan, 2002. fr Umberto Eco, James Bond une combinatoire narrative », Communications, n° 8, 1966, p. 77-93. fr & en Nicolas Fleurier, James Bond & Indiana Jones. Action figures, Histoire & Collections, 2006, 84 p. fr Laurent Queyssi, Les Nombreuses vies de James Bond, Les Moutons électriques éditeur, coll. Bibliothèque rouge, 2007 en Penelope Houston, 007 », Sight and Sound, hiver 1964-65, p. 14-16. en Christoph Lindner, The James Bond Phenomenon A Critical Reader, Manchester University Press, 2003. en Philip Lisa et Lee Pfeiffer, The Incredible World of 007 An Authorised Celebration of James Bond, Boxtree, 1992, 224 p. en John Pearson, James Bond The Authorised Biography of 007, Granada, 1985, 314 p. en Steven J. Rubin, The Complete James Bond Movie Encyclopedia, Contemporary Books, 1990, 467 p. fr F. Hache-Bissette, F. Boully et V. Chenille sous la dir. de, James Bond 2007 - Anatomie d'un mythe populaire, Belin, Histoire et Société, 2007, 400 p. fr Jacques Layani, Ian Fleming, on ne lit que deux fois, Ecriture, 2008, 192 p. Voir aussi [modifier]Voir aussi sur Wikiquote les citations James Bond ». Articles connexes [modifier]EON Productions société détentrice des droits sur les films de James Bond et productrice des films. DanJaq société gérant tous les droits dérivés logos, symboles... des films de James Bond Ian Fleming Publications société détentrice des droits littéraires de James Bond James Bond girls Liste des méchants de James Bond Liens externes [modifier]Site officiel de James Bond [archive] Site officiel de Ian Fleming Publications [archive] Musique des films de James Bond [archive] [ Enrouler ]v d mFilms et acteurs de James Bond Films Casino Royale 1954 • James Bond 007 contre Dr. No • Bons baisers de Russie • Goldfinger • Opération Tonnerre • Casino Royale 1967 • On ne vit que deux fois • Au service secret de Sa Majesté • Les Diamants sont éternels • Vivre et laisser mourir • L'Homme au pistolet d'or • L'Espion qui m'aimait • Moonraker • Rien que pour vos yeux • Octopussy • Jamais plus jamais • Dangereusement vôtre • Tuer n'est pas jouer • Permis de tuer • GoldenEye • Demain ne meurt jamais • Le monde ne suffit pas • Meurs un autre jour • Casino Royale 2006 • Quantum of Solace Acteurs Barry Nelson Sean Connery George Lazenby Roger Moore Timothy Dalton Pierce Brosnan Daniel Craig Portail du cinéma Portail de la réalisation audiovisuelle Portail de la littérature Portail du renseignement Ce document provient de ».Catégories James Bond Agent secret ou espion de fiction Fumeur de fiction Personnage de fiction britannique Personnage de fiction anglais Séducteur de fiction [+]Catégories cachées Article avec une section anecdotique Article manquant de référence depuis date inconnue PortailCinéma/Articles liés PortailRéalisation audiovisuelle/Articles liésAffichagesArticle Discussion Modifier Historique Outils personnelsCréer un compte ou se connecter Rechercher NavigationAccueil Portails thématiques Index alphabétique Un article au hasard Contacter Wikipédia ContribuerAide Communauté Modifications récentes Accueil des nouveaux arrivants Faire un don Boîte à outilsPages liées Suivi des liens Importer un fichier Pages spéciales Version imprimable Adresse de cette versionCiter cette page Autres languesالعربية Azərbaycan ´emaitė¨ka Български Català Česky Cymraeg Dansk Deutsch English Esperanto Español Eesti فارسی Suomi Frysk עברית हिन्दी Hrvatski Magyar Bahasa Indonesia Íslenska Italiano 日本語 한국어 Kurdî / كوردی Latina Lëtzebuergesch Lietuvių मराठी Nederlands ‪Norsk nynorsk‬ ‪Norsk bokmål‬ Polski Português Română Русский Srpskohrvatski / Српскохрватски සිංහල Simple English Slovenčina Sloven¨čina Shqip Српски / Srpski Svenska தமிழ் తెలుగు ไทย Tagalog Türkçe Українська Tiếng Việt 中文 Dernière modification de cette page le 7 décembre vaemaster ingénierie pédagogique. quartiers strasbourg à éviter
regarder 0140 The Sandman Will Keep You Awake - The Loop Cet article est une liste de polytechniciens célèbres classés par promotion. Contrairement à la plupart des écoles d'ingénieurs, mais comme aux Écoles normales supérieures ENS, la promotion est l'année d’entrée, et non de sortie. Ceci est probablement dû au fait que les élèves de ces Écoles étant formellement employés par l'État en tant que militaires pour Polytechnique ou fonctionnaires stagiaires de l'enseignement supérieur pour les ENS, l'année retenue est celle d’intégration dans l'entité. Lorsqu’un polytechnicien redouble, ce qui comme dans la plupart des écoles d’ingénieurs ne concerne que très peu d’élèves, la promotion de l’élève change et l’élève est considéré comme appartenant à la promotion suivante ce n'est en revanche pas le cas pour les ENS. Sommaire 1794 1795 1796 1797 1798 1799 1800 1801 1802 1803 1804 1805 1806 1807 1808 1809 1810 1811 1812 1813 1814 1815 1816 1817 1818 1819 1820 1821 1822 1823 1824 1825 1826 1827 1828 1829 1830 1831 1832 1833 1834 1835 1836 1837 1838 1839 1840 1841 1842 1843 1844 1845 1846 1847 1848 1849 1850 1851 1852 1853 1854 1855 1856 1857 1858 1859 1860 1861 1862 1863 1864 1865 1866 1867 1868 1869 1870 1871 1872 1873 1874 1875 1876 1877 1878 1879 1880 1881 1882 1883 1884 1885 1886 1887 1888 1889 1890 1891 1892 1893 1894 1895 1896 1897 1898 1899 1900 1901 1902 1903 1904 1905 1906 1907 1908 1909 1910 1911 1912 1913 1914 1915 1916 1917 1918 1919 1920 1921 1922 1923 1924 1925 1926 1927 1928 1929 1930 1931 1932 1933 1934 1935 1936 1937 1938 1939 1940 1941 1942 1943 1944 1945 1946 1947 1948 1949 1950 1951 1952 1953 1954 1955 1956 1957 1958 1959 1960 1961 1962 1963 1964 1965 1966 1967 1968 1969 1970 1971 1972 1973 1974 1975 1976 1977 1978 1979 1980 1981 1982 1983 1984 1985 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 Avant 1800[] 1794-1799[] X1794[] Louis de Beaupoil, comte de Sainte-Aulaire, homme politique, diplomate et académicien français François Berge, général napoléonien Simon Bernard, militaire et homme politique Jean-Baptiste Biot, physicien André Brochant de Villiers, géologue, membre de l'Académie des sciences Charles Cagniard de Latour, physicien et chimiste français Philippe Joseph Marie Caristie, ingénieur des ponts et chaussées qui participa à l'expédition d'Égypte Gaspard de Chabrol, préfet de la Seine Antoine-Léonard de Chézy, traducteur, membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres Charles Desormes, chimiste et homme politique français Louis-Benjamin Francœur, mathématicien, membre de l'Académie des sciences Louis de Gallois, ingénieur Antoine-Marie Héron de Villefosse, Conseiller d'État, président du conseil général des mines, membre de l'Académie des sciences Louis Huguet-Chateau, général français du Premier Empire, Chevalier d'Empire, Officier de la Légion d'Honneur et Héros des Guerres napoléoniennes Edmé François Jomard, ingénieur géographe et archéologue français Louis Poinsot, mathématicien et contributeur à la Mécanique rationnelle Charles Athanase Walckenaer, naturaliste français Jean-Baptiste Augustin de Gelis député du Tarn X1795[] Ange Louis Clément de Ris 14 septembre 1779 - Tréguier ✝ 27 mars 1799 - Paris, décédé à l'École[1]. Jean-Francois Lunel, lieutenant-colonel d'artillerie, vice-président de la société militaire de Saint Martin. Étienne Louis Malus, physicien. X1796[] Louis Bourdon, mathématicien français. Antoine-Rémy Polonceau, ingénieur. X1797[] Louis Joseph Gay-Lussac, physicien. Henri-Alexis de Tholosé, général de division, commandant de l'École polytechnique de 1831 à 1839. X1798[] Pierre Berthier, minéralogiste et géologue. Prosper de Barante, historien, homme politique et académicien français. Siméon Denis Poisson, mathématicien. X1799[] Jules Anglès 1778-1828, haut fonctionnaire et homme politique français du XIXe siècle. Hyacinthe de Bougainville 1781-1846, amiral français Louis-Aimé Cosmao Dumanoir 1783-1864, amiral français du XIXe siècle Antoine Elie Lamblardie 1784-1842, inspecteur général des travaux maritimes, membre du conseil général des ponts et chaussées. Jean Samuel Ferdinand de Tascher 1779-1858, auditeur au Conseil d'État, Pair de France. De 1800 à 1899[] 1800-1809[] X1800[] Anne Léonard Camille Basset de Châteaubourg 1781-1852, auditeur au Conseil d'État, préfet. X1801[] Pierre Louis Dulong, chimiste et physicien Charles Dupin, ingénieur et homme politique Jean-Gabriel Thiébault, général français X1802[] Henri Navier, physicien Jean-Baptiste-Charles Gauldrée-Boilleau, général de division, commandant de l'École polytechnique de 1840 à 1844. X1803[] François Arago, physicien Charles Julien Brianchon, mathématicien Étienne-Louis Lefébure de Fourcy, mathématicien X1804[] Amauri, Jean Jacques Pons né en 1786 ; Amillet, Pierre Hippolyte 1785-1830. Anselin, Louis Pierre 1785-1859. Aubert-Vincelles, Agathon Marie né en 1785 ; Audoy, Joseph Victor 1782-1871. Général, inspecteur-général du génie, directeur des fortifications à Amiens puis à Lille, commandeur de la Légion d'honneur ; Auvray, Guillaume Paul Catherine né en 1785 ; Bernard, Paul Alexis Joseph né en 1785 ; Berthois, Auguste Marie 1787-1870, général de division génie. Aide de camp de Louis Philippe et maréchal de camp en 1838. Député de Vitré puis de Saint-Malo, et président du Conseil général de l’Ille-et-Vilaine Besse, Jean François né en 1784 ; Binet, Jacques Philippe Marie 1786-1856. Répétiteur de géométrie descriptive, puis professeur de mécanique à Polytechnique 1815 en remplacement de Poisson, il collabore à la nouvelle édition de "la Mécanique céleste" de Lagra Bitsch, François Joseph 1781-1809. Boisset, Antoine Joseph Claude 1786-1812. Bonnetat, Denis 1786-1813. Bouscasse, Jacques Marie Anne Daniel né en 1785 ; Brédif, Charles Marie 1786-1818. Ingénieur des Mines. Il était à bord de La Méduse lors de son naufrage. Breistroff, Joseph Arnauld né en 1785 ; Bremontier, Georges Bertin 1786-1847. Bridenne, Louis Jean Baptiste né en 1787 ; Brussel-Brulard, Augustin Joseph 1786-1856. Chef d’escadron, introducteur du système danois des fusées à charge explosive à Hambourg et Vincennes 1814-1815 Bruys, Gilbert Casimir 1786-1812. Busnel, Charles Pierre né en 1786 ; Candie-Saint-Simon, Jean Théodore Élisabeth né en 1785 ; Cartront, Thomas Michel 1785-1809. Caussade, Jean Louis né en 1787 ; Caux, Augustin Louis Antoine né en 1785 ; Cerf dit Hertz-Zacarias, Israël 1785-1807. Chabert, Michel Augustin François 1785-1809. Chambaud, Louis 1785-1830. Coffinhal, Anne Joseph 1787-1837. Commier, François Louis Augustin né en 1786 ; Coppin, Louis Bernard 1787-1810. Corne, Pierre Étienne Chrysostôme né en 1787 ; Daullé, Jean Marie né en 1785 ; Decamain, André Nicolas Hyacinthe 1786-1833. Delagrange, Prosper Amaury Louis 1788-1865. Chevalier de la Légion d’Honneur, colonel d’Artillerie. Il est l’auteur d’ouvrages publiés après décès 1865 Denis, Jean 1784-1809. Destouches, Pierre Charles 1786-1813. Destrem, Jean Antoine Maurice 1788-1855. Devère, Lambert né en 1785 ; Dieu, Prosper Lambert né en 1786 ; Dollfusz, Daniel né en 1784 ; Dombre, Louis Auguste Joseph 1784-1810. Doulceron, Louis Auguste né en 1780 ; Dreppe, Joseph Marie Gaspard né en 1787 ; Duchemin, Nicolas Vincent 1785-1859. Duchet, Alexandre 1785-1821. Dulçat, Louis Antoine Joseph Appolinaire 1787-1807. Dumoulin, Jean Baptiste né à Paris le 23 février 1787. Polytechnicien, il a fait toute sa carrière dans l’artillerie, jusqu’en août 1840. Ses derniers grade et emploi sont chef d’escadron au 4° RA, etc... Fesquet, Auguste Casimir 1785-1809. Feuillot-Varange, Benoît Pierre Joseph 1784-1805. Fleury, Louis Rollin né en 1787 ; Foucault, Louis David né en 1785 ; Fourcroy, Nicolas 2e comte 28 mai 1786 - Paris † Tué le 2 mai 1813 - bataille de Lutzen. Fraissignes, Jacques Joseph né en 1786 ; Franc, Joseph François 1786-1813. Fresnel, Augustin Jean 1788-1827. Après des études à l’Ecole centrale de Caen, à Polytechnique, aux Ponts, il est envoyé aspirant en Vendée 1809. Ingénieur à Nyons, il achève la nationale Briançon-Pont-Saint-Esprit. Inventeur de la lentille de Fresnel Galleto, Joseph Alexandre 1785-1809. Ganivet, Guillaume né en 1780 ; Gayet-Laroche, Louis Charles 1785-1808. Ginot, Armand Yriex Louis Joseph Philibert né en 1788 ; Giraud, Jean Baptiste Saintin 1785-1813. Gouffé, Edme Jean Claude né en 1783 ; Goursaud-Laumond dit Boischevet, Jean Baptiste François né en 1786. Graffan, Jean François Denis né en 1785 ; Guibert, Jean Marie 1786-1826. Guichon, Jacques Louis né en 1786 ; Guiol, Joseph Paul né en 1785 ; Hamelin, Joseph Guillaume Mathurin 1786-1846. Haranguier, Hippolyte d’ né en 1784 ; Hennocque, Pierre François 1787-1878. Il passe en 1806 à l’École d’application de Metz comme élève sous-lieutenant d’artillerie. En 1808 il commande l’artillerie de la place d’Almeida Portugal puis il fait campagne en Espagne. Henry, André Guillaume 1785-1828. Ing. ordinaire 2e classe - A été en Russie depuis 1823 et au service de la Russie 1824-28 - Lt-Col. du Corps des ing. des voies de communication CIVC - Prof. du cours de construction Jaunez, Léon né en 1787 ; Labastie, Claude Marie Auguste 1784-1807. Lafont, Antoine Louis 1785-1807. Lallemant, Albert Pierre Louis Gabriel né en 1786 ; Lamare, Didier Nicolas Raimond né en 1785 ; Lamorinière, Louis François Charles Salomon né en 1788 ; Lauwereyns, Joseph Jean Charles François né en 1788 ; Leblanc, Pierre né en 1786 ; Lecardinal-Kernier, Jacques Ange Marie Paul 1788-1870. Legagneur, Henri Joseph né en 1785 ; Lemierre, Alexandre François né en 1786 ; Letexier, Jean Charles Fermin né en 1786 ; Lorimier, Pélage Adélaïde né en 1784 ; Mahé, Pélage François Marie 1786-1849. Mairet, Philibert né en 1784 ; Maitrot, Pierre Joseph né en 1785 ; Marie, Amable Constant Thomas 1783-1837. Martin, Jacques Bernard Amédée né en 1787 ; Mathieu, Alexis François Denis né en 1786 ; Maucler, Alexandre né en 1784 ; Melville, Jules Alphonse 1786-1854. Méquin, Pierre né en 1784 ; Meyer, Pierre né en 1786 ; Millet, Basile Félix 1787-1813. Moisson-Desroches, Pierre Michel 1785-1865. Ingénieur en chef des mines, il fut l’un des fondateurs de l’École des mineurs de Saint-Etienne où il professa, et eut comme élève Boussaingault. Molin, Bravy Joseph 1785-1844. Montauban, Félix Louis 1786-1810. Mordret, Edmont né en 1787 ; Morlet, Marie Pierre Hippolyte 1786-1832. Morvan, Frédéric Pierre né en 1786, militaire français ; Noblet, Jacques né en 1785 ; Parisot, Charles Nicolas 1784-1813. Poumet, Benjamin 1785-1832. Préveraud, Louis Marie Hippolyte Jules Bonne 1788-1813. Pron, Pierre Joseph 1785-1865. Prudhomme, Jean Jacques Casimir né en 1786 ; Raffard-Demarcilly, Bénigne Pierre Louis Eugène né en 1786 ; Rey, Édouard Eléonore Guillaume né en 1787 ; Richard, Joseph Louis Antoine né en 1785 ; Rivarol, Jean Étienne Auguste né en 1784 ; Robert, Aimé Ambroise né en 1784 ; Robethon, Auguste Denis Jean né en 1785 ; Saintemarie, Antoine Jean François né en 1786 ; Seigneurie, Jean Louis né en 1786 ; Silguy, Jean Marie François Xavier 1785-1864. Membre de la Société pantomatique de Quimper, ingénieur des Ponts-et-Chaussées, fondateur du musée des Beaux-Arts de Quimper Spinasse, Jean Bernard né en 1785 ; Stahl, Jean Geoffroy né en 1785 ; Suchard, Pierre Camille Victor 1786-1812. Tacon, Jean Louis Marie 1785-1848. Tardieu, Victor Amédée 1786-1807. Tardif, Jean Alexandre 1786-1860. Tisserand, Pierre Antoine 1786-1849. Tonnet, Jean Joseph né en 1784 ; Vaissière, Jean Jacques François né en 1778 ; Vallantin, Jacques Henri Benjamin 1787-1833. Varin, Jacques Bernard 1785-1811. Vecten, François Michel 1784-1809. Verhulst, Eugène François né en 1785 ; Vézian, Louis Gaspard né en 1784 ; Louis Vicat, ingénieur des ponts à Périgueux 1809, il construit le pont de Souillac Lot sur la Dordogne 1811-22. Constatant le durcissement de chaux dans l’eau, il découvre le ciment. X1805[] Albrespit, Jean Marie Claude 1782-1812 ; Alexandre-Garlan, Louis Marguerite Claude 1786-1809. Lieutenant, noyé dans le Danube ; Allou, Charles Nicolas 1787-1843 ; Aubé-Bracquemont, Joseph 1782-???? ; Aubertin, Pierre 1787-???? ; Audeoud, Jacques Gédéon 1788-1840 ; Baillieu, Cyrille Emmanuel Joseph 1786-???? ; Barbaud, Jean Joseph Auguste 1787-???? ; Barbier, Antoine François 1787-1809 ; Barbier, Jean Marie 1788-1809 ; Barbolain, Alexis 1787-1809 ; Bardel, Nicolas Orsin 1787-???? ; Belet, Pierre François 1786-1813 ; Bellonnet, Adolphe Pierre Marie 1789-1851. Sorti de l’École de Metz, il rejoint la Grande Armée à Strasbourg 1809. Il est chargé des ponts sur le Danube, reçoit la Légion d’honneur à Znaïm... Belly, Nicolas Joseph 1788-1828 ; Belpaire, Antoine Sidron Guillaume André 1789-1839. Démissionnaire 1806, il devient avocat à Bruxelles, notaire à Ostende, greffier du tribunal civil à Anvers. Il fait de nombreuses observations géologiques et historiques, etc... Besançon, Pierre 1785-???? ; Besser, Pierre Henri Philippe Clément 1788-???? ; Bétourné, Jacques Pierre Joachim 1788-???? ; Bidard, Nicolas Jean Baptiste 1786-1831 ; Bineau, Amand 1788-???? ; Bizos, Charles Pierre 1786-1828 ; Boistard, Louis Charles Alphonse 1786-???? ; Bonnaud, Jean Marie 1788-1812 ; Bouchard, Auguste 1785-???? ; Bouché, Gabriel François Eugène 1787-???? ; Boucher, François Eugène 1787-???? ; Bouyer, Antoine Alexis 1786-1807 ; Brédif, Jean Jacques Simon 1787-1852 ; Brescon, Louis Jean Marie 1788-???? ; Caffort, Jean Antoine 1787-???? ; Carré, Eugène Anne Germain 1786-1852. Sorti dans l’infanterie, il sert à la Grande Armée. Il fait les campagnes d’Espagne, de Saxe et de France, au cours de laquelle il est nommé chef de bataillon. En disponibilité sous la Restauration, etc... Cauchy, Augustin Louis 1789-1857, mathématicien français. Éduqué par son père, admis à l’École du Panthéon, à Polytechnique puis aux Ponts, il construit le port de Cherbourg puis se tourne vers la recherche. Après deux mémoires lus à l’Institut... Chancel-Lagrange, Louis Victor Alexandre Joseph 1785-???? ; Clément-Desnos, Jean Louis 1786-???? ; Compère, Thomas Joseph 1785-???? ; Cornil, Jacques Louis Jacob 1788-???? ; Cornuel, Thomas Richard 1787-1815 ; Costa, Ange Pascal 1787-1808 ; Coster, André Joseph Victor 1785-1812 ; Crozet, Benoît Claudius » 1788-1864, militaire français, professeur de génie aux États-Unis. Prisonnier pendant la campagne de Russie, il ne rentre en France qu’après la chute de Napoléon, et reprend du service pour les Cent Jours. En 1816, il part pour les États-Unis, etc... Damoiseau, Alphonse François 1786-???? ; Debehr, Jean Joseph Alexandre 1786-????. Belge, il sert la France depuis sa sortie de Polytechnique jusqu’après Waterloo, comme capitaine du génie et comme ingénieur des Ponts et Chaussées, etc... Debroca, Alexis Vincent Jean Pierre 1785-1842 ; Degeac, Isaac Jean François 1787-1806 ; Delabigne, Marie François Henri 1787-1812 ; Delaplace, Charles Émile Pierre Joseph 1789-1874. Fils du célèbre savant Pierre Simon Delaplace, il entre lieutenant en second au 6e régiment d’artillerie à cheval 1809 et fait les dernières campagnes de l’Empire. Officier d’ordonnance, etc... Delorme, Jean Baptiste 1787-???? ; Donzé, François Joseph Gabriel 1787-???? ; Ducluzeau, Charles 1785-???? ; Duquesnoy, Auguste Jean Baptiste 1789-1809 ; Emmery, Henri Charles 1789-1842. Ingénieur des ponts, il est adjoint à L. Bruyères et attaché aux travaux du cours de la Marne. Avec Bruyères, il étudie les canaux de dérivation de Saint-Maur, Gournay et Condé, etc... Even, Félix Marie 1786-1835 ; François, Charles Gabriel 1789-???? ; Gattée, Jean Alexandre 1786-1812 ; Genet, Ferdinand 1788-1809 ; Girault, Jean Pierre 1788-???? ; Girault, Pierre 1786-1829 ; Gobert, Charles Théodore 1786-1813 ; Gossuin, César Eugène 1787-???? ; Grandin, Henry Pierre Félix[2] 1787-1821, ingénieur du Corps des Mines. Nommé aspirant ingénieur des mines en 1810, il est envoyé en service à Mons Belgique et s’occupe des accumulations de grisou mines de Charleroi. En 1814, il est envoyé à Sarrebruck, etc... Guillemain, Michel Jacques Laurent Germain 1788-????. Général de brigade, commandant en second l’École polytechnique, etc... Guingret, Pierre François 1784-1845. Fantassin au 6e à pied 1804, il sert à l’armée des côtes de l’océan. Entré à l’École polytechnique, il devient sous-lieutenant au 6e légère 1806. Il est prisonnier à Dantzig, etc... Guyardin, Jean Baptiste Louis 1785-1810 ; Hanin, Charles 1786-1810 ; Hardivillers, Augustin Charles Henri d’ 1786-???? ; Henry, Charles Hubert 1787-???? ; Honoré, Hippolyte Maurice 1788-???? ; Hudry, Jean Pierre 1788-???? ; Jacquand, Jean Jacques Didier François 1788-1809 ; Jeannest-Lanoue, Henri Nicolas Raimond 1786-???? ; Jousselin, Alexandre Louis 1788-1867 ; Laloux, Louis Aimé Florent Alexis 1787-???? ; Laman, Casimir Nicolas Sébastien 1787-???? ; Lamezan, Jean Louis Gabriel Hugues Léon 1787-1875 ; Lapique, Augustin Alexandre 1786-1813 ; Larmandie, Jean 1787-1812 ; Le Roy, Jean Louis Édouard 1787-???? ; Lebel, Louis Urbain 1786-1815 ; Lefrançois, Armand Louis Marie 1787-???? ; Legroux, Antoine André Joseph 1785-???? ; Lesueur, Antoine François Henri 1788-1812 ; Loyer, André 1785-???? ; Loysel, Julien Aimé Anne Bénigne 1781-???? ; Lyautey, Hubert Joseph 1789-???? ; Maignal, Bernard Martial 1787-???? ; Mailler, François Justin de 1785-???? ; Mainville, Charles Emmanuel 1789-1850 ; Marmion, Jacques Félix 1787-???? ; Marry, Joseph Hyppolite 1787-???? ; Massot, Antoine 1787-1812 ; Maugé, Camille Jean 1788-????. Ingénieur des ponts et chaussées, etc... Maulbon, Denis Pierre 1786-1870 ; Mauroy de Merville, Joseph Jacques Henri 1787-1812 ; Mayer, Mathias 1786-???? ; Megret-Serilly, Anne François Victor 1789-1831 ; Moullin, Jean Baptiste Clément 1787-???? ; Nault, Jean Baptiste 1787-???? ; Navier, Jean Baptiste 1786-???? ; Ordinaire, Gabriel Édouard Claude Eugène 1789-1811 ; Petit, Louis Jean Baptiste Désiré 1786-1813 ; Peupion, Jean Louis 1786-???? ; Picot, Joseph Alexandre Édouard 1788-1855. Après l’École de Metz, il servit comme sous-lieutenant en Hollande, puis fit la campagne de Russie. Décoré à Lutzen, il concourut à la défense de Mayence. Il commanda l’École de Metz 1828 ; Potier, Charles Michel 1785-1855 ; Pouchot, Auguste Louis 1787-1806 ; Poupart, Jean Baptiste François 1786-???? ; Provisier, Célestin 1787-1809 ; Puget, François Xavier Augustin 1786-1809 ; Revol, Ennemond 1787-1812 ; Rivière, Claude Vincent 1786-1815 ; Robert, Christophe 1786-???? ; Robillard, Théophile Léon 1788-???? ; Roche, Jean Pierre Louis Antide 1788-???? ; Sasmayous, Jérôme François 1785-???? ; Sigogne, Pierre René Achille 1788-1809. Lieutenant, mort de blessures reçues à Wagram ; Sturtz, Louis Charles Henri 1786-1812 ; Valessie, Louis Joachim Joseph 1786-???? ; Vanloo, Jules Eudoche 1786-???? ; Vassal, Charles Romain 1786-???? ; Verdier, Joseph 1785-1808 ; Viard, Ezéchias Auguste Henry 1789-???? ; Vimont, Louis Pierre François René 1781-1812 ; Voisin, Pierre Augustin 1788-???? ; Zaiguélius, François Xavier 1785-1807 ; Zeis, Clément Venceslas Élisabeth 1787-1812. X1806[] Antoine Becquerel, physicien français X1807[] Abbaté, Dominique 1789-????. Aurioust dit Beaujour, Louis Simon Marie 1788-????. Baillot, Jules Réné 1789-1812. Basselier, Dieudonné Charles 1790-????. Baulu, Anne Charles Sigismond Auguste 1789-1812. Bauyn, Antoine Louis Réné Prosper 1791-????. Beck, Cornélis 1789-????. Beck, Minard 1791-????. Bergère, Jean Baptiste 1790-1840. Berjaud, Joseph François Victorin 1790-????. Beurnier, Charles David Louis Eberhard 1791-1841. Billoin, Dominique Michel 1788-1812. Bourguignon dit Duleau, Alphonse Jean Claude 1789-1832. Bousson, Charles Marie 1789-1870. Bouteiller, Louis Marie 1790-1821. Brière-Mondétour, Étienne Jean Simon 1788-1812. Buisson, Antoine 1787-1809. Burdin, Claude 1788-1873. Ingénieur des Mines, naturalisé français 4 juin 1817, il devient professeur à l’École des mineurs. Cartier dit Félix, Jean Dominique Arnaud 1784-1813. Castel, Alexandre Marie François 1788-????. Casterat, Pierre 1789-1812. Chanot, François 1788-1825. Chonet-Bollemont, Alexandre 1788-????. Clérici, Charles Joseph Pierre 1788-1843. Colliot de la Hattays, Augustin Mathurin Marie Jean 1788-1881. Courand, Louis Jean 1789-1812. Dalençon, François Hyacinthe Sabin 1790-1812. Darcel, Alphonse Jacques Marie 1788-????. Daridan, Louis Juste 1788-1812. David-Saint-George, Alphonse Alexis Jean Baptiste 1788-1813. Debooz, Jacques 1788-????. Delon, Alexandre Louis Mathias 1791-1865. Deprez de Crassier, Louis Marie Philibert 1789-1821. Deroys-Saint-Michel, Jérôme Joseph 1791-????. Desjardins-Gérauvillier, Paul Joseph Éléonor 1787-????. Devallée, Pierre 1789-1808. Devillers, Antoine Jean Marie 1787-1845. Dinet, Jean Baptiste 1788-????. Divory, Jean Louis 1791-1820. Doisy-Villargennes, Robert Édouard Antoine 1790-????. Donat, Jean François 1788-1812. Druet-Desvaux, Edme Louis François 1788-1808. Dubosc, Adolphe Yves Thomas Émilien 1788-1838. Ducos-Lahitte, Jean Ernest 1789-1878. général d’artillerie 1809, Dufour, Guillaume Henri 1787-1875. Sorti de l’École de Metz 1809, il est envoyé à Corfou avec les cinq premiers élèves de sa promotion. Général et diplomate suisse, co-fondateur et premier président de la Croix-Rouge. Dumonteil, Jean 1788-1853. Dumotet, Henri Hyacinthe Jules Théodore 1789-1812. Dutertre, Pierre 1788-????. Esperonnier, François Dominique Victor Édouard 1788-1855. Fayon, Jean Ferdinand 1790-1813. Foulard, Pierre Jacques 1788-1843. Ingénieur géographe. Il participe comme observateur à la réalisation de la carte au 1/80 000 1819-1830, dite carte de l’État-Major Fresnel, Léonore François 1790-1869. Léonor Fresnel, polytechnicien, devient comme Augustin ingénieur des Ponts et chaussées. Il travaille d’abord comme adjoint de son frère, puis lui succède au service des phares et des balises Gallez, Jean Baptiste Thomas 1789-1812. Gauthier, Pierre Georges 1790-????. Gay de Vernon, Antoine Charles Joseph Henri 1789-1812. Gellibert des Seguins, Nicolas Prosper 1788-1861. Gentil dit Maurin, Joseph Henri 1788-????. Geoffroi-Durouret, Adolphe 1790-????. Georges, Joseph Valsin Jean 1790-????. Gérard, Auguste Ferdinand Christophe Michel 1790-1814. Gilard-Larchantel, Athanase François Esprit 1788-????. Gilbert, Jean Charles Nicolas Félix 1791-1808. Gouvello, Arthur Augustin 1789-????. Harel, Marie Pierre 1788-1812. Hecquet, Antoine Charles Félix 1787-1872. Il débute au 14e de ligne puis est autorisé à passer au service de Naples. Il y gagne ses grades de lieutenant et de capitaine et revient en France en 1814. Hervé, Amand Constant Marie Fidèle Charles 1789-????. Juhel, Joseph Nicéphas 1788-????. Kermel, Charles Olivier Marie 1788-1839. Labatie, Anthide Gabriel Marguerite 1786-????. Labiche, Nicolas 1789-1853. Lachèze, Pierre Joseph Julien 1788-????. Lacordaire, Jean Auguste Philibert Alexandre 1789-1860. Inspecteur divisionnaire des ponts et chaussées. Une forte personnalité, qui s’opposa à Bonnet X 1828, tous les deux nommés au service de la navigation de la Saône. Lacoste, Marie Joseph Maurice 1789-????. Laimant, Amédée 1790-????. Directeur des Forges de la Chaussade de 1832 à 1840 ; puis de l’usine d’Indret Lallement, Eusèbe 1790-????. Lapène, Blaise Jean François Édouard 1790-1854. Artilleur, il prit part aux dernières campagnes de l’Empire. Sous la Restauration, il fut sous-directeur de la Manufacture de Tulle. Commandant supérieur de Bougie. Lassus dit Marcilly, François Anne Nicolas 1788-1859. Laurencin, Jacques Louis François 1789-1813. Le Blanc, Pierre Frédéric 1789-????. Le Masson, Louis Charles Théodore 1789-????. Le Rouge, Félix 1788-1843. Lebourg, Joseph Hippolyte 1788-????. Ledenmat-Kervern, Fortuné Marie 1788-????. Lefebure de Cérisy, Louis Charles 1807 ; 1789-1864. Lefranc, Claude François 1788-1811. Legrand, Pierre Bernard Louis 1790-1812. Leguay-Delavigne, Jacques Alexandre 1788-????. Lesterpt, Charles François Pierre 1789-1849. Leudet, Jean Baptiste Charles 1789-1811. Levavasseur, Porphire 1788-????. Lévie, Ange Toussaint 1785-????. Lévy, Feistel 1789-????. Lombard de Ginibral, Louis Henri Alexandre 1787-1848. Maguin, Claude Joseph 1789-????. Mardochée, Élie Jacob 1791-????. Mardochée, Élie Lazare 1790-????. Massillon, Joseph Jean Baptiste Albin 1789-1834. Massu, Jean Germain 1789-????. Mazaudier, Joseph Antoine César 1790-????. Mermier, Ennemond 1790-????. Michaux, Auguste Denis 1788-????. Michel, Jean 1788-????. Michel, Jules 1790-1838. Après l’École de Metz, il participa à la campagne d’Allemagne Lutzen, Bautzen et dès 1813 était capitaine. Directeur de la fonderie de Nevers, de l’arsenal de la Guadeloupe, puis du port de Lorient. On lui doit "Le mémorial de l’artilleur marin" 1828, "Observations sur le corps royal de l’Artillerie de marine" 1835 Monmartin, Antoine Gaspard Barthélémy 1790-????. Montalant, François 1790-????. Ingénieur géographe. Il participe comme observateur à la réalisation de la carte au 1/80 000 1819-1830, dite carte de l’État-Major Montmasson, André 1788-????. Moréal, Denis Charles Hippolyte 1789-1812. Moret, Jean Louis 1788-1812. Moyne, Jean Pierre Henri 1788-????. Nantil, Noël 1790-????. Nicolas, Marc Joseph 1789-????. Panichot, Nicolas Alexandre Zéphirin 1789-????. Pasquier, Jean Mathieu Gabriel 1789-1815. Perrin, Pierre 1788-????. Petit, Alexis Thérèse 1791-1820. Enfant prodige, il se révèle capable à dix ans de subir avec succès l’examen d’admission à Polytechnique. Placé dans une École préparatoire, on en fait le répétiteur de ses camarades. Pichard, Gabriel Marc Adrien 1790-1841. Suisse naturalisé français, il remplit cependant, après avoir demandé un congé illimité, les fonctions d’ingénieur cantonal et d’inspecteur des bâtiments dans le canton de Vaud. Piron, Jean Adrien 1790-1850. Plivard, Jean Baptiste 1789-????. Poncelet, Jean Victor 1788-1867. Né à Metz en 1788, élève de l’Ecole polytechnique et de l’Ecole d’application de Metz, il rejoint comme lieutenant la Grande Armée à Vitebsk. Mathématicien et général français, directeur de l'École polytechnique Porlodec-Lanvarzin, Jacques François Joseph Corentin 1788-????. Poulain, Ferdinand Mathias 1787-1812. Poulle, Jean François Augustin 1789-????. Raige, Lazare Jérôme 1789-1812. Ramadou, Pierre Marcellin 1789-1813. Rosselin, Florentin Isidore 1787-1822. Roussot, Antoine Gustave 1790-1828. Salomon, Cahen 1790-1812. Saussine, Jean Joseph 1787-????. Savary, André Daniel 1791-1860. Sénéchal, Jean Nicolas 1788-1852. Simonot-Vertenay, Pierre Charles 1788-????. Souhait, Charles Pierre 1789-????. Soulié, Pierre François Gaspard 1789-????. Stucker, Jean 1785-????. Vaillant, Jean Baptiste Philibert 1790-1872. Officier du génie, maréchal de France, scientifique, membre de l'Académie des sciences Varin de Beautot, Aimable Louis 1788-????. Victor, Augustin 1788-1832. Vimal-Teyras, Annet Charles 1787-1812. Vinard, Frédéric Michel 1788-????. Vongoefft, Jean Joseph 1787-1828. X1808[] Gustave Coriolis, physicien Jean-François Armand[3] 24 juin 1789 - Bar-sur-Aube † 27 mars 1883 - Gravières Aube, polytechnicien X 1808, ingénieur des Ponts-et-Chaussées, député de l'Aube 1837-1848 ; X1809[] Armand Florimond Mimerel 1790 - 1857, ingénieur de la marine, auteur des plans du transfert de l'obélisque de Louxor à Paris Auguste Jean Marie Pierron de Mondésir ° 27 août 1790 - Paris † 8 février 1870, lieutenant-colonel du génie. Eugène Jean Marie de Tascher 1792 - Tué le 25 décembre 1812 - Koenigsberg, mort au champ d'honneur, fils du sénateur, Lieutenant d'artillerie, 1810-1819[] X1810[] Charles-Marie-Joseph Despine, Inspecteur des Mines, homme politique savoyard X1811[] Michel Bizot, général de brigade, commandant de l'École polytechnique de 1852 à 1854, mort au siège de Sébastopol. Paul Boutault, général de brigade, commandant de l'École polytechnique en 1854 Armand Dufrénoy, géologue et minéarologiste Alexis Thérèse Petit, physicien X1812[] Jacques Babinet, physicien et météorologiste Michel Chasles, mathématicien Nicolas Léonard Sadi Carnot, physicien Franciade Fleurus Duvivier, général de division français Marie Tranquille Lebas 1794 - 1853, frère de Jean Baptiste Apollinaire Lebas 1797 - 1873, X1816, ingénieur de la marine, qui a assuré le transfert de l'obélisque de Louxor à Paris sur les plans d'Armand Florimond Mimerel, X1809. Émile Martin, ingénieur et industriel français X1813[] Antoine Bussy, pharmacien et chimiste, découvreur du béryllium Jacques-Emile Destremau d'Estremeau, officier d'Etat-Major Jean-Baptiste Guimet, industriel, découvreur de l"outremer artificiel" Arthur Morin, Scientifique et Général, membre de l'Académie des sciences Guillaume Piobert 1793 - 1871 officier, ingénieur et scientifique français. Barthélemy Prosper Enfantin, économiste Jean Baptiste Etienne François né en 1795[4] X1814[] Comte Barré de Saint-Venant, mécanicien, membre de l'Académie des sciences. Alexandre Bertrand 1795-1831, médecin, écrivain et chroniqueur scientifique. Auguste Comte, philosophe, a été exclu à la Restauration en 1816 en même temps que toute sa promotion, et ne s'est pas représenté. Jean-Marie Duhamel 1797-1872, mathématicien, membre de l'Académie des sciences. Guillaume Stanislas Marey-Monge 1796-1863, comte de Péluse petit-fils de Gaspard Monge, général et homme politique français du XIXe siècle. François Désiré Roulin, naturaliste, membre de l'Académie des sciences. Charles Gilbert Tourret, agronome, ministre. X1815[] Irénée-Jules Bienaymé, probabiliste et statisticien français Gabriel Lamé, mathématicien et physicien coefficient d'élasticité de Lamé Jean-Louis-Marie Poiseuille 1797-1869, médecin français Félix Savary, astronome français X1816[] Benoît Paul Émile Clapeyron, physicien Jean Baptiste Apollinaire Lebas 1797 - 1873, ingénieur de la marine, a assuré le transfert de l'obélisque de Louxor à Paris sur les plans d'Armand Florimond Mimerel, X1809. X1817[] Jean-Baptiste Elie de Beaumont, Géologue, Membre de l'Académie des sciences Jules, 2e comte de Cholet 1798-1884, homme politique français du XIXe siècle, Isidore Didion 1798-1878, général et scientifique X1818[] Charles Eblé 1799-1870, Général, directeur de l'École polytechnique, inspecteur général de l'artillerie X1819[] Joachim Barrande, géologue et paléontologiste Paulin Talabot, entrepreneur des chemins de fer 1820-1829[] X1820[] Camille Bachasson, comte de Montalivet, pair de France et ministre de Louis-Philippe Louis Eugène Cavaignac, général et homme politique français Joseph Charles Maurice Mathieu de la Redorte, homme politique français X1821[] Arthur Clarke 1802-1829, officier d'artillerie Henry Darcy, hydraulicien Louis Napoléon Lannes 1801-1874, duc de Montebello, polytechnicien démissionnaire[5],[6] Adolphe Niel, maréchal de France X1822[] Ferdinand de Jouvencel 1804-1873, conseiller d'État, député, président du Conseil d'État provisoire Amable Désiré Jean Pierre de Selve 1802-1847, sous-lieutenant d'artillerie en 1824, sous-directeur de l'école de Pyrotechnie de Metz en 1846-1847, ancien capitaine d'artillerie en 1847. Urbain Dortet de Tessan, ingénieur hydrographe Edouard-James Thayer 1802-1859, haut fonctionnaire et sénateur du Second Empire X1823[] Octave Pierre Antoine Henri de Chabannes-Curton 1803-1889, marin et homme politique Michel Chevalier, économiste X1824[] Louis-Christophe-Léon Juchault de la Moricière, ministre et général français Eugène Catherine de Beurmann, général français X1825[] Joseph Gratry, philosophe et académicien français Frédéric Le Play, sociologue de la première heure, promoteur du paternalisme patronal et de la maison individuelle Joseph Liouville, mathématicien français Justin Soleille 1807-1873, général de division d'artillerie, commandant en chef de l'artillerie de l'armée du Rhin 1870 X1826[] Victor Considerant, philosophe et économiste Napoléon Daru, Militaire, Homme politique et académicien français Henri Hureau de Senarmont, Physicien, Membre de l'Académie des sciences Alfred de Vergnette de Lamotte, utilisateur du chauffage et de la congélation du vin comme moyen de conservation du vin, bien avant Louis Pasteur X1827[] Alfred Charles Ernest Franquet de Franqueville, directeur général des Ponts et chaussées et des chemins de fer de 1853 à 1876. . Louis Jean Baptiste Auvray,conseiller général de la Manche,maire de Saint-Lô, député de la Manche 1869-1870, négociant en bois, fournisseur officiel de la Marine X1828[] Emmanuel-Louis Grüner, ingénieur métallurgiste, géologue X1829[] Eugène Belgrand, scientifique, membre de l'Académie des sciences Pierre Joseph François Bosquet, maréchal de France Auguste Bravais, physicien Michel-Eugène Lefébure de Fourcy, ingénieur du Corps des mines Grégoire Coffinières de Nordeck, général de division, commandant de l'École polytechnique de 1860 à 1865 Louis Vaneau, mort lors de la révolution de 1830 1830-1839[] X1830[] Estève Boissonnet 1811-1902, général de division d'artillerie, gardien d'Abd el-Kader lors de sa détention en France Idelphonse Favé, général de brigade français, écrivain militaire, membre de l'Académie des sciences. Auguste Forestier 1811-1873, ingénieur en chef des Ponts et Chaussées. Henri Victor Regnault, chimiste et physicien français voir Formule de Regnault. X1831[] Jacques-Joseph Ebelmen, chimiste français. Gaëtan de Rochebouët, général, président du Conseil. Urbain Le Verrier, codécouvreur de la planète Neptune. Auguste Nougarède de Fayet, publiciste, député de l'Aveyron. X1832[] André Denis Alfred Boissonnet, général. Charles-François Cabart-Danneville 1813-1884, répétiteur et examinateur à l'École Polytechnique. Auguste Daubrée, géologue. Louis Joseph Hanoteau, général. Napoléon Louis de Méneval, colonel, officier d'ordonnance du Prince-président, préfet du Palais. François Auguste Périnon, député abolitionniste. Juste Frédéric Riffault, général et homme politique français, commandant de l'École polytechnique de 1870 à 1873 Pierre-Laurent Wantzel, mathématicien. X1833[] Ernest Arrighi de Casanova, ministre de l'Intérieur Eugène Charles Catalan, mathématicien Jean Durand de Villers, général de division, commandant de l'École polytechnique de 1873 à 1876 Henri Tresca, ingénieur Clément Adrien Vincendon-Dumoulin, hydrographe X1834[] François Jules Hilaire Chambrelent, agronome Charles-Eugène Delaunay, astronome et mathématicien français Charles Dombre, ingénieur Ernest Goüin, fondateur, Société de Construction des Batignolles origine de Spie Batignolles Philibert Bernard 1815-1891, marquis de Laguiche, polytechnicien X 1834, capitaine au corps royal d'état-major, député de Saône-et-Loire 1846-184, 1871-1876 Charles Renouvier, Philosophe et académicien X1835[] Henri Dupuy de Lôme, ingénieur du génie maritime, Membre de l'Académie des sciences Jean Joseph Frédéric Albert Farre, général français, ministre de la guerre Paul-Gustave Froment, inventeur Raymond Adolphe Séré de Rivières, général français X1836[] Jean-Charles Alphand, ingénieur des Ponts et Chaussées, Paul Charles Liotier, 1836-1912 ingénieur chargé du Génie Maritime, 25ème Conseiller Général du Vaucluse, X1837[] Achille Delesse, minéralogiste, membre de l'Académie des sciences Agénor de Gramont, diplomate et ministre français des Affaires étrangères Henri Masquelez, adjoint au maire de Lille et directeur des travaux municipaux, premier directeur de l'Institut industriel du Nord. X1838[] Louis Faidherbe, général Pierre-Ossian Bonnet, mathématicien, membre de l'Académie des sciences Joseph-Alfred Serret, mathématicien, astronome, membre de l'Académie des sciences X1839[] Joseph Bertrand 1822-1900, mathématicien, membre de l'Académie française 1840-1849[] X1840[] Ernest de Rambaud, colonel, directeur du service hospitalier de la Croix-Rouge. Edouard Phillips, mécanicien, membre de l'Académie des sciences X1841[] Jacques Antoine Charles Bresse, mathématicien, membre de l'Académie des sciences X1842[] Charles Hermite, mathématicien, membre de l'Académie des sciences Denfert-Rochereau, militaire, défenseur de Belfort durant la guerre de 1870 Gustave Maurouard, industriel français X1843[] Adrien Charles Salanson, général de division, commandant de l'École polytechnique de 1876 à 1878 Alfred Pourrat, général de brigade, commandant de l'École polytechnique de 1878 à 1880 X1845[] Jacques Léon Gallimard, général de division, commandant de l'École polytechnique de 1880 à 1883 Charles Pellé, général de division, commandant de l'École polytechnique de 1884 à 1886 X1846[] Henri Bazin, hydraulicien français Charles de Freycinet, président du Conseil X1847[] Jean Jacques Anatole Bouquet de La Grye, ingénieur hydrographe, membre de l'Académie des sciences Aimé-Henry Resal, mécanicien, membre de l'Académie des sciences X1848[] Aublin, Maximilien Ferdinand 1828-???? ; Audibert, Stéphane Evariste 1828-???? ; Audibert, Vincent Alexandre Eugène 1828-???? ; Aynès, Jean Claude 1829-1871. Colonel. Il combat à Sébastopol et pendant la campagne d’Italie 1859, mais sera par la suite un peu oublié. C’est pendant la guerre de 1870 qu’il révèle ses aptitudes au commandement... Barbary, Charles Narcisse 1830-???? ; Bardonnaut, Paul Étienne 1828-???? ; Béer, Émile Benoît 1829-???? ; Belin, Claude Hyppolyte 1829-???? ; Berger, Claude Henri 1829-???? ; Bernadac, François Marie Félix 1828-???? ; Bès de Berc, Marie François Emmanuel 1826-???? ; Blavier, Arthur Théodore 1828-1883 ; Blutel, Louis Jean 1830-???? ; Boillot, Hyppolite Théodore 1829-???? ; Bonnevay, Alphonse Joseph 1829-???? ; Bouchard, Remy Pierre François 1829-???? ; Boutiller, Antoine Mirtile Cirile 1828-???? ; Brion, Jules Dominique 1828-???? ; Brisson, Joseph Eugène Léonce 1828-???? ; Bry, Charles André 1828-1851 ; Cambard, Pierre Eugène Léon 1826-1870 ; Cardonnel-Fonrozal, Bruno Félix Honoré 1828-1852 ; Cartigny, Henri Hubert Clément 1827-???? ; Chappotin, Charles Marie Martin de 1829-1883 ; Claudel, Auguste Hyacinthe 1829-???? ; Clerc, Camille 1828-1882 ; Cosmao-Dumanoir, Edmond Auguste 1830-1894 ; Coste, Édouard Ferdinand Gustave Philippe 1830-1918. Général de division. Commandant l’École polytechnique de 1883 à 1884 ; Daguilhon-Pujol, Pierre Calixte Emmanuel 1828-1912 ; Dambuyant, Louis Marie Félix 1829-???? ; David, Étienne Auguste Albin 1828-???? ; Dejean, Jean 1828-???? ; Delagrange, Étienne Marie Ernest 1828-1893 ; Demay, Jean 1828-1911 ; Deschamps, Achille François Prosper 1830-???? ; Dressel, Joseph 1827-???? ; Ducos de la Hitte, Ernest Louis Charles 1828-1904, général d'artillerie ; Ducrot, Eugène François Jean 1830-???? ; Duport, Henri Gustave Adolphe 1828-???? ; Durand de Lançon, Charles Alphonse 1828-1871 ; Durand, Jean Joseph 1830-???? ; Fabian, Jean Alfred 1831-???? ; Farcy, Armand Louis Marie de 1829-1855 ; Faugeron, Émile 1829-1911 ; Fauvel, Eusébe 1828-???? ; Faveris, Hyacinthe Louis Eugène 1828-???? ; Fenoux, Gustave Amédée 1828-???? ; Feuchot, Alphonse 1827-???? ; Fontaneau, Étienne Jean Eléonor 1828-???? ; Forqueray, Henry Gaston 1831-1893 ; Forqueray, Marc Gustave 1830-???? ; Foucault, Edmond Marie 1829-???? ; Gardier, Louis Jules 1829-???? ; Gauthier-Villars, Jean Albert 1828-1897, ingénieur et éditeur, directeur de maison d'édition Gauthier-Villars. La maison d’édition Gauthier-Villars fondée à Paris en 1790 par Jean-Marie Courcier, imprimeur-éditeur pour les Mathématiques, les Sciences et les Arts », fut acquise en 1864 par Gauthier. Gilles, Lucien Charles 1829-???? ; Gilly, André Amédée 1830-???? ; Godard-Desmarets, Hippolyte Louis 1828-???? ; Gratreaud, François Jules 1827-???? ; Guérin, Pierre Alfred 1829-???? ; Guillet, Georges Louis 1828-???? ; Guilloux, Joseph Léon 1828-????. Ingénieur des ponts et chaussées. Il apporte son concours aux sociétés concessionnaires des chemins russes et du nord de l’Espagne. Il travaille ensuite en Autriche puis en Roumanie ; Hennin, Jean Émile d’ 1830-???? ; Horric de Beaucaire, Auguste Charles 1829-???? ; Hubert, Edmond Charles Henri 1829-???? ; Humblot, Félix Eugène Edmond 1830-1899 ; Isnard, Paul Emmanuel Joseph 1827-???? ; Jacquet, Oscar Alfred 1825-???? ; Joyeux, Jean Charles 1826-???? ; Joyeux, Paul Émile 1829-???? ; Jusselain, Pierre François 1830-???? ; La Ruelle, Adrien Jules 1827-1870 ; Lafouge, Anne Émile Hercule 1831-???? ; Lagarde, Joseph 1829-???? ; Laperche, Pierre Louis Charles 1828-???? ; Laprade, André Firmin 1830-???? ; Laurenson, Charles Antoine Aimé 1829-???? ; Le Bourg, Édouard Jean Pierre Didier 1829-???? ; Lefèvre, Octave Louis Jean Zulime 1829-1907 ; Lemoyne, Félix 1828-???? ; Leseurre, Jules Camille 1828-???? ; Linder, Oscar 1829-???? ; Mannheim, Victor Mayer Amédée 1831-1906. Ingénieur, officier et mathématicien français, colonel d’artillerie et professeur de géométrie descriptive à l’École polytechnique, il prolonge l’œuvre de Chasles en réunissant en un corps de doctrine, les propositions de la géométrie. Il fut l'inventeur de la règle à calcul. Mathieu, Charles Philippe Antoine 1828-????. Général de division. Directeur de l’artillerie au ministère de la Guerre ; Mention, Jules Alexandre 1829-???? ; Méreau, Charles Louis Victor 1828-???? ; Meurdra, César Auguste 1828-???? ; Meyère, Sante Leo 1828-???? ; Michel, Louis Jules 1829-1901 ; Milly, Louis Gustave de 1827-1871 ; Miribel, Marie Joseph Henri Clément de 1828-???? ; Moine, André Paul 1828-???? ; Morellet, Jacques Francisque Eugène 1829-???? ; Morin, Charles Hilaire 1828-???? ; Moutier, Jules 1829-1895 ; Nicolas, Adolphe Auguste Jean Baptiste 1828-1892 ; Oster, Frédéric Nicolas 1828-???? ; Palasne de Champeaux, Armand Charles Paul 1828-1902 ; Parigot, Jean Baptiste Théodore Albert 1828-???? ; Péan de Ponfilly, Ange Alexandre Emmanuel 1826-1871 ; Pellechet, Jules Antoine François Auguste 1829-???? ; Peyronnet, Joseph Gustave 1828-???? ; Pillon de Saint-Philbert, Marie Pierre Albéric de 1829-???? ; Pioerron-Demondésir, Henri Félix Amédée 1828-???? ; Pitrat, André Maurice 1828-???? ; Pradelle, Marie Louis Joseph Fréjus 1828-???? ; Prompt, Prosper 1829-???? ; Prost, Jean Marie 1829-1893 ; Prudhomme, Désiré Étienne de 1828-???? ; Ragoneau, Alexandre Édouard Henri 1828-???? ; Rain, Alexandre Émile 1828-???? ; Raphaël, Marie Édouard 1828-???? ; Riant, Ferdinand Louis Paul Didier 1827-???? ; Riant, Léon Marie Didier 1828-1903, député de l'Allier 1871-1876 ; Ricour, Théophile Luc 1831-???? ; Romary, Augustin 1827-???? ; Rozier, Auguste Clément 1825-1870 ; Saigey, Émile 1828-1872 ; Saillard, Charles Henri François Eugène 1829-???? ; Saint-Léger, Justin Maurice de 1829-???? ; Schoelcher, Marc Ernest Eugène 1830-???? ; Soviche, Auguste Jean Baptiste 1828-???? ; Thouroude, Paul François 1829-???? ; Thouvenel, Charles Victor Hippolyte 1828-???? ; Touche, Paul Émile 1828-???? ; Trotin, Isidore Alexandre Émile 1830-???? ; Turc, Pierre Victor 1828-???? ; Vaudrey, Léonide 1828-???? ; Venel, Fortuné Marie Jean Baptiste de 1828-1884 ; Verdier du Genouillac, Sévère Alexandre Galiot de 1830-1906 ; Viers, Réné François Marie 1828-???? ; Vivenot, Henry Hyppolite 1828-1909 ; Yver de la Bruchollerie, Gustave 1830-????. X1849[] Édouard Collignon, physicien, membre fondateur de l'Association française pour l'avancement des sciences. 1850-1859[] X1850[] Charles Peaucellier, militaire français, inventeur du dispositif de Peaucellier X1851[] François Ernest Mallard, cristallographe et minéralogiste français François Jacques Dominique Massieu, mathématicien et physicien français X1852[] Auguste Mercier 1833-1951, Ministre de la guerre X1853[] Edmond Laguerre, mathématicien français François Perrier, géodésiste français, membre de l'Académie des sciences X1854[] Tony Dombre, ingénieur et homme politique Armand Rousseau, ingénieur et homme politique X1855[] Jules D'Ingler, ingénieur des Ponts et Chaussées. Marie Ennemond Camille Jordan, mathématicien X1856[] Hippolyte Langlois, général, homme politique et académicien français Maurice Lévy, professeur de mécanique au Collège de France Léonce Verny, ingénieur français qui construisit l'arsenal de Yokosuka X1857[] Louis André, général, impliqué dans l'affaire des fiches Jules Brunet, militaire, inspira le film The Last Samurai Le dernier samouraï Georges Forestier 1838-1905, inspecteur général des Ponts et chaussées, président du Congrès international de l'automobile Alfred Potier, physicien, mathématicien, ingénieur du Corps des mines, membre de l'Académie des sciences Marie François Sadi Carnot, président de la République X1858[] Louis-Émile Bertin, mathématicien, inventeur, ingénieur général du Génie maritime, créateur de la marine militaire du Japon. Marie-Adolphe Carnot, Géologue, Membre de l'Académie des sciences, ingénieur du Corps des mines Hippolyte Sebert, scientifique et général français X1859[] 1860-1869[] X1860[] Alfred Cornu, physicien français X1861[] Paul Tannery, historien des sciences X1862[] Charles Baïhaut, homme politique, ministre des travaux publics, seul personnage condamné dans l'affaire du Scandale de Panamá Georges Henri Halphen, mathématicien Auguste Michel-Levy, géologue, membre de l'Académie des sciences Alfred Picard, ingénieur français Louis-Nathaniel Rossel, homme politique, militaire et écrivain, ancien ministre de la Guerre de la Commune de Paris X1863[] Marcel Dieulafoy, archéologue X1864[] Georges Fabre, forestier, à l'origine du reboisement du massif de l'Aigoual X1865[] Georges Sorel, philosophe et sociologue français, théoricien du syndicalisme-révolutionnaire. X1867[] Marcel Alexandre Bertrand 1847-1907, géologue, membre de l'Académie des sciences Michel-Joseph Maunoury, maréchal de France X1868[] Louis Archinard, général français, Camille Krantz, homme politique Etienne Laffon de Ladébat, général français X1869[] Léon Boyer, ingénieur, directeur général de la construction du canal de Panama Henry Le Chatelier, chimiste, découvreur du principe des équilibres chimiques dit loi Le Chatelier. Joseph Joffre, maréchal de France 1870-1879[] X1870[] Fulgence Bienvenüe, père du métro de Paris Louis Auguste Harel de la Noë, ingénieur en chef des ponts et chaussées des Côtes-d'Armor de 1901 à 1918. Pierre-Henri Hugoniot, officier de marine, spécialiste de balistique intérieure Louis Kreitmann, général de division, commandant de l'École polytechnique de 1908 à 1911 X1871[] Jules Carpentier, ingénieur. Ferdinand Foch, maréchal de France, de Grande-Bretagne et de Pologne. X1872[] Henri Becquerel, un des trois découvreurs de la radioactivité, prix Nobel de physique Antoine Breguet, inventeur de téléphone à base de l'électrocapillarité. Octave Callandreau, astronome Lucien Lévy, mathématicien, examinateur des élèves à l'Ecole Polytechnique, Président de la Société Mathématique de France en 1911. Fils de Edouard Lévy ENS 1843, père de Paul Lévy X 1904 X1873[] Marie Émile Fayolle, maréchal de France Henri Poincaré, mathématicien, travaux sur la théorie du chaos Paul Vieille, chimiste et physicien X1874[] Georges Coutagne, biologiste et naturaliste français. Fernand-Alexandre Curmer, général commandant le secteur de Toul au début de la Première Guerre mondiale, commandant de l'École polytechnique de 1916 à 1919 Jules Léquyer, philosophe. X1875[] Charles Ferton, entomologiste. Albert Louppe, ingénieur et homme politique. X1876[] Robert Bourgeois, général, géographe, homme politique français. Robert Nivelle, militaire, généralissime pendant la Première Guerre mondiale. X1878[] Alfred Dreyfus, officier français accusé à tort de haute trahison en 1894 voir Affaire Dreyfus. X1879[] Jean-Baptiste Eugène Estienne, général, père de l'arme blindée en France Pierre de Laguiche 1859-1940, général de division[7]. 1880-1889[] X1880[] Camille Mortenol, militaire, premier élève noir guadeloupéen. Amédée Alby, ingénieur français dans les ponts et chaussées. X1881[] Amédée Jobin, ingénieur et chef d'entreprise français. X1882[] Pierre Devoluy Paul Gros-Long, colonel du Génie, écrivain, Capoulié du Félibrige de 1901 à 1909. Édouard Estaunié, ingénieur, romancier et académicien français. Maurice Pellé, général, premier chef de l'état-major tchécoslovaque. Alfred Perot, co-inventeur de l'interféromètre de Fabry-Perot. Marcel Prévost, romancier et académicien français. Jacques Rouché, directeur de l'Opéra de Paris de 1914 à 1945. X1883[] André Blondel, inventeur de l'oscillographe. Gédéon Geismar, général d'artillerie X1884[] Louis Bernard, général de division, croix de guerre 14/18 Française 5 Palmes et Belge 2 Palmes Émile Rimailho, ingénieur et industriel, spécialiste de l'artillerie. X1885[] Charles Fabry, physicien. Georges Charpy, chimiste. X1886[] Ernest Seillière, écrivain et académicien français. Paul Louis Weiss, ingénieur X1887[] Gustave Ferrié, général et scientifique français, pionner de la radiodiffusion Charles Koechlin, compositeur Eugène Verlant, ingénieur des mines attaché aux chemins de fer, donne son nom au code Verlant[8]. X1889[] Émile Jouguet, physicien. 1890-1899[] X1890[] Edmond Filhol de Camas, sénateur du Morbihan de 1933 à 1941 Jean Javal, homme politique français Albert Lebrun, président de la République 1932-1940 Louis Loucheur, homme politique français Auguste Ménier, 1870-1939 officier de marine, torpilleur, président de la commission de recettes de l'industrie aéronautique 1917-1918 X1892[] Charles Faroux, ingénieur automobile et journaliste français, créateur des 24 Heures du Mans. X1895[] André-Louis Cholesky, mathématicien et militaire français Marc Sangnier, journaliste et homme politique français X1896[] Léon Charles Thévenin, ingénieur français X1897[] Jean Becquerel, physicien français X1898[] André Citroën, fondateur de Citroën Aimé Doumenc, général Conrad Schlumberger, cofondateur de Schlumberger. Louis Marlio, économiste, haut fonctionnaire, académicien et industriel français. X1899[] Albert Caquot, savant français visionnaire et ingénieur universel, bâtisseur et constructeur aéronautique Maurice Chavane, homme d'affaires De 1900 à 1999[] 1900-1909[] X1900[] Henry Bougier colonel Génie 1879-1941 Raoul Dautry, homme politique français Albert Étévé, pionnier de l'aéronautique, militaire, pilote et ingénieur Antoine Henri Charles Paul Petit, ingénieur spécialiste de l'automobile introduction du moteur Diesel en France ; Peugeot X1901[] Paul Dassault, général et résistant français. X1902[] Auguste Detœuf, auteur des Propos de Barenton, confiseur Émile Girardeau, scientifique, inventeur du radar, académicien X1903[] Joseph de La Porte du Theil, général français, fondateur des Chantiers de la jeunesse française X1904[] Paul Lévy, mathématicien, un des fondateurs de la théorie moderne des probabilités. X1905[] Léon Daum, membre fondateur de la Haute Autorité Georges Painvin, cryptanalyste français, décrypteur du chiffre ADFGVX utilisé par les Allemands. Charles Malégarie, ingénieur, académicien. X1906[] René Carmille, haut fonctionnaire, résistant, mort pour la France en déportation. X1909[] Aimé Lepercq, ministre des Finances et résistant français. Jules Mény, directeur de la Compagnie française des pétroles future Total et résistant. 1910-1919[] X1910[] Eugène Deloncle, homme politique français X1911[] Urbain Cassan, architecte et ingénieur Jean-Édouard Verneau, résistant X1912[] Jules Moch 1893-1985, ministre sous les IIIe et IVe républiques. Étienne Patte, géologue, paléontologiste, préhistorien et anthropologue. Florian Royal 1893-1975, général. Grand-père de Ségolène Royal. X1913[] John Nicolétis, ingénieur, Résistant, co-fondateur d'X-CRISE X1914[] Paul Baudouin, inspecteur des finances, collaborateur, ministre des Affaires étrangères sous Vichy Louis-Lazare Kahn, amiral, dirige les constructions navales des Forces navales françaises libres X1916[] André Raoul Carrus, économiste, iventeur du tiercé Pierre Massé, ancien Président d'EDF X1918[] Eugène Raguin, géologue X1919S[] Marcel Bayard, mathématicien Jean Bertin, résistant, compagnon de la Libération Jacques Rueff, académicien Gonzague Prévôt-leygonie, Officier 1920-1929[] X1920N élèves civils[] Jean Borotra, joueur de tennis, un des Quatre Mousquetaires André Gougenheim, ingénieur hydrographe général, académicien Louis Leprince-Ringuet, physicien, académicien, professeur au Collège de France Jean-Marie Louvel, homme politique français DASTE RENE,ingénieur Alsthom, mort pour la France 1940 X1920S élèves anciens combattants[] Alfred Sauvy, démographe, économiste, professeur au Collège de France. X1921[] Honoré d'Estienne d'Orves, résistant André Mauzin, ingénieur en chef de la SNCF, inventeur Raoul Vernoux, Général de Corps Aérien, Major Général des Forces Armées, résistant X1922[] Pierre Laurent, militant breton Robert Gibrat, statisticien, économiste, ministre sous le régime de Vichy X1923[] Jean Bichelonne, Haut fonctionnaire, Collaborateur, ministre sous Vichy. X1924[] Louis Armand, résistant, DG de la SNCF, académicien Yves du Manoir, ancien international français de rugby à XV Paul-Marie Pons, ingénieur français, auteur du Plan Pons Jean-Marie Roy, lieutenant-colonel, ingénieur, professeur à l'ITBTP. Elie-Pierre Labouérie, Général de Corps d'Armée, professeur à l'Ecole de Guerre, Inspecteur Général du Génie, X1926[] Henri Ziegler, avaiateur français, chef d'état-major des FFI, responsable du projet Concorde. X1927[] Raymond Abellio, écrivain Henri Desbruères, président d'Air France, PDG de la Snecma, président et PDG de Bull-General-Electric. Guy du Merle, premier directeur de l'École nationale de l'aviation civile de 1948 à 1951. X1928[] Pierre Guillaumat, homme politique et industriel français X1929[] Mohamed Ali El Annabi, Homme de sciences et militant tunisien Pierre Satre, ingénieur de l’aéronautique, inventeur d'avion à réaction à moteurs arrières. Pierre Schaeffer, théoricien, compositeur et écrivain français, le père de la musique concrète et de la musique électro-acoustique 1930-1939[] X1930[] Jacques de Guillebon GénéK 30, Général, Résistant, Compagnon de la Libération X1931[] Maurice Allais, prix Nobel » d'économie en 1988. Jacques Maillet, résistant, compagnon de la Libération. René Anthouard, Général de Division. X1932[] André Dewavrin, plus connu sous le nom de colonel Passy, grand résistant. Charles Bricogne, résistant, compagnon de la Libération, mort pour la France. Jacques Jacquesson, ingénieur atomiste, un des artisans de la première bombe atomique française. X1933[] Max Barel, résistant. Max Dumas, ingénieur des Ponts et Chaussées Gilbert Manuel, directeur de l'École nationale de l'aviation civile de 1951 à 1967. Jean Panhard, PDG Panhard et Levassor X1934[] André Boulloche, Homme politique, ancien ministre de l'Éducation nationale, résistant, compagnon de la Libération Robert Mitterrand, ingénieur, frère de François Mitterrand Pierre Schaeffer, compositeur, inventeur de la musique concrète Antoine Argoud, militaire X1935[] Maurice Bourgès-Maunoury, président du conseil, résistant, compagnon de la Libération X1936[] Étienne Schlumberger GénéK 1936, un officier de marine français, résistant et Compagnon de la Libération X1937[] Jean Ortusi, fondateur et ancien directeur de Thomson CSF-Airsys, auteur scientifique, inventeur, docteur es science physique et mathématiques appliquées, enseignant président de chaire à la CALTECH, résistant décoré de l'ordre du mérite. X1938[] Claude Abadie, clarinettiste et chef d'orchestre de jazz. Jean Bertin, inventeur de l'aérotrain, missaire André Bollier, résistant, Compagnon de la Libération, Mort pour la France Roger Denis, lieutenant, pilote de chasse au sein de l'Escadron de chasse 1/30 Normandie-Niemen, Chevalier de la Légion d'Honneur, Croix de guerre 1939-1945, Mort pour la France Bernard Gregory, physicien, responsable scientifique X1939[] Henri Delattre, industriel français René Granier de Lilliac, ancien PDG de Total Serge Ravanel, résistant français 1940-1949[] X1940[] Robert Saunal, résistant français, compagnon de la Libération Claude Cheysson GénéK 1940, haut fonctionnaire et homme politique Ambroise Roux, homme d'affaires Guy Dejouany, industriel François Vaultrin, officier de la 2ème DB, mort pour la France X1942[] Jean Couzy, alpiniste Georges Edouard Delannoy, directeur général des Houillères du bassin du Centre Midi Bernard d'Espagnat, membre de l'Académie des sciences morales et politiques Jacques Friedel, physicien, membre de l'Académie des sciences, médaille d'or du CNRS Claude Helffer, pianiste Edmond Malinvaud, économiste X1943[] Claude Fréjacques, haut fonctionnaire et chimiste français Jean-Jacques Servan-Schreiber, co-fondateur de L'Express, ancien secrétaire général du Parti radical François du Castel, chercheur et ingénieur dans le domaine des télécommunications X1944[] André Giraud, major de la promotion 1944, haut fonctionnaire et homme politique français, ministre de la Défense Valéry Giscard d'Estaing, ministre des Finances, puis président de la République, académicien André Lagarrigue, physicien français Benoit Mandelbrot, découvreur de la loi de Mandelbrot et promoteur des fractales Pierre Lafitte, ancien sénateur des Alpes-Maritimes X1945[] Albert Jacquard, généticien français Jacques Villiers, ancien président de la section morale, droit, sociologie et économie » de l'académie nationale de l'air et de l'espace X1946[] Serge Dassault, ancien PDG de Dassault Raymond Lévy, ancien PDG de Renault Louis Pailhas, directeur de l'École nationale de l'aviation civile de 1967 à 1982 Jean Robieux, physicien français X1947[] Jean Bastien-Thiry, ingénieur militaire de l’air, créateur du missile filoguidé SS-11 et organisateur de l’attentat du Petit-Clamart contre Charles de Gaulle. Henri Martre, homme d'affaires, PDG d'Aérospatiale Jacques Mélèse, pionnier de l'Analyse modulaire des systèmes AMS. Claude Perdriel, PDG de et Le Nouvel Observateur Jacques Théry, homme d'affaires, PDG du laboratoire pharmaceutique Lematte et Boinot puis de Astra France Hubert Jacqz, homme d'affaires, PDG du groupe Pétrolier BP France Michel Bignier, directeur général du CNES, puis directeur du programme Spacelab ESA X1948[] Jacques Lesourne, économiste français Georges Besse, ancien PDG de Renault X1949[] Jean Gandois, ancien président du CNPF Robert Dautray, Scientifique, membre de l'Académie des sciences Jacques Lesourne, Economiste français Ionel Solomon, Physicien, membre de l'Académie des sciences 1950-1959[] X1950[] Michel Malherbe, encyclopédiste X1951[] Jacques Dondoux, ingénieur et homme politique français Jean-Jacques Basselier, professeur de chimie à l'université Paris VI X1952[] Roger Balian, membre de l'Académie des sciences, Conseiller Scientifique au CEA Marc Chervel, économiste français Georges Maignan, ancien directeur du centre expérimental d'Eurocontrol, correspondant de l'académie nationale de l'air et de l'espace Jean Morlet, géophysicien français précurseur dans le domaine ondelettes. André Sarreméjean, directeur de l'École nationale de l'aviation civile de 1982 à 1990. Gérard Théry, homme d'affaires X1953[] Jacques Ducuing, professeur d'université et haut fonctionnaire Marcel Froissart, professeur honoraire au Collège de France Charles-Michel Marle, mathématicien Paul Vecchiali, réalisateur Romain Zaleski, homme d'affaires X1954[] .Charles Goldner, Directeur poids et mesures, ingenieur general[] .Pierre Suard, ancien PDG d'Alcatel Alsthom[] X1955[] Claude Bébéar, ancien PDG d'Axa Philippe d'Iribarne, homme d'affaires et économiste Georges-Yves Kervern, inventeur de la Cindynique Paul Henri Rebut, physicien. X1956[] Jean-Marie Descarpentries, ancien PDG de CarnaudMétalBox et de Bull Yves Lambert, ancien directeur général d'Eurocontrol Guy Laval, physicien, membre de l'Académie des sciences André Lévy-Lang, professeur d'universités, administrateur de sociétés Claude Riveline, professeur de gestion à Mines ParisTech Lionel Stoléru, homme politique français X1957[] Huy Duong Bui, scientifique, membre de l'Académie des sciences Jean-Paul Parayre, président du conseil de surveillance de Vallourec, ancien président du directoire de Peugeot-Citroën X1958[] Paul Andreu, architecte Edouard Brézin, physicien, membre de l'Académie des sciences, ancien directeur du CNRS Bernard Brunhes, chef d'entreprise Gilles Cohen-Tannoudji, physicien Roland Glowinski, mécanicien, membre de l'Académie des sciences Jean Peyrelevade, homme d'affaires et homme politique, ex-PDG de Suez et du Crédit Lyonnais Jean Syrota, Ingénieur du corps des mines Serge Tchuruk, PDG d'Alcatel Daniel Dewavrin, ancien PDG de Luchaire X1959[] Michel Aglietta, économiste français Philippe Ciarlet, mathématicien, membre de l'Académie des sciences Philippe Herzog, homme politique, membre du PCF de 1965 à 1996, président de l'IEFP Jean-Michel Hubert, haut fonctionnaire Francis Mer, industriel et homme politique français, ministre de l'économie de mai 2002 à mars 2004 Jean Salençon, scientifique, mécanicien, membre de l'Académie des sciences, professeur à l'École polytechnique 1960-1969[] X1960[] Jean-Louis Beffa, homme d'affaires, président-directeur général de Saint-Gobain Alain Bensoussan, mathématicien, membre de l'Académie des sciences, membre de l'Académie des technologies Bertrand Collomb, homme d'affaires, ancien président de Lafarge, membre de l'Académie des sciences morales et politiques. Michel Combarnous, mécanicien Alain Desrosières, statisticien et sociologue. Michel Didier, économiste. Jean-Pierre Dupuy, philosophe, membre de l'Académie des technologies Pierre Faurre, homme d'affaires, ancien PDG de SAGEM, scientifique, membre de l'Académie des sciences. Jean-René Fourtou, homme d'affaires, président du conseil de surveillance de Vivendi. Daniel Kaplan, physicien, membre de l'Académie des sciences. Jacques Mairesse, économiste. Christian Sautter, homme politique français Michel Volle, économiste Émile Zuccarelli, homme politique français X1961[] Thierry Aubin, mathématicien, membre de l'Académie des sciences François Mathey, chimiste, membre de l'académie des sciences, professeur à l'École polytechnique Claude Mandil, directeur exécutif de l'Agence internationale de l'énergie AIE. Jacques Ninio, biologiste. Michel Pébereau, PDG de BNP Paribas, membre de l'Académie des sciences morales et politiques Étienne Pflimlin, président de la Confédération du Crédit mutuel Pierre Richard banquier, président de Dexia Paul Quilès, ministre de la Défense en 1985, des postes, des télécommunications et de l'espace en 1988. Philippe Auberger, homme politique, haut fonctionnaire, député de l'Yonne. X1962[] Jean-Paul Alduy, homme politique, ancien maire de Perpignan Albert Bijaoui, astronome. Jean-Paul Béchat, président du directoire de SAFRAN, ex-SNECMA + SAGEM Pierre Gadonneix, ancien PDG d'EDF Roger Guesnerie, économiste, professeur au Collège de France. Philippe Kourilsky, biologiste, professeur au Collège de France, membre de l'Académie des sciences, professeur à l'Institut Pasteur. Jean-Yves Lallemand, chimiste, membre de l'Académie des sciences, professeur à l'École Polytechnique. Didier Lombard, PDG de France Télécom Jacques Vernier, homme politique, maire de Douai X1963[] Jacques Attali, économiste, écrivain Denis Badré, homme politique, sénateur des Hauts-de-Seine, ancien haut fonctionnaire Bernard Besson, expert en intelligence économique Paul Champsaur, président de l'Autorité de régulation des télécommunications Guy Dollé, ancien PDG d'Arcelor François Lureau, ancien délégué général pour l'Armement Thierry de Montbrial, économiste, président de l'académie des sciences morales et politiques, professeur à l'École polytechnique Philippe Lagayette, Vice-Président de JPMorgan Europe Moyen-Orient Afrique Alain-Jacques Valleron, professeur de médecine, membre de l'Académie des sciences William Varoquaux Pierre Verluca, ancien président du Directoire de Vallourec X1964[] Michel Bernard, ancien président d'Air Inter et ancien directeur de l'ANPE Bernard Cabane, physicien et chimiste Thierry Desmarest, ancien président de Total Bruno Durieux, homme politique Gilles Kahn, ancien président de l'INRIA, membre de l'Académie des sciences Jean-François Roverato, PDG d'Eiffage X1965[] Paul-Louis Arslanian, directeur du BEA Bureau d'enquêtes et d'analyses pour la sécurité de l'aviation civile de 1995 à 2009 Jean-Paul Bailly, président du Groupe La Poste depuis 2002 Alain Bravo, homme d'affaires Jean-Marc Deshouillers de, professeur de mathématiques, président des commissions d'examen à l'École polytechnique Noël Forgeard, PDG d'Airbus de 1998 à 2005 Pierre-Henri Gourgeon, directeur général d'Air France - KLM de 2009 à 2011 Mohamed Kabbaj, homme politique marocain, ministre des Travaux publics du Maroc Guy Laroque, économiste Marcel Lesieur, professeur à l'INPG, mécanicien, membre de l'Académie des Sciences Gérard Mégie, chercheur, président du CNRS de 2000 à 2004, membre de l'Académie des Sciences Hubert Peigné, coordonnateur interministériel pour le développement de l’usage du vélo dit Monsieur Vélo » de 2006 à 2011. Alain Soucheleau, directeur de l'École nationale de l'aviation civile de 1990 à 1999 Marc Tessier, président de France télévisions de 1999 à 2005 Claude Thélot, haut fonctionnaire X1966[] Francis Berthelot, écrivain français, notamment connu pour ses ouvrages de science-fiction. Jean-Pierre Bourguignon, mathématicien, directeur de l'Institut des Hautes Etudes Scientifiques. Michel Caboche, biologiste, membre de l'Académie des sciences Yves Carcelle, PDG de Louis Vuitton Jean-Jacques Dumont, vice-président du conseil général des Mines Yannick d'Escatha, président du CNES, ancien président du conseil d'administration de l'École polytechnique. Jean-Martin Folz, ancien PDG de PSA Peugeot Citroën. Jean-Louis Gergorin, ancien membre du Comex EADS, impliqué dans l'affaire Clearstream. Alain Lipietz, homme politique français. Jean Louis Masson, homme politique, sénateur de la Moselle. Pierre-André Périssol, homme politique, député de l'Allier. Olivier Pironneau, mécanicien, membre de l'Académie des Sciences. Christian Scherer. Christian Stoffaës, major de promotion. X1967[] Gérard Berry, Scientifique, membre de l'Académie des sciences Jean-Michel Bismut, Scientifique, membre de l'Académie des sciences Dominique Colin de Verdière, ingénieur de l'aviation civile, correspondant de l'académie nationale de l'air et de l'espace Pierre-Noël Giraud, économiste Hervé Loilier, peintre contemporain et professeur d'Histoire de l'art, missaire. Jacques Mistral, économiste Jean-Pierre Rodier, Ancien PDG de Péchiney Frédéric Rico, directeur des opérations aériennes d'Aéroport de Paris et correspondant de l'académie nationale de l'air et de l'espace Jean-Paul Troadec, directeur du Bureau d'enquêtes et d'analyses pour la sécurité de l'aviation civile X1968[] Jean-Michel Charpin, directeur de l'Insee, économiste Olivier Faugeras, informaticien, membre de l'Académie des sciences Philippe Flajolet, informaticien, membre de l'Académie des sciences Pierre Graff, président-directeur général des Aéroports de Paris Henry de Lesquen du Plessis Casso, ancien élève de l'ENA, président du Club de l'Horloge, directeur de Radio Courtoisie Jacques Mazoyer, informaticien Gérard Mestrallet, PDG de Suez Laurent Thévenot, économiste X1969[] Bernard Arnault, PDG de LVMH Rémi Caron, haut fonctionnaire Dominique Casajus, anthropologue Pierre-Olivier Drège, directeur général de l'Office national des forêts, président de l'association des forêts d'État européennes. Bruno Mégret, homme politique français, fondateur du Mouvement national républicain Hubert du Mesnil, Haut Fonctionnaire, président-directeur général de RFF Bertrand Meyer, créateur du langage de programmation Eiffel. Arnold Migus, scientifique, directeur général du CNRS. Pierre Pringuet, administrateur directeur général délégué de Pernod Ricard. Gérard Rozenknop, directeur de l'École nationale de l'aviation civile de 1999 à 2008. Bernard Savonet, agitateur technologique, journaliste, enseignant et consultant. 1970-1979[] X1970[] Patrick Artus, économiste en chef de Natixis Antoine Compagnon, essayiste, professeur au Collège de France. Marc de Fouchécour, professeur à Arts et Métiers Paristech et Directeur associé de Nextmodernity Jean-Paul Herteman, PDG de Safran. Yves Mansion, PDG de la Société foncière lyonnaise. Denis Ranque, président de Technicolor et ancien PDG de Thales. X1971[] François Drouin, PDG d'OSEO, architecte-ingénieur. Bertrand Lemoine, architecte, ingénieur et enseignant, directeur de l'Atelier international du Grand Paris. Didier Maufras Jean-Marie Petitclerc, prêtre catholique salésien, éducateur spécialisé, fondateur du Valdocco à Argenteuil. X1972[] Anne Chopinet, première femme major de l’X, présidente de l'ERAP Françoise Combelles, déléguée générale à l'innovation et au développement durable de la RATP Erik Decamp, guide de haute montagne Elisabeth Dupont-Kerla, DG de l'INRETS Jean-Marie Duthilleul, architecte, mari d'Anne Chopinet Nicole Gontier, ancienne directrice du développement d'Aéroports de Paris, DG des services techniques de la communauté urbaine de Dunkerque-Littoral. Paul Hermelin, PDG de Cap Gemini. Michel Kasser, géodésien français et suisse, ancien directeur de l'ESGT et de l'ENSG. Xavier Michel, directeur de l'École polytechnique du 1er août 2005 au 30 juillet 2012 Dominique Senequier, présidente d'Axa Private Equity Thu Thuy TA, consultante dans le domaine de l’eau de l’assainissement, de l’environnement, des déchets Michel Wachenheim, ambassadeur et représentant permanent de la France auprès de l’organisation de l'aviation civile internationale X1973[] Edwige Bonnevie, première femme ingénieur générale de l'armement, directrice au CEA François-Xavier Deniau, ambassadeur Marion Guillou, PDG de l'INRA, Président du conseil d'administration de l'École polytechnique Pierre Haren, PDG fondateur de ILOG Xavier Huillard, administrateur, directeur général de Vinci Patrick Kron, PDG d'Alstom Patrick Leleu, PDG d'Infogrames Jean-Bernard Lévy, président du Directoire de Vivendi François Loos, homme politique, ancien ministre Claude Nahon, directrice du développement durable d'EDF Marie-Laurence Pitois-Pujade, administratrice civile hors classe, chef de mission de contrôle général, économique et financier au ministère du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’État Christian Robieux, Wireless R&D Alcatel-Lucent Brigitte Serreault, vice-présidente d'EADS-Astrium Reynald Seznec, PDG de Thales Alenia Space Jean Tirole, économiste français, Médaille d'or du CNRS Marie-Solange Tissier, directirce adjointe de Mines Paris Tech Philippe Varin, président du directoire de PSA Peugeot Citroën Luc Vigneron, PDG de Thales X1974[] Olivier Colaïtis, PDG de Galiléo Industries Carlos Ghosn, PDG de Renault-Nissan Gilles Michel, PDG d'Imerys Patrick Pélata, ancien directeur général délégué de Renault X1975[] Jean-Paul Faugère, directeur de cabinet du Premier ministre François Fillon Alain Grandjean, consultant, spécialiste dans le domaine de l'énergie et du climat Pierre Jacquet, économiste Philippe Soulié, président du directoire de CNIM société X1976[] Chakib Benmoussa, ancien ministre de l'Intérieur du Maroc. Jérôme Contamine, vice-président exécutif et directeur financier de Sanofi-Aventis[9]. Rose Dieng-Kuntz, première africaine de l'X, INRIA. Francis Kramarz, économiste. Jean-Marie Messier, ancien PDG de Vivendi Universal. Alain Rossmann, un des évangélistes » du Macintosh, multi-entrepreneur aux USA, un des pères » du WAP. Serge Salat, directeur du Laboratoire des morphologies urbaines, architecte et écrivain X1977[] Dove Attia, producteur de comédies musicales, jury dans l'émission La Nouvelle Star. Yves Demay, directeur de l'École polytechnique depuis le 1er août 2012. Antoine Frérot, PDG de Veolia Environnement. Hervé Mariton, député de la Drôme, maire de Crest, ancien ministre de l'Outre-mer. Luc Ravel, évêque aux armées françaises. Pierre Tapie, président de la Conférence des grandes écoles. X1978[] Jean-François Clervoy, spationaute de l'ESA, PDG de Novespace François Énaud, PDG de Stéria. Manuel Munz, producteur de films. Didier Tabuteau, responsable de la Chaire Santé de Sciences politiques Paris. François Villeroy de Galhau, directeur des impôts, ancien PDG de Cetelem. X1979[] Fabienne Keller, ancien maire de Strasbourg, sénatrice. Grégoire Olivier, directeur des opérations en Asie du groupe PSA. Luc Dormieux, ingénieur général de l'École nationale des ponts et chaussées 1980-1989[] X1980[] Antoine Bouvier, PDG de MBDA. Fabrice Brégier, directeur général délégué d'Airbus. Stéphane Janichewski, directeur général délégué du CNES. Laurent Giovachini, directeur général adjoint de Sopra Steria. X1981[] Bernard Bensaïd, économiste. Gilles Bloch, directeur de l'ANR 2005-2006, directeur général de la Recherche et de l'innovation. Elisabeth Borne, Première Ministre depuis le 16 mai 2022. Jean-Laurent Bonnafé, directeur général de BNP-Paribas. Laurent Bouyoux, PDG de BlackFin Capital Partners. Yves Bréchet, spécialiste des matériaux, membre de l'Académie des sciences. Jean-Pierre Mustier, PDG de UniCredit Jean-Marc Jancovici, consultant, spécialiste dans le domaine de l'énergie et du climat. Eric Maurin, économiste. Frédéric Oudéa, PDG de la Société générale. Bernard Salanié, économiste. Pascale Sourisse, PDG de Thales Communications & Security. X1982[] Bruno Bézard, directeur général de l'APE. Philippe Perrin, spationaute. Tidjane Thiam, CEO de Prudential PLC. X1983[] Marwan Lahoud, directeur général délégué à la stratégie et au marketing du groupe EADS Thierry Le Hénaff, PDG d'Arkema. Alain Seban, président du Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou. Jacques Veyrat, PDG de Neuf Cegetel. Pascal Seurot, Directeur de Programme. X1984[] François Bourdoncle, co-fondateur et actuel directeur de la stratégie d'Exalead. X1985[] Alexis Bonnet, mathématicien et financier. X1986[] Antoine Joux, cryptologue. X1987[] Benoît Cœuré, ancien directeur général de l'Agence France Trésor, désormais l'un des six membres du directoire de la banque centrale européenne. Guillaume Faury, directeur recherche et développement de PSA Peugeot Citroën Vivek Badrinath, directeur executif de France Télécom, Directeur Général d'Orange Business Services. X1989[] Christophe Breuil, mathématicien. Marc Fleury, PDG de JBoss. Gilles Le Blanc, économiste. 1990-1999[] X1990[] Étienne Wasmer, économiste. X1991[] Jean-Charles Fitoussi, réalisateur. X1992[] Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l'Écologie, du Développement durable et des Transports. David Thesmar, économiste. X1993[] Fabrice Bellard, développeur, détenteur du record mondial du calcul des décimales binaires du nombre π. X1994[] Caroline Aigle, officier de l'Armée de l'air, première femme pilote de chasse de l’Armée française. Depuis 2000[] X2001[] Jonathan Gilad, pianiste. Notes et références[] ↑ Ange Louis Clément de Ris », sur consulté le 30 juin 2011 ↑ ↑ Armand Jean-François » , dans Robert et Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, 1889 [détail de l’édition] [texte sur Sycomore] ↑ Erreur de référence Balise incorrecte aucun texte n’a été fourni pour les références nommées roglo ↑ André F. Borel d'Hauterive et Albert Révérend, Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, vol. 7, Champion, [lire en ligne] ↑ Louis Napoléon LANNES DE MONTEBELLO », sur consulté le 23 mai 2011 ↑ Notice no 19800035/232/30709 », base Léonore, ministère français de la Culture ↑ Annalles, Eugène Antoine Alexandre VERLANT 1867-1958, lire en ligne consulté le 11 février 2010. ↑ Jérôme Contamine est nommé directeur financier, consulté le 24 avril 2009 [1] Voir aussi[] Articles connexes[] Liste de polytechniciens par ordre alphabétique Liens externes[] Base regroupant tous les anciens élèves Portail des grandes écoles Erreur Lua dans ModuleCatégorisation_badges à la ligne 154 attempt to index field 'wikibase' a nil value. ↑ Roglo 2016.
MariaPacôme, nom de scène de Simonne Pacôme, née le 18 juillet 1923 à Paris 14 e et morte le 1 er décembre 2018 à Ballainvilliers (), est une comédienne et dramaturge française, surtout connue pour ses rôles de bourgeoises exubérantes au théâtre de boulevard.Elle a joué dans une cinquantaine de films, téléfilms et séries télévisées
Acteur et réalisateur né le 13/04/1927 et décédé en 1983, Maurice ROBINET, dit, RONET a été un acteur prolifique avec quasiment cent personnages campés au cinéma dans une carrière courte rompue par une mort brutale à cinquante-cinq débutsIl est le fils de deux comédiens et partage avec eux les coulisses des tournées de théâtre, mais un sentiment de solitude profonde le poussera à commencer une carrière dès 1943 à l'age de seize ans. C'est ainsi qu'il s'inscrira au Centre du Spectacle de la Rue Blanche, puis, au Conservatoire où il recevra le cours de Jean Louis BARRAULT, René SIMON ou Maurice LEROY. Il débutera au théâtre en 1952 dans la pièce de Jean Cocteau "Les parents terribles" dans laquelle il jouera le rôle du fils de ses propres parents. Suivront "Un beau dimanche" de Jean-Pierre AUMONT, puis, "Roméo et Juliette" de William SHAKESPEARE dans laquelle il interprétera le rôle-titre. Le cinémaC'est en 1948 qu'il tient son premier rôle à l'écran dans un court-métrage mais son premier vrai personnage de cinéma sera sans conteste celui de Roger MOULIN dans le film de Jacques BECKER "Rendez-vous de juillet". Ce rôle le propulsera en haut de l'affiche et il deviendra le jeune premier du moment. En 1950, il épouse Maria PACOME, elle-même actrice, qui délaissera sa carrière jusqu'à leur divorce en 1956. En 1957, il tourne dans "Ascenseur pour l'échafaud" de Louis MALLE, ce sera son premier rôle tragique. Il ne quittera plus ce registre jusqu'à la fin de sa carrière en jouant des personnages sombres et suicidaires. En 1964, il se frotte à la réalisation en tournant "Le Voleur de Tibidabo" qui sera le premier d'une suite de neuf films tournés la plupart pour la télévision. Il deviendra au fil du temps l'acteur fétiche de Claude CHABROL qui le fera tourner dans nombre de ses œuvres. L'un des films les plus notoires de sa carrière, bien qu'il n'y tienne pas le rôle principal, reste "La Piscine" de Jacques DERAY tourné en 1969 aux côtés d'acteurs prestigieux tels que Alain DELON et Romy SCHNEIDER. En 1980, il épousera Joséphine CHAPLIN avec laquelle il partage sa vie depuis plusieurs années et qui lui donnera un fils, Julien RONET, avant sa fin funeste en 1983.

MauriceRonet à propos de sa carrière Maurice Ronet à propos de sa carrière Maurice Ronet à propos de sa carrière. Reflets de Cannes - 17.05.1957 - 04:35 - vidéo. François CHALAIS interviewe Maurice RONET, debout accoudé à un arbre, fumant une cigarette. Maurice RONET, ne trouve pas désagréable qu'on dise qu'il a un physique de "jeune premier", mais

joue dans les films ci-dessous. Film 2001 français de Florence QuentinAvec Catherine Jacob, Michèle Laroque, Garance Clavel, Isabelle Candelier, Yvan Le Bolloc'hDurée 1h37Genre Comédie Lily, une femme légèrement enveloppée, vient d'être quittée par son compagnon Barnabé, parti avec sa collaboratrice Anaïs, aussi ravissante que mince. Sur les conseils de ses copines, la jeune femme décide de se faire ... Nombre de votants 533 internautes Note 4,4 /10 film sorti en vod, dvd et blu ray film sorti en dvd et blu ray
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Maurice Robinet, dit Maurice Ronet, est un acteur et réalisateur français, né le 13 avril 1927 à Nice et mort le 14 mars 1983 à Paris. Au cours d'une carrière internationale en dents de scie qui compte plus de cent films des années 1950 au début des années 1980, il a tourné avec Jacques Becker, Christian-Jaque, Denys de La Patellière, Jules Dassin, Louis Malle, Lewis Gilbert, René Clément, Jacques Doniol-Valcroze, Carl Foreman, Roger Vadim, Alexandre Astruc, Claude Chabrol, Marcel Carné, Mark Robson, Romain Gary, Jacques Deray, Robert Parrish, Michel Deville, Georges Lautner et Bertrand Blier. Il a eu notamment pour partenaire Alain Delon, Daniel Gélin, Anthony Quinn, Jeanne Moreau, Romy Schneider, Jean Seberg, Brigitte Bardot, Debbie Reynolds, Anthony Perkins, James Mason ou Michel Bouquet. Connu pour des rôles mémorables de salaud magnifique », de séducteur sans scrupule » ou de dandy suicidaire », il est considéré par Jean Tulard comme l'un des meilleurs acteurs de l'après-guerre ». Maurice Ronet a réalisé plusieurs films pour la télévision. Il est l'auteur avec Hervé Le Boterf d'un livre d'entretiens Le Métier de comédien. Biographie Enfance Fils unique des comédiens Émile Ronet Émile Robinet et Paule de Breuil Claire Salvi, mariés le 24 mars 1927 à Paris 12e[1], il découvre très tôt l'atmosphère et les difficultés du métier d'acteur, en accompagnant ses parents dans les tournées à travers toute la France. Après avoir passé trois ans au lycée Carnot, boulevard Malesherbes, il est scolarisé en 1937 au Lycée Michelet de Vanves. De 1939 à 1942, la famille Ronet est installée à Lausanne. Il y fait ses débuts sur les planches en 1941 en jouant une pièce de Sacha Guitry avec ses parents Deux couverts. Il se passionne pour la littérature, avec un goût particulier pour Edgar Poe et Herman Melville. En 1942, il réintègre brièvement le lycée Carnot. Bien que cette enfance ait été enrichissante, il ressent très rapidement le besoin de s'éloigner de cette famille heureuse au sein de laquelle il ressent une profonde solitude. Ce choix d'évasion le pousse à débuter très jeune, à 16 ans, au Centre du Spectacle de la Rue-Blanche où il reçoit ses premiers cours d'art dramatique avec Julien Bertheau, Maurice Donneaud ou encore Bernard Blier pour professeurs. Il y fait la connaissance de Remo Forlani qui devient son ami. Débuts au théâtre Il passe un an au Conservatoire, où il travaille sous la direction de Jean-Louis Barrault et René Simon. À la fin de ses études, il foule les planches dans Les Parents terribles de Jean Cocteau, puis dans Un beau dimanche de Jean-Pierre Aumont sans oublier Roméo et Juliette où il incarne le rôle principal aux côtés de Nicole Berger. En 1949, Brigitte Auber, qui est sa partenaire dans la pièce La dame de minuit, parle de lui à Jacques Becker, qui lui fait passer des essais pour le film qu'il prépare Rendez-vous de juillet[2]. Débuts au cinéma Jacques Becker lui donne le rôle de Roger Moulin. Émile Ronet et Paule de Breuil, incarnent ses parents. Le film réunit de jeunes acteurs qui deviendront des vedettes Nicole Courcel, Daniel Gélin, Françoise Arnoul, Pierre Mondy... C'est un grand succès. Maurice Ronet accède au statut de jeune premier. Pourtant, ce film et quelques autres, dont Un grand patron, sorti deux ans plus tard, lui donnent l'impression de ne pas vraiment progresser. Après son service militaire, il épouse en 1950 la comédienne Maria Pacôme, qui décide pour lui de quitter la scène et de s'adonner à ses autres passions, la peinture et la poterie. Les deux jeunes mariés s'installent à Moustiers-Sainte-Marie. Entre deux tournages, Ronet fait de la peinture, de la céramique et écrit des romans qu'il détruit. Années 1950 vers le vedettariat Considéré par les critiques comme un espoir sûr du cinéma, il tient jusqu'en 1955 des rôles secondaires dans une douzaine de films dont certains seront de grands succès, tels Un grand patron d'Yves Ciampi, au côté de Pierre Fresnay, Les sept péchés capitaux sketch La luxure d'Yves Allégret avec Viviane Romance, La môme vert-de-gris de Bernard Borderie avec Eddie Constantine, Lucrèce Borgia de Christian-Jaque avec Martine Carol ou Les aristocrates de Denys de La Patellière. Maurice Ronet accède aux premiers rôles en 1955 avec Gueule d'ange de Marcel Blistène puis avec un film d'André Michel où il donne la réplique à Marina Vlady La Sorcière. Il joue le rôle d'un ingénieur tombant amoureux d'une vagabonde. C'est un personnage ambivalent qui peut se montrer gentil et attentionné ou enjôleur et cynique. Ronet adore le scénario et considère le film comme l'un des plus importants de sa carrière. Le film obtient un Ours d'argent au festival de Berlin 1956 et est un grand succès en France et en Europe[3]. En 1957, un de ses rôles les plus connus, celui de Julien Tavernier dans Ascenseur pour l'échafaud de Louis Malle, avec Jeanne Moreau, lui permet d'échapper à son statut de jeune premier[4] ». Son personnage est un ancien d'Indochine qui tue le mari de sa maîtresse et se retrouve piégé dans l'ascenseur de l'immeuble. Il ouvre la série des nombreux rôles tragiques qu'il incarnera tout au long de sa carrière homme désespéré, meurtrier ou victime d'une mort brutale. Je suis probablement l'acteur français qu'on a fait mourir le plus souvent à l'écran » déclarera-t-il[5]. Le film, salué par la critique, obtient le Prix Louis Delluc en 1957 et rencontre un grand succès public. Il lui permet de rencontrer l'écrivain Roger Nimier, l'un des hussards » de la littérature, qui deviendra son ami. Sa carrière s'internationalise il tourne beaucoup en Espagne et en Italie. Il obtient de grands succès avec Jules Dassin Celui qui doit mourir et Lewis Gilbert Agent secret Après avoir eu une relation avec l'actrice Danielle Godet, Ronet vit pendant un an une grande passion avec Anouk Aimée. Il fréquente assidûment les boîtes de nuit en compagnie d'Antoine Blondin des frères Serge et Christian Marquand, de Jacques Quoirez, Paul Gegauff, Pascal Thomas, Hervé Le Boterf ou Jean-Charles Tacchella. Années 1960 la consécration On peut situer le nouvel essor de sa carrière l'année de Plein Soleil, 1960. Le film de René Clément réunit Ronet - dans un rôle initialement destiné à Jacques Charrier - Alain Delon et Marie Laforêt. Delon a obtenu du metteur en scène qu'il inverse les rôles masculins[6]. Il tient ainsi la vedette et poignarde Ronet aux deux tiers du film. C'est à nouveau un succès avec près de deux millions et demi de spectateurs. L'année suivante il est sollicité par le producteur Sam Spiegel pour jouer le rôle de Chérif Ali dans Lawrence d'Arabie. Il fait des essais en Jordanie, mais le réalisateur David Lean préfère choisir un Arabe authentique » en la personne d'Omar Sharif[7]. Gérant sa carrière avec détachement, Maurice Ronet enchaine une huitaine de films d'intérêt inégal avant d'incarner un personnage suicidaire dans Le Feu follet, un film de Louis Malle d'après un roman de Drieu la Rochelle, avec Jeanne Moreau et Alexandra Stewart. Il retrace les derniers jours d'un dandy alcoolique et désabusé qui va choisir de se tirer une balle dans le cœur. Le film obtient un grand succès critique et le prix du jury » à la Mostra de Venise en 1963. Entre-temps, Ronet a tenté l'aventure de la télévision avec un moyen-métrage mettant en image une nouvelle d'Edgar Poe, réalisé par Alexandre Astruc Le puits et le pendule, qui décrit le supplice d'un prisonnier de l'Inquisition enchainé dans un cachot qui se rend compte qu'une grande lame très aiguisée en forme de pendule se balance au-dessus de lui et se rapproche lentement de sa poitrine. Le téléfilm ainsi que l'interprétation de l'acteur - blessé par les rats sur le tournage - sont salués par la critique[8]. Maurice Ronet est engagé ensuite dans des coproductions internationales réalisées notamment par Carl Foreman, Henri Decoin et Roger Vadim. Le succès n'est pas toujours au rendez-vous. En 1965, il écrit - avec ses amis Remo Forlani et Jean-Charles Tacchella - et réalise son premier film Le Voleur du Tibidabo. Tourné à Barcelone avec Anna Karina - qui délaisse un temps Jean-Luc Godard pour vivre avec lui - c'est un échec total, critique et public[9]. Après un film de Marcel Carné d'après Simenon, dans lequel il incarne un acteur déraciné et désabusé et donne la réplique à Annie Girardot Trois chambres à Manhattan et un film d'Alexandre Astruc sur la résistance où il est confronté à Robert Hossein et Jean-Louis Trintignant La longue marche, il joue le rôle d'un officier aristocrate brisé par la défaite de 1940 dans La Ligne de démarcation, qui est le premier des quatre films qu'il tournera avec Claude Chabrol. C'est Paul Gégauff qui a recommandé l'acteur au metteur en scène. Il incarne ensuite le capitaine Boisfeuras personnage inspiré de Paul Aussaresses[10], un parachutiste impitoyable pendant la guerre d'Algérie, dans une production américaine Les Centurions de Mark Robson, aux côtés d'Anthony Quinn et d'Alain Delon. Le public adhère à cette adaptation de Jean Lartéguy, avec plus de quatre millions et demi de spectateurs. Il retrouve Chabrol à deux reprises en 1967 dans Le Scandale avec Anthony Perkins - son rôle de mondain cynique lui vaut le prix d'interprétation au festival de Saint Sébastien - et La Route de Corinthe, un film d'espionnage parodique. Il tourne pour la troisième fois avec Jean Seberg dans le premier film de Romain Gary Les oiseaux vont mourir au Pérou. Il se rend ensuite à Hollywood pour séduire Debbie Reynolds dans How Sweet It Is, une comédie de Jerry Paris, avant de tenir un rôle bref mais marquant dans La femme infidèle, qui ouvre la période pompidolienne » de l'œuvre de Claude Chabrol. Au cours d'une séquence de sept minutes d'anthologie », Ronet fait face à Michel Bouquet qui joue le mari de sa maîtresse et qui finit par le tuer. À l'été 1968, il rejoint Alain Delon et Romy Schneider dans La Piscine. Il incarne un séducteur désinvolte et brillant dans ce drame psychologique de Jacques Deray, qui constitue sa troisième confrontation avec Delon. C'est également la deuxième fois que ce dernier le tue au cinéma. Le film est une réussite saluée par la critique et par le public plus de deux millions de spectateurs en France. La même année, Maurice Ronet s'essaie sans succès à la comédie avec Les femmes, un film de Jean Aurel où il a Brigitte Bardot comme partenaire. Années 1970 la naissance d'un cinéaste En février 1972, Ronet part en Indonésie réaliser un vieux rêve filmer les varans géants de l'île de Komodo. Accompagné de son ami Georges Troisfontaines et de deux opérateurs, il passe quinze jours sur l'île, logé dans une paillote et vivant parmi les pêcheurs. Il en ramène des plans saisissants de ces lézards géants, qu'il monte en un court métrage d'une heure, réduit ensuite à une demi-heure, simplement accompagné d'une musique de Haydn Vers l'île des dragons, dont l'exploitation commerciale est compliquée, ainsi qu'un livre. Ronet repart en reportage l'année suivante intéressé par les guerres de décolonisation, il se rend au Mozambique en avril 1973, accompagné par l'écrivain-éditeur Dominique de Roux, le journaliste Patrick Chauvel et un opérateur. Les quatre homme accompagnent les troupes portugaises en lutte contre la guerilla du FRELIMO. Ils prennent beaucoup de risques et rapportent un reportage destiné à l'émission de Jean-François Chauvel Magazine 52[11]; sous le titre Mozambique ou le pari multiracial, il est diffusé le 11 avril 1974. Il continue à beaucoup tourner dans les années 1970, alternant les films policiers Qui ? de Léonard Keigel, Le dernier saut d'Édouard Luntz, La Maison sous les arbres de René Clément, L'Odeur des fauves de Richard Balducci, Sans sommation de Bruno Gantillon..., les films dramatiques Les Galets d'Etretat de Sergio Gobbi Don Juan 73 de Roger Vadim, Madame Claude de Just Jaeckin et les films de télévision Emmenez-moi au Ritz de Pierre Grimblat, Madame le juge de Claude Barma.... Il donne leur chance à des réalisateurs débutants Michel Worms pour La Modification, Patrick Jamain pour L'Affaire Crazy Capo, Jean-Pierre Berckmans pour La chambre rouge, Claude Lallemand pour Le cri du cœur Il apparaît également dans des productions hollywoodiennes Marseille Contrat de Robert Parrish, Liés par le sang de Terence Young. Il tourne en Allemagne Seul le vent connaît la réponse d'Alfred Vohrer, Bis zur bitteren Neige de Gerd Oswald et en Italie Séduction de Fernando Di Leo, Commissariat de nuit de Guido Leoni, La Messe dorée de Beni Montresor. L'accueil critique est rarement favorable et les succès publics sont rares, à l'exception de Raphaël ou le Débauché de Michel Deville, sorti en 1971. Ronet y incarne un vil personnage, cynique, jouisseur[12] » qui tombe amoureux d'une veuve pieuse et pure, incarnée par Françoise Fabian. Le film est vu par plus d'un million de spectateurs; il est très favorablement accueilli par la critique et la performance de Ronet, qui adhère à son personnage au point que certaines répliques semblent avoir été écrites pour lui, est unanimement saluée. Maurice Ronet assume ces tournages incessants, qui l'exposent à figurer dans des films médiocres Je crois qu'il vaut mieux tourner, même mal, que de ne pas tourner du tout. Un acteur qui ne tourne pas est un peu comme une voiture qui s'emballe au point mort. Je pense qu'il est préférable d'être le doyen des comédiens qu'un acteur dont on regrette la présence sur la scène ou à l'écran[5] ». En 1977, Alain Delon l'engage pour jouer à ses côtés dans Mort d'un pourri, un film policier réalisé par Georges Lautner et dialogué par Michel Audiard. Il y joue un député véreux qui est assassiné au début du film et vengé par Alain Delon, qui l'a connu chez les parachutistes - on y aperçoit d'ailleurs des photos réunissant les deux acteurs, tirées des films qu'ils ont tournés ensemble. Avec un million huit cent mille entrées, c'est le plus gros succès de Maurice Ronet sur la décennie. Malgré les difficultés rencontrées sur L'île des dragons, Ronet n'abandonne pas l'idée de mettre en scène ses propres films. Un projet lui tient à cœur l'adaptation d'une nouvelle d'Herman Melville, dont le personnage, un employé de bureau nommé Bartleby devient le symbole du renoncement et de la résistance passive il ne cesse de répondre à toutes les sollicitations de son patron par la formule J'aimerais mieux pas ». Après avoir démarché en vain plusieurs producteurs, Ronet soumet son projet à Marcel Jullian, président d'Antenne 2, qui accepte de le financer. Bartleby, qui réunit Michael Lonsdale et Maxence Mailfort, est tourné à Paris en 23 jours pour un budget limité à 1,35 million de francs. Les critiques sont enthousiastes et lors de sa diffusion le 16 décembre 1976, le succès est tel 5,5 millions de téléspectateurs que le film connait une nouvelle carrière au Studio des Ursulines quelques mois plus tard. Il est primé au festival de télévision de Monte-Carlo et l'historien Jean Tulard le considère comme un chef-d'œuvre[13]. Maurice Ronet réalisera trois autres films de télévision les années suivantes une adaptation de William Irish Folies douces et deux d'Edgar Poe Ligeia et Le Scarabée d'or. En 1977, il fait paraître un livre d'entretiens avec son ami Hervé Le Boterf Le Métier de comédien. Les dernières années Tombe de Maurice Ronet à Bonnieux Vaucluse. Après plusieurs années de vie commune avec Betty Desouches, Maurice Ronet emménage en 1977 avec Joséphine Chaplin, fille de Charlie Chaplin et d'Oona O'Neill, qu'il a rencontrée sur le tournage de L'Odeur des fauves. En 1980 ils ont un fils, prénommé Julien. Quelques semaines avant la naissance, à la suite d'une chute à moto, on diagnostique chez Maurice Ronet un cancer du poumon. Il continue néanmoins à beaucoup tourner, au cinéma et à la télévision trois films en 1981 - dont Beau-père de Bertrand Blier avec Patrick Dewaere - et cinq en 1982 - dont La Balance de Bob Swaïm avec Nathalie Baye, Philippe Léotard et Richard Berry, qui obtiendra un succès considérable; le metteur en scène explique que ce film n'aurait pas pu se monter sans la participation de Ronet, qui a rassuré les producteurs[14]. Il cherche en vain à monter un film sur Ignace Philippe Semmelweis, un médecin obstétricien autrichien qui fut l'objet de la thèse de Louis-Ferdinand Céline. L'acteur au visage froissé » s'éteint en pleine gloire en 1983, à 55 ans, des suites d'un cancer du poumon à l'hôpital Laennec dans le VIIe arrondissement de Paris[15]. Il repose au cimetière de Bonnieux dans le Luberon, lieu de sa résidence secondaire. Portrait, hommages et opinions Également musicien, Maurice Ronet était de ceux qui brûlent la vie par les deux bouts, comme le dépeint Éric Neuhoff dans son livre Les Insoumis Ce fut un grand vivant. Séduisant, insupportable, imprévisible, il aurait pu être un personnage de roman. » On lui prête un grand nombre de conquêtes et de liaisons plus ou moins durables Nicole Berger, Nicole Maurey, Belinda Lee, Annie Fargue, Sara Montiel, Marthe Keller... C'était également un amateur de voitures de sport Aston-Martin, Maserati, Lamborghini... Il a la double réputation d'être un pilier de chez Castel et d'avoir eu des idées de droite[16]. Il n'aurait pas été insensible à la lutte des partisans de l'Algérie française. Sa proximité avec les hussards » Nimier et Blondin, sa passion pour Céline, son adhésion à l'Association des amis de Robert Brasillach permettent au quotidien Libération d'affirmer en 1976 qu'il est proche du RPR[17]. En 1956, à l'occasion du tournage de Section des disparus de Pierre Chenal, il rencontre le comédien Robert Le Vigan, condamné à la Libération pour faits de collaboration et exilé en Argentine. Celui-ci survit de petits boulots et des subsides que lui adressent quelques amis acteurs qui ne l'ont pas oublié. Maurice Ronet lui envoie des colis. Dans les dernières années de sa vie, Le Vigan songe à revenir en France, mais ne se résignera jamais à faire le voyage du retour. Il se confie à Maurice Ronet Je ne peux me faire à l'idée de finir mes jours auprès de pue-la-pisse qui vont me reprocher jour et nuit d'avoir été l'ami de Céline, surtout entre 1940 et 1944 » Pour Ronet, le milieu du cinéma porte la honte d'avoir laissé mourir l'un des siens loin de son pays[5]. Les relations cinématographiques entre Maurice Ronet et Alain Delon ont régulièrement fait l'objet d'articles de presse les deux hommes ont tourné quatre fois ensemble. Ronet est mort trois fois, dont deux de la main de Delon. Dans Plein Soleil, Les Centurions et La Piscine, leurs rapports de force sont identiques Delon est le gentil, fragile, humilié par le méchant Ronet. Les deux hommes sont complices. Le métier nous réunit une fois sur dix. Les autres fois il nous sépare. Je voudrais avoir le temps d'être l'ami de Maurice Ronet » déclare Delon[18]. Sans être de la même génération, ils ont des points communs Ce sont tous les deux des bad boys, leur beauté fascine .... Ronet soutient financièrement l’acteur collaborateur Robert Le Vigan, l’ami de Louis-Ferdinand Céline, réfugié en Amérique du Sud… Delon, ancien légionnaire[19], n’a jamais caché ses opinions de droite[20] ». Alain Delon est très affecté par le décès de Maurice Ronet. En 2003, dans sa chanson Mon bistrot préféré, le chanteur Renaud lui rend hommage Nous parlons de suicide, Maurice Ronet arrive - La mort est, quelquefois, tout un art de vivre ». Filmographie Acteur Cinéma 1949 Rendez-vous de juillet, de Jacques Becker Roger Moulin 1951 Un grand patron, d'Yves Ciampi François 1952 La Jeune Folle, d'Yves Allégret Jim 1952 Les Sept Péchés capitaux, d'Yves Allégret segment La Luxure le curé 1953 La Môme vert-de-gris, de Bernard Borderie Mickey 1953 Horizons sans fin, de Jean Dréville Marc Caussade 1953 Lucrèce Borgia, de Christian-Jaque Perotto 1954 À toi... toujours Casta diva, de Carmine Gallone Vincenzo Bellini 1954 Le Guérisseur, d'Yves Ciampi André Turenne 1954 Châteaux en Espagne El torero, de René Wheeler Miguel Murillo 1954 La Maison du souvenir Casa ricordi de Carmine Gallone Vincenzo Bellini 1955 Gueule d'ange, de Marcel Blistène Gueule d'Ange 1955 Les Aristocrates, de Denys de La Patellière Christophe de Conti 1956 La Sorcière, d'André Michel Laurent Brulard 1956 Section des disparus, de Pierre Chenal Juan Milford 1957 Celui qui doit mourir, de Jules Dassin Michelis 1958 Ascenseur pour l'échafaud, de Louis Malle Julien Tavernier 1958 Agent secret Carve Her Name with Pride, de Lewis Gilbert Jacques 1958 Cette nuit-là, de Maurice Cazeneuve Jean Mallet 1959 Un jeudi comme les autres, de Daniel Wronecki court-métrage le récitant voix 1959 Ce corps tant désiré, de Luis Saslavsky Henri Messardier 1959 Carmen de Grenade Carmen la de Ronda, de Tulio Demicheli José 1960 Plein Soleil, de René Clément Philippe Greenleaf 1960 Mon dernier tango Mi último tango, de Luis César Amadori Dario Ledesma 1960 Le Séducteur Il peccato degli anni verdi, de Leopoldo Trieste Paolo Donati 1961 Le Rendez-vous de minuit, de Roger Leenhardt Pierre Neyris 1961 Les Grandes Personnes, de Jean Valère Philippe 1962 Portrait-robot, de Paul Paviot Gilbert Vitry 1962 Liberté 1, d'Yves Ciampi Michel 1962 La Dénonciation, de Jacques Doniol-Valcroze Michel Jussieu 1963 Casablanca, nid d'espions, d'Henri Decoin ! Maurice Desjardins 1963 Le Meurtrier, de Claude Autant-Lara Walter Saccard 1963 Tempête sur Ceylan Das Todesauge von Ceylon, de Gerd Oswald et Giovanni Roccardi Dr Gérard Rinaldi 1963 Le Feu follet, de Louis Malle Alain Leroy 1963 Les Vainqueurs The Victors, de Carl Foreman un lieutenant français 1964 Le Voleur du Tibidabo, de Maurice Ronet + scénariste Nicolas 1964 Les Parias de la gloire, d'Henri Decoin Ferrier 1964 Le Désir Donde tú estés, de Germán Lorente Paul Vallier 1964 La Ronde, de Roger Vadim Henri 1965 Trois chambres à Manhattan, de Marcel Carné François Comte 1966 La Longue Marche, d'Alexandre Astruc Dr Chevalier 1966 La Ligne de démarcation, de Claude Chabrol Pierre, comte de Damville 1966 Les Centurions Lost Command, de Mark Robson Capain 1966 Amador, de Francisco Regueiro Amador 1967 Le Jardin des délices Il giardino delle delizie, de Silvano Agosti Carlo 1967 Le Scandale, de Claude Chabrol Paul Wagner 1967 La Route de Corinthe, de Claude Chabrol Dex 1968 Le Diable sous l'oreiller Un diablo bajo la almohada, de José María Forqué Lotario 1968 Histoires extraordinaires Tre passi nel delirio, de Federico Fellini, Louis Malle et Roger Vadim le récitant voix 1968 Adorablement vôtre How Sweer It Is de Jerry Paris Philippe Maspere 1968 Les oiseaux vont mourir au Pérou, de Romain Gary Rainier 1969 Delphine, d'Éric Le Hung Jean-Marc 1969 La Femme infidèle, de Claude Chabrol Victor Pegala 1969 La Femme écarlate, de Jean Valère François 1969 La Piscine, de Jacques Deray Harry 1969 Les Femmes, de Jean Aurel Jérôme 1970 Que fais-tu grande folle ? Splendori e miserie di Madame Royale, de Vittorio Caprioli le commissaire 1970 La Modification, de Michel Worms Léon Delmont 1970 Le Dernier Saut, d'Édouard Luntz Garal 1970 Qui ? Il cadavere dagli artigli d'acciaio, de Léonard Keigel Serge 1971 Un peu, beaucoup, passionnément..., de Robert Enrico Didier 1971 Raphaël ou le Débauché, de Michel Deville Raphaël de Lloris 1971 La Maison sous les arbres, de René Clément l'homme de l'organisation 1972 Le Diable dans la tête Il diavolo nel cervello, de Sergio Sollima Fabrizio Garces 1972 La Chambre rouge, de Jean-Pierre Berckmans Jean Gerfaud 1972 L'Odeur des fauves, de Richard Balducci Marc Fontemps 1972 Les Galets d'Étretat, de Sergio Gobbi Kelvo 1973 Sans sommation, de Bruno Gantillon Raoul Maury 1973 Don Juan 73 ou Si Don Juan était une femme..., de Roger Vadim Pierre Gonzague 1973 L'Affaire Crazy Capo, de Patrick Jamain Diserens 1973 Séduction La seduzione, de Fernando Di Leo Giuseppe Lagana 1974 Commissariat de nuit Commissariato di notturna de Guido Leoni Vittorio Cazzaniga 1974 Marseille contrat The Marseille Contract, de Robert Parrish l'inspecteur Briac 1974 Le Cri du cœur, de Claude Lallemand Mathieu 1974 Seul le vent connaît la réponse Die Antwort kennt nur der Wind, d'Alfred Vohrer Robert Lucas 1974 Jackpot de Terence Young - film resté inachevé - 1975 Bis zur bitteren Neige , de Gerd Oswald Paul Jordan 1975 La Messe dorée La profonda luce dei sensi, de Beni Montresor David 1976 Oh, mia bella matrigna , de Guido Leoni Luigi 1976 À l'ombre d'un été, de Jean-Louis van Belle Claude Landot 1976 Nuit d'or, de Serge Moati Nuit d'or 1977 Madame Claude, de Just Jaeckin Pierre 1977 Mort d'un pourri, de Georges Lautner Philippe Dubaye 1979 Liés par le sang Bloodline, de Terence Young Charles Martin 1981 Sphinx, de Franklin Schaffner Yvon Mageot 1981 Beau-père de Bertrand Blier Charly 1982 La Guérilléra, de Pierre Kast Brutus 1982 Un matin rouge, de Jean-Jacques Aublanc Henri 1982 La Balance, de Bob Swaim Roger Massina 1983 Surprise Party, de Roger Vadim Georges Levesques Télévision 1964 Le Puits et le Pendule, d'Alexandre Astruc court-métrage le condamné à mort 1966 Le Soleil et l'ombre pour Nikoas Kazantzaki de Jean-Daniel Pollet le récitant 1971 L'Heure éblouissante, de Jeannette Hubert téléfilm Mr. George Sedley 1974 Les Fargeot série TV lui-même 1976 Peut-être en automne, de Jeannette Hubert téléfilm Pierre 1976 L'Homme de sable, de Jean-Paul Carrère téléfilm Simon Durbain 1977 Emmenez-moi au Ritz, de Pierre Grimblat téléfilm Philippe Gregor 1978 Madame le juge, de Claude Barma série TV M. Bais 1978 Histoires insolites Folies douces série TV Éric 1978 Les Magiciens du Futur, de Peter Sykes téléfilm Xavier 1979 Orient-Express, de Daniele D'Anza série TV Rolf Freitag 1981 L'Atterrissage, d'Éric Le Hung téléfilm Paul 1982 Ce fut un bel été, de Jean Chapot téléfilm Emmanuel de Vidal-Fronsac 1982 La Nuit du général Boulanger, d'Hervé Bromberger téléfilm le général Boulanger 1982 La Déchirure, de Franck Apprederis téléfilm Cyril Réalisateur 1964 Le Voleur du Tibidabo 1973 Vers l'île des dragons 1973 Mozambique téléfilm 1976 Bartleby 1978 Histoires insolites Folies douces téléfilm 1981 Histoires extraordinaires Le Scarabée d'or téléfilm 1981 Histoires extraordinaires Ligeia téléfilm Théâtre 1946 Mala de Jean Laugier, mise en scène de l'auteur, Théâtre Albert Ier 1952 Un beau dimanche de Jean-Pierre Aumont, Théâtre de la Michodière, Théâtre des Célestins Publications Maurice Ronet, L'Île des dragons, Paris, France-Empire, 1973, 215 p. Maurice Ronet et Hervé Le Boterf, Le Métier de comédien, Paris, France-Empire, 1977, 236 p. Distinction Festival de Saint-Sébastien 1967 Coquille d'argent du meilleur acteur pour Le Scandale Notes et références ↑ ↑ Fralon, p. 22-35. ↑ Fralon, p. 66-68. ↑ Jacques Siclier, LA MORT DE MAURICE RONET Comédien de son temps », Le Monde,‎ 16 mars 1983 lire en ligne ↑ a b et c Jean-Luc Bitton, Maurice Ronet, le grand mort du cinéma français », Schnock n° 5,‎ décembre 2012 ↑ Samuel Blumenfeld, Plein Soleil », naissance d’une étoile », Le Monde,‎ 22 juillet 2018 lire en ligne ↑ Fralon, p. 112. ↑ Jacques Siclier, " LE PUITS ET LE PENDULE " », Le Monde,‎ 11 janvier 1964 lire en ligne ↑ Montal, p. 97. ↑ Florence Beaugé, Les aveux du général Aussaresses "Je me suis résolu à la torture" », Le Monde,‎ 4 décembre 2013 lire en ligne ↑ Montal, p. 113. ↑ " RAPHAËL OU LE DÉBAUCHÉ " de Michel Deville », Le Monde,‎ 3 avril 1971 lire en ligne ↑ Jean Tulard, Dictionnaire du cinéma - Les réalisateurs, Paris, Robert Laffont - Bouquins, avril 2005, 1009 p. ISBN 2-221-10093-X, p. 792 ↑ Fralon, p. 251. ↑ Archives de Paris 7e, acte de décès no 227, année 1983 vue 25/31 ↑ Jérôme Dupuis, Biographie Maurice Ronet, les Vies du feu follet », L'Express,‎ 13 septembre 2013 lire en ligne ↑ Montal, p. 122. ↑ Fralon, p. 175. ↑ En réalité Delon n'a jamais été légionnaire ; mais il s'engagea dans la marine où il participa à la guerre d'Indochine ↑ Jean-Baptiste Morain, "Plein soleil", retour brûlant sur les écrans », Les Inrockuptibles,‎ 9 juillet 2013 lire en ligne Voir aussi Bibliographie Éric Neuhoff, Les insoumis, Paris, Fayard, 2009, 176 p. ISBN 2213623252 José-Alain Fralon, Maurice Ronet, le splendide désenchanté, Équateur, 2013 ISBN 978-2-84990-254-7 Jean-Pierre Montal, Maurice Ronet les vies du feu follet, Pierre-Guillaume de Roux éditeur, 2013, ISBN 9782363710673 et 2363710673 Liens externes Ressources relatives à l'audiovisuel Ciné-Ressources en AllMovie de + en Filmportal Ressource relative au spectacle Les Archives du spectacle Ressource relative aux beaux-arts en National Portrait Gallery Notices d'autorité Fichier d’autorité international virtuel International Standard Name Identifier Bibliothèque nationale de France données Système universitaire de documentation Bibliothèque du Congrès Gemeinsame Normdatei Bibliothèque nationale d’Espagne Bibliothèque royale des Pays-Bas Bibliothèque nationale de Pologne Bibliothèque universitaire de Pologne Bibliothèque nationale tchèque WorldCat Entretien de Maurice Ronet avec François Chalais Reflets de Cannes, le 19/05/1957. Maurice Ronet, une hésitation devant la vie sur Le
JulienRonet Fils De Maurice Ronet Après avoir terminé le film, il a épousé Maria Pacôme (une artiste de théâtre et dramaturge française), et ils sont partis à Moustiers-Sainte-Marie en Provence, où il s’est lancé
Que reste-t-il d’un comédien quelques décennies après sa disparition ? Une poignée d’images sépia, quelques scènes de films et, parfois, une légende. Souvent en porte-à-faux. Maurice Ronet en était conscient, qui, au sommet de sa notoriété, observait qu’ on est connu pour de mauvaises raisons ». Des images ? Difficile d’en trouver aujourd’hui dans les agences photo. Quand elles ne sont pas de trop médiocre qualité pour être publiées, elles ne montrent l’acteur qu’en profil perdu, de trois quarts ou bien éclipsé par ses partenaires, Alain Delon, notamment, dans Plein soleil ou la Piscine. Comme si Ronet répugnait à se laisser enfermer dans une image trompeuse, fragmentaire. Comme s’il était toujours sur le point de filer à l’anglaise, sur un chemin de traverse. Des scènes de films ? Elles sont plus nombreuses et, surtout, révèlent, mieux que les instantanés photographiques, la séduction, plus ténébreuse que solaire, de l’homme, son élégance lasse, sa vulnérabilité, une sorte de mal-être et d’angoisse que voile la pudeur. Il y a le regard, tourné vers l’intérieur, et le sourire, moins conquérant que charmeur, qui illumine soudain le visage, et la voix, tantôt rauque tantôt métallique, voix fatiguée de fumeur, de buveur et de noctambule. Et c’est ici que pointe la légende, aussi fallacieuse que celle qui auréola son contemporain et complice Roger Nimier l’habitué de Castel et des bars de la rive droite, qui, princier, réglait les additions de ses commensaux, l’oiseau de nuit qui ne regagne son nid qu’aux petites heures de l’aube, le play-boy couvert de femmes, qui, au fond, préfère la compagnie de sa bande de copains, Remo Forlani, Jean-Charles Tacchella, Paul Gégauff, Christian Marquand, Pascal Thomas, Jacques Quoirez, François Chalais ; un frère en désarroi des personnages de Musset, de Drieu et de Nimier dont il partageait, pour le dernier, la posture d’individualiste de droite, tenté par l’insoumission tout en étant nostalgique de l’ordre. Inclinant pour l’Algérie française, dans les années 1950, venant en aide à l’acteur Le Vigan, condamné à la misère en raison de son amitié avec Céline, il devait tourner en dérision Mai 68, avant de s’engager aux côtés de Dominique de Roux dans son équipée journalistique et métapolitique au Mozambique. Disons que Ronet, à rebours des préjugés de la plupart de ses confrères, se situait du côté des Hussards de la droite littéraire plutôt que du côté des grognards progressistes. Cette légende mi-sulfureuse miromantique, d’un romantisme quelque peu frelaté, a, sans doute, contribué à l’attachement que continuent de lui vouer certains cinéphiles. Elle est présente dans les deux essais biographiques qui paraissent pour le trentième anniversaire de la mort prématurée du comédien, à près de 56 ans, en 1983. Aussi bien Jean-Pierre Montal que José-Alain Fralon l’évoquent avec quelque fascination, sans toutefois en être dupes. Le premier raconte au début de son livre comment, à 10 ans, il tomba sous le charme de l’acteur en regardant Mort d’un pourri Que pouvait bien dissimuler ce visage inquiet ? Et cette voix blanche, lessivée, contrepoint atone à celle de Delon, que cachait-elle ? Tout à la fois play-boy et vilain petit canard, malin tirant les ficelles et paumé du petit matin, Maurice Ronet me parut étrange et pourtant très familier… sans le savoir, j’en prenais pour vingt ans. » C’est à 18 ans que José-Alain Fralon découvrit l’acteur dans le rôle qui lui ressemble le plus, celui d’Alain Leroy dans le film que Louis Malle adapta du roman de Drieu, le Feu follet. Les temps ont passé, écrit-il, Ronet, oublié pendant vingt ans, ressuscite et reprend une place que personne n’a remplie. En ces temps de crise et d’horizon bouché, alors que les Hussards remontrent le bout de leur talent et que la nostalgie des années Sagan nous envahit comme une brume d’été, voilà que Renaud accueille Ronet dans son “bistrot des copains”, Éric Neuhoff en fait un de ses “Insoumis”, Jean-Paul Enthoven avoue qu’il éprouve pour lui “une affection inexplicable” et Frédéric Beigbeder rêve d’être “Maurice Ronet ou rien”. » Le retour en grâce du “Feu follet” ne tiendrait-il qu’à la nostalgie ? La raison n’est pas suffisante. Avec ténacité et passion, les deux auteurs ont mené leur enquête, interrogé les anciennes femmes et les amis survivants de l’acteur, questionné les réalisateurs avec qui il a tourné et les confrères et consoeurs qui furent ses partenaires, recueilli des anecdotes inédites. Leurs deux livres, plus littéraire pour l’un, plus journalistique pour l’autre, laissent filtrer l’empathie ressentie pour un personnage à la fois séduisant et énigmatique, qui semble avoir été comédien presque à son corps défendant, tout comme il fut un don juan malgré lui. Fils unique de comédiens, Maurice Ronet, né par hasard à Nice, en 1927, embrasse le métier par facilité plus que par vocation, et pour fuir le foyer familial. Au Centre du spectacle de la rue Blanche, il suit les cours de Bernard Blier, puis au Conservatoire ceux de Jean-Louis Barrault et René Simon. Alors qu’il penche pour le théâtre, le cinéma vient à lui en la personne de Jacques Becker qui l’engage pour Rendez-vous de juillet…Lire la suite. À lire Maurice Ronet, les Vies du feu follet, de Jean-Pierre Montal, Éditions Pierre-Guillaume de Roux, 174 pages, 20 €. Maurice Ronet, le splendide désenchanté, de José-Alain Fralon, Éditions des Équateurs, 256 pages, 19 €. À voir Rétrospective Ronet au cinéma à l’UGC Danton, à partir du 2 octobre. Valeurs > DOSSIER. Enquête le dossier noir de la fraude sociale> CONFIDENTIEL. Henri Guaino, les masques et la plume> EXCLUSIF. Diesel la note qui a fait plier Hollande> La mère de Fiona protégée par la loi Taubira ?> Roms quand Valls donne raison à Valeurs actuelles> TRIBUNE. Bernard Carayon Aux dirigeants de la droite courage ! » Le numéro de la semaine françoispacôme fils de maurice ronet. Menu Skip to content. Maintenance; Service François PacômeÉcoutez sa voix sur RS Doublage François Pacôme est un acteur français, né le 26 mai 1965 à Neuilly sur Seine, [1] pratiquant également le doublage. Il est le fils de Maria Pacôme et du comédien Serge Bourrier. Filmographie[] 1989 La Compagnie de Sarah François 1989 les Seins de Lola François 1996 Les Vacances de l'amour - épisode L'enfant TV séries 1997 Sous le soleil Costa 1 épisode 1997 Un homme en colère Johnny 1 épisode 1998 Ça commence à bien faire ! Antoine Voxographie[] Cette partie est incomplète. Si vous en savez plus, n'hésitez pas à la compléter. 2001 L'Enfer du Paradis Yoichi Egawa[1] Télévision[] 1993-2004 Frasier Bob Briscoe Dan Butler 1996-1998 Les Piègeurs Ted Donachie Robert Wilcox 1996-1999 Viper Sherman Catlett J. Downing 1996-2001 Brigade des mers Tommy Tavita Jay Laga'aia 1998 Oz Jonathan Coushaine Bryan Callen 1998-2000 L'Équipe de rêve Luis Amor Rodriguez Martin Crewes 1998-2006 Sept à la maison Carlos Rivera Carlos Ponce 1999-2000 Friends Gary Michael Rapaport saison 5 et Kyle David Sutcliffe saison 7 1999 Power Rangers L'Autre Galaxie Damon Henderson Reggie Rolle 1999-2000 Freaks and Geeks Jeff Rosso Dave Allen 1999-2001 Jack and Jill Eddie Naiman Gary Marks 2000-2001 Stargate SG-1 Darien Matthew Harrison saison 4, épisode 21 Répliques 2000-2005 Street Legal David Silesi Jay Laga'aia 2001-2002 Les Destins du Cœur Michele Massa Giorgio Borghetti 2001 Barbie Casse-noisette Souris 2002 Boomtown Sean Dornan Rick Ravanello 2002 FBI Portés disparus Bartholomew Higins Bradford Tatum 2002 Olive et Tom Le Retour Roberto Cedinho, Elcide Pierre et Juan Diaz 2003-2004 Moi et ma belle-famille Tom Wagner Breckin Meyer 2003-2006 Stargate SG-1 Officier du Prométhée Craig Veroni saison 7, épisode 13 Le Voyageur intérieur / Sergent Technicien Jason Emanuel saison 8, épisode 11 Vulnérable / major Bryce Ferguson Reed Diamond saison 9, épisode 14 Prise de contrôle 2004 Nip/Tuck Chad Myers Chris Diamantopoulos 2005-2007 Battlestar Galactica Aaron Kelly Ty Olsson 2006 Monk Peter Breen Jamie Kaler saison 5, épisode 4 Monk à tâtons 2005-2014 How I Met Your Mother Barney Stinson Neil Patrick Harris 2017 Les Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire Comte Olaf Neil Patrick Harris pour les chansons uniquement Notes et références[] ↑ Animeka Liens externes[] François Pacôme sur IMDb Voxographie détaillée de François Pacôme sur RS-Doublage RSD Voxographie partielle de François Pacôme sur Doublagissimo Voxographie sélective de François Pacôme séries sur Doublage Séries Database

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joue dans les films ci-dessous. Film 2001 français de Florence QuentinAvec Catherine Jacob, Michèle Laroque, Garance Clavel, Isabelle Candelier, Yvan Le Bolloc'hDurée 1h37Genre Comédie Lily, une femme légèrement enveloppée, vient d'être quittée par son compagnon Barnabé, parti avec sa collaboratrice Anaïs, aussi ravissante que mince. Sur les conseils de ses copines, la jeune femme décide de se faire ... Nombre de votants 533 internautes Note 4,4 /10 film sorti en vod, dvd et blu ray film sorti en dvd et blu ray film sorti en vod, dvd et blu ray Film 1982 français de Robin DavisAvec Alain Delon, Catherine Deneuve, Jean-Louis Richard, Stéphane Audran, Etienne ChicotDurée 1h40Genre Policier, Action, Romance, Thriller Après une dernière mission au Maroc, Martin Terrier, un tueur à gages qui a toujours mené à bien tous ses contrats, fait part à Cox, le chef de l’organisation qui l’emploie, de sa décision de raccrocher ». Il souhaite ... Nombre de votants 1 001 internautes Note 5,6 /10 film sorti en vod, dvd et blu ray Film 1978 français-canadien de Claude ChabrolAvec Isabelle Huppert, Stéphane Audran, Jean Carmet, Lisa Langlois, Jean-Francois GarreaudDurée 2h10Genre Drame, Policier, Historique, Thriller Violette Nozière vit chez ses parents, et se prostitue occasionnellement en cachette. Elle s'entiche de Jean Dabin, et le soutient grâce à l'argent de ses passes et de menus larcins chez ses parents, dont la petite bourgeoisie la révolte. Nombre de votants 2 494 internautes Note 7,1 /10 film sorti en vod, dvd et blu ray Film 1974 français de Claude SautetAvec Yves Montand, Michel Piccoli, Serge Reggiani, Gérard Depardieu, Stéphane AudranDurée 1h53Genre Comédie dramatique Vincent, un patron d'une petite usine, est séparé de sa femme et vit avec sa maîtresse. François, un médecin, est son ami. Ils se retrouvent souvent chez Paul, un écrivain raté et alcoolique. Jean, un employé de Vincent, se joint à eux. Nombre de votants 2 905 internautes Note 7,3 /10 film sorti en vod, dvd et blu ray Film 1972 français-espagnol-italien de Luis BuñuelAvec Fernando Rey, Paul Frankeur, Delphine Seyrig, Bulle Ogier, Stéphane AudranDurée 1h42Genre Comédie dramatique, Fantastique Les Thévenot se rendent chez les Sénéchal pour un dîner mais ils se sont trompés de jour. Le mari est absent et seule Mme Sénéchal est là. Ils décident ensemble d'aller dîner dans un restaurant. Ils découvrent que le propriétaire est décédé. Nombre de votants 42 969 internautes Note 7,8 /10 film sorti en vod, dvd et blu ray Film 1971 français de Claude ChabrolAvec Michel Bouquet, Stéphane Audran, François Périer, Jean Carmet, Dominique ZardiDurée 1h42Genre Drame, Policier Charles, marié et chef d'entreprise, entretient une relation adultère avec la femme de son meilleur ami. Au cours d'un jeu érotique, une simulation d'étranglement, il la tue réellement. Charles est dévoré par le remord. Nombre de votants 2 135 internautes Note 7,2 /10 Film 1970 français-belge-italien de Claude ChabrolAvec Stéphane Audran, Jean-Pierre Cassel, Michel Bouquet, Jean-Claude Drouot, Annie CordyDurée 1h30Genre Drame, Thriller Hélène est mariée à Charles, un toxicomane. Lors d'un accès de colère, Charles blesse leur fils et Hélène prend peur elle s'enfuit avec leur fils. Elle veut divorcer, mais le père de Charles, un homme riche, veut garder son petit-fils. Nombre de votants 1 770 internautes Note 7,2 /10 film sorti en vod, dvd et blu ray Film 1963 italien-français de Claude ChabrolAvec Charles Denner, Danielle Darrieux, Michèle Morgan, Hildegard Knef, Juliette MaynielDurée 1h55Genre Thriller, Policier, Drame, Biographie Landru, tueur en série, séduit des femmes et les assassine pour s'approprier leurs biens. Nombre de votants 1 189 internautes Note 6,4 /10 film sorti en vod, dvd et blu ray film sorti en vod et blu ray film sorti en vod, dvd et blu ray Film 1957 français-italien de Jacques BeckerAvec Gérard Philipe, Lilli Palmer, Anouk Aimée, Judith Magre, Lino Ventura, Stéphane AudranDurée 1h48Genre Drame, Biographie Dans le Montparnasse en plein essor artistique après la première guerre mondiale, le peintre Modigliani mène une vie de débauche, peine à vendre ses oeuvres, et rencontre une femme. Nombre de votants 1 524 internautes Note 7,4 /10 film sorti en vod, dvd et blu ray
MauriceRonet, le splendide désenchanté, de José-Alain Fralon, Éditions des Équateurs, 256 pages, 19 €. À voir Rétrospective Ronet au cinéma à l’UGC Danton, à partir du 2 octobre.

Amende Confinement Coronavirus Montant Prix, billetterie coupe du monde rugby 2023 prix. Dans un message publié sur Facebook, François Pacôme, le fils de Maria Pacôme, rend hommage à la comédienne disparue le 1er décembre dernier, et lance un appel sur la fin de vie assistée. Trouvez des réponses sur François Pacome, l'un des fils de Maurice Ronet. Simone Pacôme passe une partie de son adolescence en tant que vendeuse dans un magasin de chaussures. Maurice Ronet 13 avril 1927 – 14 mars 1983 était un artiste de cinéma, chef et écrivain français. Maurice Ronet a écrit plusieurs livres, dont un essai Le Métier de comédien. Julien Ronet Fils De Maurice Ronet 13 avril 1927 - 14 mars 1983 était un artiste de cinéma, chef et écrivain français. actualite Maurice Ronet, l'autre Delon! Maria Pacôme travaille pendant l’adolescence comme vendeuse de chaussures. L'acteur Mathieu Amalric admire son jeu depuis l'âge de 15 ans. Julien Ronet Fils De Maurice Ronet. mère de maurice ronet. Son œuvre d’art, faisant partie du développement non allégorique de la peinture, a été exposée avec les compagnons Jean Dubuffet et Georges Mathieu. Accueil; Je Commande Vite ! françois pacôme fils de maurice ronet Non classé Aucun commentaire Non classé Aucun commentaire Elle épouse l'acteur Maurice Ronet en 1950 et lui donne un fils, François Pacôme né en 1965. Il est très tôt plongé dans le milieu du spectacle puisque enfant, il suit ses parents lors de leurs tournées théâtrales. Il est le fils de Maria Pacôme et du comédien Serge Bourrier. Après avoir passé trois ans au lycée Carnot, boulevard Malesherbes, il est scolarisé en 1937 au Lycée Michelet de Vanves. She had a featured role in Pier Paolo Pasolini's The Canterbury Tales 1972 as May, the adulterous wife of the elderly Sir January. Il y fait ses débuts sur les planches en 1941 en jouant une pièce de Sach… Maurice Ronet et Joséphine Chaplin à Paris en 1975. people france cinéma théâtre interview animal News people. Il admirait le talent de ses parents. Nous avons joint Maria Pacôme, l’actrice aux pieds nus, reine du boulevard, qui porte vaillamment ses 93 ans… Malgré la canicule, Maria Pacôme a passé un bel été au bord de sa piscine, parmi ses animaux dans sa maison de campagne. Amende Confinement Coronavirus Montant Prix, billetterie coupe du monde rugby 2023 prix. She had a featured role in Pier Paolo Pasolini's The Canterbury Tales 1972 as May, the adulterous wife of the elderly Sir January. 2. Piagauthier. Au moment où il fait ses débuts au cinéma à 22 ans dans les Rendez-vous de Juillet de Jacques Becker 1949 dans un travail qui a été composé explicitement pour lui par Becker, il n’a guère intérêt à rechercher une carrière d’acteur. Maurice Ronet et Joséphine Chaplin à Paris en 1975. people france cinéma théâtre interview animal News people. les tombes de personnes connues. Maria Pacôme Simone Maria Pacôme est née le 18 juillet 1923 à Paris. Son fils François Pâcome est également comédien. Publié le 24 octobre 2020 par 24 octobre 2020 par ... Maria Pacôme et la troupe de la pièce La Maison du lac à Paris en 2008. De leur union naîtra un fils, François, qui deviendra lui-même acteur. Le Benben égypte, À l'âge de 18 ans, elle entre au cours Simon, où elle est condisciple de Michèle Morgan qui est déjà une actrice connue, et de Danièle Delorme. Maurice Ronet et sa sépulture dans le cimetière de Bonnieux. Les membres du site ont décidé de porter Maurice Ronet au plus haut niveau du site en lui attribuant une note moyenne de sur 5 avec 11 notes. En accompagnant notamment ses parents en province il découvre les difficultés des tournées. Grs Automobile Colmar, Jeunesse. Fils de comédiens, Maurice Ronet, de son vrai nom Maurice Julien Marie Robinet, voît le jour le 13 avril 1927 à Nice, dans les Alpes Maritimes. Traversée Carteret Jersey Pas Cher, Fils unique des comédiens Émile Ronet Émile Robinet et Paule de Breuil Claire Salvi, mariés le 24 mars 1927 à Paris 12 , il découvre très tôt l'atmosphère et les difficultés du métier d'acteur, en accompagnant ses parents dans les tournées à travers toute la France. Armand Vaquerin Citation, Ses débuts. Save my name, email, and website in this browser for the next time I comment. Maria Pacôme travaille pendant l’adolescence comme vendeuse de chaussures. This work has been selected by scholars as being culturally important, and is part of the knowledge base of civilization as we know it. Au moment où il fait ses débuts au cinéma à 22 ans dans les Rendez-vous de Juillet de Jacques Becker 1949 dans un travail qui a été composé explicitement pour lui par Becker, il n’a guère intérêt à rechercher une carrière d’acteur. Maurice Ronet, nom de scène de Maurice Julien Marie Robinet, est un acteur et réalisateur français né le 13 avril 1927 à Nice et mort le 14 mars 1983 à Paris France. Elle même ne commence sa carrière de comédienne que six ans plus tard, après son divorce d'avec Maurice Ronet. Il y fait ses débuts sur les planches en 1941 en jouant une pièce de Sach… Je crois que Maurice RONET a DEUX fils François PACOME et Julien RONET. Human Augmentation Disadvantages, Trois joueurs de Cournonsec ont participé au…, Ci-dessous le lien pour visionner la vidéo, la…, Invitation pour les finales à imprimer chaque…, Classement et résultats du Championnat d'Europe…, Ce weekend nos féminines se déplaçaient en…, Venez nombreux encourager nos équipes, féminine…, Palmarès masculin RONET Maurice 1927 – 14 mars 1983 Cimetière de Bonnieux Vaucluse Acteur français. a posté cette publication. À l'âge de 18 ans, elle entre au cours Simon, où elle est condisciple de Michèle Morgan qui est déjà une actrice connue, et de Danièle Delorme. Il admirait le talent de ses parents. Décès de Maria Pacôme son fils confie qu'elle lui a demandé de l'aider à mourir tous les jours VIDEO ... Danièle Delorme et l’acteur Maurice Ronet, qu’elle épouse en 1950. Article du Enfance Fils unique des comédiens Émile Ronet Émile Robinet et Paule de Breuil Claire Salvi, mariés le 24 mars 1927 à Paris 12e, il découvre très tôt l'atmosphère et les difficultés du métier d'acteur, en accompagnant ses parents dans les tournées à travers toute la France. Maurice Ronet a été conçu Maurice Julien Marie Robinet à Nice, Alpes Maritimes. Il admirait le talent de ses parents. Elle rencontre un peu plus tard l'acteur Maurice Ronet, qu'elle épouse en 1950. Julien Ronet Fils De Maurice Ronet. Les champs obligatoires sont indiqués avec *, Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML . Voxographie sélective de François Pacôme séries, Simone Pacôme passe une partie de son adolescence en tant que vendeuse dans un magasin de chaussures. Hotel Les Genets La Roche-en-ardenne, 15. Maria Pacôme, d'abord reine du théâtre, est morte ce samedi 1er décembre 2018 à l'âge de 95 ans des suites d'une longue maladie. Il est le fils de Maria Pacôme et du comédien Serge Bourrier. Le père de Maurice Ronet lui-même entrera dans la maison de retraite des artistes de Ris-Orangis, dont son fils le fera sortir grâce à ses premiers cachets de comédien. Voici la cinquième enquête artistique et historique de Pénélope, la pétulante quoiqu’inquiète conservatrice de musée, et de Wandrille, éternel pigiste qui n’arrive pas à se prendre au sérieux. Moins connu que le beau Alain, le ténébreux Maurice, décédé il y a 30 ans, fut pourtant un symbole de virilité cinématographique. Son fils François Pâcome est également comédien. Sauf mention contraire, le contenu de la communauté est disponible sous licence. Il est le fils unique des comédiens professionnels Émile Robinet et Gilberte Dubreuil. Son fils François Pacôme est également comédien. Maria Pacôme, morte samedi à l'âge de 95 ans, était l'une des comédiennes les plus connues du théâtre de boulevard où, avec une exubérance hors du commun, elle a … Fils unique né de l'union de deux comédiens, Émile Robinet et Gilberte Dubreuil Émile Ronet et Paule de Breuil à la scène, il découvre dès sa petite enfance l'atmosphère du métier d'acteur. Fils unique des comédiens Émile Ronet Émile Robinet et Paule de Breuil Claire Salvi, mariés le 24 mars 1927 à Paris 12 , il découvre très tôt l'atmosphère et les difficultés du métier d'acteur, en accompagnant ses parents dans les tournées à travers toute la France. Il est le fils de deux comédiens et partage avec eux les coulisses des tournées de théâtre, mais un sentiment de solitude profonde le poussera à commencer une carrière dès 1943 à l'age de seize ans. has contributed 1 entries to our website, so far. Il est le fils de deux comédiens et partage avec eux les coulisses des tournées de théâtre, mais un sentiment de solitude profonde le poussera à commencer une carrière dès 1943 à l'age de seize ans. » sur le Forum de Maurice Ronet et participez-y en publiant vos connaissances sur le sujet. 15. Attention terrain délicat, mouvant, piégé, passionnel, passionnant. Article du Elle même ne commence sa carrière de comédienne que six ans plus tard, après son divorce d'avec Maurice Ronet. françois pacôme fils de maurice ronet Home Uncategorized françois pacôme fils de maurice ronet Oct 17, 2020 Posted by Uncategorized 0 comments Simone Pacôme passe une partie de son adolescence en tant que vendeuse dans un magasin de chaussures. Il admirait le talent de ses parents. Rtpi En Direct, Mais, après d’autres tournages, sa carrière ne décollait pas. Maria Pacôme si différente si attachante , j’adorais ce qu’ell Dégageait ! Ronet soutiendra également Robert Le Vigan, hypnotique et génial acteur de l'entre-deux-guerres, condamné à la Libération pour faits de collaboration. Maurice Ronet entre dans la légende du cinéma avec Ascenseur pour l'échafaud 1958 et Le Feu follet 1963, de Louis Malle. Julien Ronet Fils De Maurice Ronet. Son fils François Pâcome est également comédien. Elle épouse l'acteur Maurice Ronet en 1950 et lui donne un fils, François Pacôme né en 1965. Et elle ne nous fait pas qu’un peu serrer les fesses au côté de Maurice Ronet rejoignant au volant d’un bolide son fief de Bonnieux dans le sud de la France où il repose désormais. Nike Baseball Jersey Blank, De leur union naîtra un fils, François, qui deviendra lui-même acteur. Elle rencontre un peu plus tard l'acteur Maurice Ronet, qu'elle épouse en 1950. Moins connu que le beau Alain, le ténébreux Maurice, décédé il y a 30 ans, fut pourtant un symbole de virilité cinématographique. A 84 ans, l'actrice se dévoile et parle de l'amour, de la solitude, du théâtre, de la famille, de la mort, avec autodérision. Elle est sa cible de prédilection. Un livre drôle et émouvant entre le roman et l'autobiographie. Anonyme 62033 Maurice Ronet n est pas le père de François Pacome. François Pacôme est un acteur français, né le 26 mai 1965 à Neuilly sur Seine, pratiquant également le doublage. François Pacome, l'un des fils de Maurice Ronet. Navigation des articles enterrement de maurice ronet. Chaque fois que je tourne avec Delon, il me tue Moi-mêmece qui explique donc l absence de rapports entre nous. Julien Ronet Fils De Maurice Ronet. De leur union naîtra, François, qui deviendra également acteur. RONET Maurice 1927 – 14 mars 1983 Cimetière de Bonnieux Vaucluse Acteur français. Fils unique né de l'union de deux comédiens, Émile Robinet et Gilberte Dubreuil Émile Ronet et Paule de Breuil à la scène, il découvre dès sa petite enfance l'atmosphère du métier d'acteur. Il y fait ses débuts sur les planches en 1941 en jouant une pièce de Sach… François Pacôme est un acteur français, né le 26 mai 1965 à Neuilly sur Seine,[1] pratiquant également le doublage. Venu du Conservatoire, il fit ses débuts au théâtre avant de rencontrer le réalisateur Jacques Becker qui lui fit tourner son premier film Rendez-vous de … Maurice Ronet Ronet in a scene from the Italian film Seduction Born Maurice Julien Marie Robinet 13 April 1927 Nice, France Died14 March 1983 Paris, France EducationCentre du Spectacle de la Rue-Blanche Paris Conservatoire OccupationFilm actor, director, and writer Years active1949–1983 Spouse Maria Pacôme PartnerJosephine Chaplin Children1 Je crois que Maurice RONET a DEUX fils François PACOME et Julien RONET. S’inscrivant à la suite du rapport de Jean-Paul Fitoussi et Olivier Blanchard intitulé Croissance et chômage », ce rapport est consacré aux conditions économiques du retour au plein emploi. Répondu à 80%. de quel cancer est mort maurice ronet. Marc Lambron est l'auteur, entre autres, de L'oeil du silence Prix Femina 1993 et chez Grasset de 1941. De leur union naîtra un fils, François, qui deviendra lui-même acteur. Citéruine est une ville désolée, vidée de ses habitants, usée par le temps et l'abandon -guerre? épidémie? génocide? effondrement? François Pacôme est un acteur français, né le 26 mai 1965 à Neuilly sur Seine, pratiquant également le doublage. Après avoir terminé son assistance militaire, il revient à Paris au milieu des années 1950 où il suit des cours de pensée et de science des matériaux et recherche son énergie pour l’écriture, la musique piano et orgue, le cinéma et la peinture. Ordinations 2019 Communauté Saint-martin, Il admirait le talent de ses parents cependant, il ressentit le besoin de s'éloigner de sa famille et de faire sa … Il est le fils unique des comédiens Émile Robinet Emile Ronet er Glisberte Dubreuil Paule de Breuil. Afficher le formulaire de recherche. a posté cette publication. Le Musée Du Quai Branly Histoire, Il fait ses débuts sur scène à l’âge de 14 ans près de ses parents dans les Deux couverts de Sacha Guitry à Lausanne. L'acteur Mathieu Amalric admire son jeu depuis l'âge de 15 ans. Après avoir passé trois ans au lycée Carnot, boulevard Malesherbes, il est scolarisé en 1937 au Lycée Michelet de Vanves. Maria Pacôme de 1950 à 1956 Autres informations. Vendeuse dans un magasin de chaussures lors de son adolescence, elle rentre au cours Simon à ses 18 ans. Décodeur Satellite Astra Leroy Merlin, Wiki Doublage français est une communauté de FANDOM appartenant à la catégorie Télévision. François Pacôme est un acteur français, né le 26 mai 1965 à Neuilly sur Seine,[1] pratiquant également le doublage. Champion…, Les Satellites Géostationnaires Sont Immobiles Dans Le Référentiel Terrestre, 2ème Championnat d'Europe des Nations indoor de tambourin, Championnat d'Europe des Nations indoor invitation + planning des rencontres, Bilan et Résultats du Championnat d'Europe des Nations, Coupe d'Europe des clubs 2016 Negrar article. 2. François Pacôme est un acteur français, né le 26 mai 1965 à Neuilly sur Seine,[1] pratiquant également le doublage. De son vrai nom Simonne Maria Pacôme, elle a été mariée 6 ans à l'acteur Maurice fils François Pâcome est également comédien. François Pacome, l'un des fils de Maurice Ronet. Maurice Ronet Ronet in a scene from the Italian film Seduction Born Maurice Julien Marie Robinet 13 April 1927 Nice, France Died14 March 1983 Paris, France EducationCentre du Spectacle de la Rue-Blanche Paris Conservatoire OccupationFilm actor, director, and writer Years active1949–1983 Spouse Maria Pacôme PartnerJosephine Chaplin Children1 Venu du Conservatoire, il fit ses débuts au théâtre avant de rencontrer le réalisateur Jacques Becker qui lui fit tourner son premier film Rendez-vous de … Français Nouveau Aujourd'hui et dernières mises à jour Célébrités Âge Taille Poids. actualite Maurice Ronet, l'autre Delon! Maurice Ronet a été conçu Maurice Julien Marie Robinet à Nice, Alpes Maritimes. Maurice Ronet est au Paradis! Dans un message publié sur Facebook, François Pacôme, le fils de Maria Pacôme, rend hommage à la comédienne disparue le 1er décembre dernier, et lance un appel sur la fin de vie assistée. Meilleur Pistolet 22lr 2020, Fort Boyard 17 Juillet 2021 Mot Code, Tatouage Homme Moderne, Olivier Dacourt Salaire, étape 20 - Tour De France 2019, Entraîneur Strasbourg, Inscription Ecole De Foot Fc Nantes, Enterrement Dominique Laffin, Prénoms Tunisiens Anciens, Célébration Neymar Fifa 21, étoile Dorée Snapchat Copier Coller, Circuit Châteaux De La Loire 5 Jours, Art Martial Le Plus Difficile, Sapeur-pompier Volontaire Salaire, Meilleur Centre De Formation Football 2021 Europe,

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