Sila peine de mort d’un coupable n’est pas lĂ©gitime sauf en des circonstances exceptionnelles, que dire alors de la peine de mort infligĂ©e arbitrairement par l’État lĂ©tal Ă  des Si la mort n’existait pas Ce film rĂ©unit un grand nombre de scientifiques comme le Pr. Steven Laureys, plusieurs mĂ©decins et neurologues Mario Beauregard, Thierry Janssen, Raymond Moody, Pim Van Lommel, Jean-Jacques Charbonier, Constance Yver-Elleaume, Olivier Chambon, etc. Des biologistes et des physiciens Sylvie Dethiollaz, Philippe Guillemant et Trinh Xuan Thuan. Mais aussi des personnalitĂ©s notamment l’écrivain Didier van Cauwelaert. La journaliste Aurélie Godefroy, nous présente les études scientifiques et les différents phénomènes observés autour de la mort EMI, décorporations, contacts avec les défunts, visions des mourants etc. Le second volet est une prĂ©sentation portant sur la connexion avec notre Ăąme. Il est en cours de rĂ©alisation avec un appel participatif au financement de ce documentaire par la rĂ©alisatrice Categories Histoire BibliothĂšque - notice explicative Quelques explications Le format PDF Portable Document Format est un format de document permettant de stocker du texte et des images. Il existe de nombreux logiciels permettant de lire un PDF, notamment Adobe Reader. Si vous ne disposez pas de ce logiciel sur votre ordinateur, il vous faudra l'installer. Le format EPUB est utilisĂ© pour les livres numĂ©riques. Les livres numĂ©riques au format EPUB peuvent ĂȘtre lus sur de nombreux appareils les liseuses spĂ©cialisĂ©es Kindle, Sony Reader, FnacBook, Cybook Opus, ..., les smartphones iPhone, tĂ©lĂ©phones utilisant AndroĂŻd ..., les tablettes iPad, et les ordinateurs. Le contenu d'un fichier EPUB s'adapte Ă  la taille de l'Ă©cran. Un livre au format EPUB sera aussi confortable Ă  lire sur un smartphone que sur un ordinateur. × Aide administration du site en "Front-end" Lors d'une connection au site, deux choses se produisent Un menu d'administration apparaĂźt Ă  l'extrĂȘme droite de la page, Ă  la hauteur du logo principal du site. Sous chaque Ă©lĂ©ment de texte du site appelĂ© "article" apparaĂźt une petite icĂŽne vous permettant de modifier les textes prĂ©sents aux utilisateurs. image et image Cela signifie que pour corriger ou modifier des textes existants sur le site, vous n'avez qu'Ă  cliquer sur la petite icĂŽne d'Ă©dition qui est en bas de chaque article. Le menu n'est utilisĂ© que pour ajouter de nouveaux textes, comme un nouveau bulletin ou un nouveau livre de la bibliothĂšque. Le menu se compose de deux Ă©lĂ©ments. Tandis que le premier item va vous permettre de crĂ©er un nouvel article du site un bulletin spirite ou un sujet du mois par exemple le second item se focalise exclusivement sur la partie "bibliothĂšque" du site et sera utilisĂ© lorsque vous dĂ©sirez ajouter ou modifier un livre ainsi que sa note de lecture et la biographie d'un auteur , un fascicule spirite, une confĂ©rence, un tĂ©moignage ou encore un cours. CrĂ©ation d'un nouvel article La premiĂšre rĂšgle fondamentale est que chaque article appartient Ă  une catĂ©gorie et c'est cette catĂ©gorie qui dĂ©termine la nature mĂȘme de l'article que vous ajoutez. Si vous dĂ©sirez par exemple mettre en ligne le nouveau bulletin spirite de l'association, reprenez le gabarit que l'on vous a fourni et lors de la sauvegarde de l'article vous prĂ©ciserez obligatoirement la catĂ©gorie dudit article. En l'occurrence vous le rangerez dans la catĂ©gorie "Bulletins spirites". La seconde rĂšgle fondamentale est qu'en cas de doute et en amont de la crĂ©ation d'un article, n'hĂ©sitez pas Ă  accĂ©der au type d'article que vous souhaitez crĂ©er et Ă  cliquer sur sa petite icĂŽne de modification pour analyser les options de crĂ©ation liĂ©s Ă  une catĂ©gorie d'article particuliĂšre. ×
Etsi la mort n'existait pas - Le film PubliĂ© le 18 mai 2019 par Lila. Partager cet article. Repost 0. S'inscrire Ă  la newsletter. Pour ĂȘtre informĂ© des derniers articles, inscrivez vous : Vous aimerez aussi : 22 mĂ©diums tĂ©moignent. L'infinie puissance du cƓur
PubliĂ© le 24 nov. 2018 Ă  1400Mis Ă  jour le 30 nov. 2018 Ă  1720C'est la grande, la fatidique question que se passe-t-il dans notre cerveau - et donc dans notre esprit, dans notre conscience - Ă  la minute de notre mort ? La rĂ©ponse, jusqu'ici, paraissait hors d'atteinte de l'investigation scientifique personne n'est jamais revenu de l'autre rive pour tĂ©moigner de ce qu'il avait vu et ressenti au moment de passer de vie Ă  il y a bien ces rĂ©cits troublants recueillis sur les lĂšvres de celles et ceux qui ont frĂŽlĂ© la mort de prĂšs. RegroupĂ©s sous l'appellation d' expĂ©riences de mort imminente » EMI, ils sont pris trĂšs au sĂ©rieux par une partie de la communautĂ© des neuroscientifiques qui les rĂ©pertorie et les dĂ©cortique, comme le fait l'Ă©quipe du Coma Science Group Ă  l'universitĂ© de LiĂšge lire ci-dessous.Mais, par dĂ©finition, les survivants dont l'expĂ©rience a Ă©tĂ© reconnue comme authentique EMI aprĂšs Ă©valuation sur l'Ă©chelle de Greyson du nom du psychiatre amĂ©ricain Bruce Greyson, qui l'a proposĂ©e en 1983 ont Ă©chappĂ© Ă  la mort. Ils n'en ont vu que l'ombre. La mort elle-mĂȘme et ce qu'elle provoque dans le cerveau du mourant demeurent entiĂšrement nimbĂ©s de mystĂšre. Du moins Ă©tait-ce le cas jusqu'Ă  cette annĂ©e
Dans une Ă©tude publiĂ©e par la revue Annals of Neurology » qui a fait sensation - mais que la presse française a peu relayĂ©e, Ă  l'exception du magazine Science et Vie » -, le professeur en neurologie expĂ©rimentale Ă  l'universitĂ© CharitĂ© de Berlin, Jens Dreier, dĂ©taille l'expĂ©rience extraordinaire Ă  laquelle son Ă©quipe et lui se sont livrĂ©s sur neuf patients. Ces neuf personnes, toutes entrĂ©es en soins intensifs Ă  la suite de blessures cĂ©rĂ©brales, faisaient l'objet d'un monitorage neurologique lourd, plus invasif qu'un simple Ă©lectroencĂ©phalogramme. Il s'agit d'une technique non conventionnelle, qui permet d'enregistrer l'activitĂ© Ă©lectrique du cerveau, y compris Ă  de trĂšs basses frĂ©quences, de l'ordre de 0,01 hertz », explique StĂ©phane Marinesco, responsable du Centre de recherche en neurosciences de Lyon. Les basses frĂ©quences Ă©mises par le cerveau ont du mal Ă  traverser le scalp, ce qui les rend indĂ©tectables aux appareils d'Ă©lectroencĂ©phalogramme dont les Ă©lectrodes sont placĂ©es sur le cuir chevelu. Dans le systĂšme de monitorage dont Ă©taient Ă©quipĂ©s les patients du service du Pr Dreier, les Ă©lectrodes Ă©taient placĂ©es Ă  l'intĂ©rieur du crĂąne, et mĂȘme sous la dure-mĂšre, cette membrane rigide qui entoure le cerveau et la moelle accĂšs aux trĂšs basses frĂ©quences, correspondant Ă  une activitĂ© Ă©lectrique lente, a Ă©tĂ© la fenĂȘtre qui a permis Ă  Jens Dreier et son Ă©quipe de visualiser ce qui se passait dans le cerveau de personnes en train de mourir. Pour leur expĂ©rience, les neuroscientifiques allemands ont simplement demandĂ© aux familles, une fois devenu Ă©vident que le patient ne survivrait pas Ă  son accident, l'autorisation de poursuivre l'enregistrement jusqu'au bout. Et mĂȘme un peu au-delĂ  du bout », c'est-Ă -dire de la mort cĂ©rĂ©brale, ce moment Ă  partir duquel un classique Ă©lectroencĂ©phalogramme n'enregistre plus aucune activitĂ© cĂ©rĂ©brale et que l'Organisation mondiale de la santĂ© considĂšre comme le critĂšre mĂ©dico-lĂ©gal du de dĂ©polarisationQu'ont montrĂ© les enregistrements rĂ©alisĂ©s Ă  la CharitĂ© de Berlin ? Quelque chose de tout Ă  fait fascinant, jusque-lĂ  inĂ©dit, et qui devrait peut-ĂȘtre amener les spĂ©cialistes Ă  reconsidĂ©rer leur dĂ©finition du dĂ©cĂšs et de son moment exact. Ce phĂ©nomĂšne cĂ©rĂ©bral, indique l'Ă©tude, survient entre 2 et 5 minutes aprĂšs l'ischĂ©mie, moment oĂč les organes dont le cerveau ne sont plus alimentĂ©s en sang et donc en oxygĂšne. Et il dure lui-mĂȘme une petite dizaine de minutes. On peut l'assimiler Ă  une sorte d'incendie Ă©lectrique qui s'allume Ă  un bout du cerveau et, de lĂ , se propage Ă  la vitesse de 50 microns par seconde dans tout l'encĂ©phale avant de s'Ă©teindre Ă  l'autre bout, son oeuvre de destruction accomplie. Les neuroscientifiques parlent de vague de dĂ©polarisation ».Pour maintenir le potentiel de membrane » qui lui permet de communiquer avec ses voisins sous forme d'influx nerveux lire ci-contre, un neurone a besoin d'Ă©nergie. Et donc d'ĂȘtre irriguĂ© en permanence par le sang venu des artĂšres qui lui apporte l'oxygĂšne indispensable Ă  la production de cette Ă©nergie sous forme d'adĂ©nosine triphosphate ATP. Tout le travail de Jens Dreier a consistĂ© Ă  observer ce qui se passait pour les neurones une fois que, le coeur ayant cessĂ© de battre et la pression artĂ©rielle Ă©tant tombĂ©e Ă  zĂ©ro, ils n'Ă©taient plus alimentĂ©s en oxygĂšne. L'Ă©tude a montrĂ© que les neurones se mettaient alors en mode 'Ă©conomie d'Ă©nergie' », commente StĂ©phane Marinesco. Pendant les 2 Ă  5 minutes sĂ©parant l'ischĂ©mie de l'apparition de la vague de dĂ©polarisation, ils puisent dans leurs rĂ©serves d'ATP pour maintenir leur potentiel de membrane. Pendant cette phase intermĂ©diaire, au cours de laquelle le cerveau est littĂ©ralement entre la vie et la mort, celui-ci ne subit encore aucune lĂ©sion irrĂ©versible si l'apport en oxygĂšne venait Ă  ĂȘtre rĂ©tabli, il pourrait se remettre Ă  fonctionner sans dommages en chaĂźneMais cette rĂ©sistance hĂ©roĂŻque des cellules nerveuses a ses limites. A un moment donnĂ©, en l'un ou l'autre endroit du cerveau, un premier neurone craque », c'est-Ă -dire qu'il dĂ©polarise. Les stocks de potassium qui lui permettaient de maintenir son potentiel de membrane Ă©tant devenus inutiles, il les largue dans le milieu extra-cellulaire. Il agit de mĂȘme avec ses stocks de glutamate, le principal neurotransmetteur excitateur du ce faisant, ce premier neurone initie une redoutable rĂ©action en chaĂźne le potassium et le glutamate par lui libĂ©rĂ©s atteignent un neurone voisin dont ils provoquent aussitĂŽt la dĂ©polarisation ; Ă  son tour, ce deuxiĂšme neurone relĂąche ses stocks et provoque la dĂ©polarisation d'un troisiĂšme, etc. Ainsi apparaĂźt et se propage la vague de dĂ©polarisation, correspondant Ă  l'activitĂ© Ă©lectrique lente enregistrĂ©e par le systĂšme de monitorage spĂ©cifique utilisĂ© Ă  la CharitĂ© de Berlin. Le bouquet final » du cerveau sur le point de s'Ă©teindre est d'autres circonstances de la vie oĂč l'on observe des vagues de dĂ©polarisation, un peu diffĂ©rentes en ceci qu'elles ne sont pas, comme ici, irrĂ©versibles. C'est notamment le cas dans les migraines avec aura, naguĂšre appelĂ©es migraines ophtalmiques, car elles s'accompagnent de symptĂŽmes visuels qui peuvent ĂȘtre de simples distorsions du champ visuel, mais aussi, parfois, l'apparition de taches lumineuses, voire de vĂ©ritables hallucinations assez similaires Ă  celles rapportĂ©es dans les final du cerveau mis en lumiĂšre par l'expĂ©rience de Jens Dreier est-il Ă  l'origine de l'apparition de cette intense lumiĂšre blanche que les personnes ayant fait une expĂ©rience de mort imminente disent avoir vue briller au bout d'un mystĂ©rieux tunnel ? Cela, l'Ă©tude ne le dit pas. Mais l'hypothĂšse ne paraĂźt pas mystĂšre des expĂ©riences de mort imminenteA l'universitĂ© de LiĂšge, l'Ă©quipe du Coma Science Group a constituĂ© une base de donnĂ©es de plus de rĂ©cits d'expĂ©riences de mort imminente EMI. Sur ce corpus, elle en a passĂ© au crible 154. Cette Ă©tude qualitative publiĂ©e l'an dernier rĂ©vĂ©lait que presque aucun rĂ©cit ne ressemblait Ă  un autre sur le plan de la chronologie des Ă©vĂ©nements, mĂȘme si des composantes communes existent bien. La plus rĂ©currente est la sensation de bien-ĂȘtre et de paix prĂ©sente dans 80 % des rĂ©cits d'EMI, devant la perception d'une lumiĂšre brillante 69 %, la rencontre avec des dĂ©funts ou des ĂȘtres mystiques 64 % et le sentiment de dĂ©corporation 53 %.Il y a seize ans, un neuroscientifique suisse avait dĂ©clenchĂ© involontairement, chez une patiente Ă©pileptique, une telle illusion de sortie du corps en stimulant le gyrus angulaire de sa jonction temporo-pariĂ©tale droite. La vague de dĂ©polarisation qui, au seuil de la mort, vient exciter une ultime fois tout l'encĂ©phale - y compris cette zone bien prĂ©cise - est-elle Ă  l'origine des expĂ©riences de dĂ©corporation rapportĂ©es dans les EMI ?Le fonctionnement Ă©lectrochimique du neuroneDans tout neurone vivant, il existe une diffĂ©rence de potentiel Ă©lectrique entre les faces externe et interne de sa diffĂ©rence de potentiel, appelĂ©e potentiel de membrane, est due Ă  la prĂ©sence, sur la face externe, d'espĂšces chimiques chargĂ©es positivement et, sur la face interne, d'espĂšces chimiques chargĂ©es nĂ©gativement. Ces espĂšces chimiques sont des ions, principalement des ions de circulation des ions de potassium de part et d'autre de la membrane du neurone, via les canaux ioniques, permet de faire fluctuer la valeur du potentiel de ce potentiel de membrane passe d'une valeur nĂ©gative, dite de repos », Ă  une valeur positive, correspondant Ă  un Ă©tat d'excitation, on dit que ce neurone mĂ©canisme Ă©lectrochimique est ce qui permet aux neurones de communiquer avec leurs voisins sous forme d'influx nerveux. Lebut : briser le silence autour du deuil et mettre fin Ă  l’un des plus gros tabous de notre sociĂ©tĂ©. La journaliste Sarah Dumont a fondĂ© « Les apĂ©ros de la mort » en dĂ©cembre 2018, en France. Le concept : inviter des personnes qui ne se connaissent pas Ă  se rĂ©unir autour d’un verre afin d’échanger Ă  propos de la mort. [youtube v= »HpsJ4o5C4Hg »] OĂč en est la science sur la vie aprĂšs la mort ? » Pour voir nos futures vidĂ©os, abonnez-vous Ă  la chaine. Pour dĂ©couvrir la 2Ăšme partie RĂ©alisation ValĂ©rie Seguin et Dominic Bachy PrĂ©sentation AurĂ©lie Godefroy – Narration François-Eric Gendron Ce film prĂ©sente les Ă©tudes scientifiques et les diffĂ©rents phĂ©nomĂšnes observĂ©s autour de la mort EMI, dĂ©corporations, contacts avec les dĂ©funts, visions des mourants, 
 et rĂ©unit pour la premiĂšre fois un grand nombre de scientifiques rĂ©putĂ©s sur ce sujet Le Pr. Steven Laureys, plusieurs mĂ©decins et neurologues Mario Beauregard, Thierry Janssen, Raymond Moody, François Lallier, Pim Van Lommel, Jean-Jacques Charbonier, Constance Yver-Elleaume, Olivier Chambon, etc. Des biologistes et des physiciens Sylvie Dethiollaz, Philippe Guillemant et Trinh Xuan Thuan. Mais aussi des personnalitĂ©s notamment l’écrivain Didier van Cauwelaert. Quelles sont leurs conclusions? [youtube v= »2QukbCfT_Uc »] Aidez nous Ă  finir sa rĂ©alisation et pour voir nos futures vidĂ©os, abonnez-vous Ă  notre chaine Youtube Lien vers le film ET SI LA MORT N’EXISTAIT PAS Partie 1 Pitch de ce 2Ăšme film Si la mort n’existe pas, cela signifierait qu’une partie de nous, notre conscience, notre Ăąme, repartirait dans l’au-delĂ  ! Nous irons Ă  la rencontre d’experts scientifiques, chercheurs spirituels, etc. qui essaient de comprendre ce qu’est l’ñme, comment elle peut ĂȘtre source de sens et de joie intĂ©rieure, et comment mieux apprĂ©hender le passage » vers cet autre monde et limiter l’angoisse de la mort. Pour suivre nos actualitĂ©s sur FACEBOOK SE FAIRE CONNAÎTRE La Presse Galactique est heureuse de rendre son rĂ©seau disponible Ă  tous ceux et celles qui dĂ©sirent faire connaĂźtre leurs aptitudes, leurs dons, leurs rĂ©alisations et leurs projets. Le nouveau monde n’est pas quelque chose qui doit venir un jour; le nouveau monde c’est nous qui nous exprimons Ă  travers notre vraie nature, en toute simplicitĂ© et authenticitĂ©. VoilĂ  enfin une tribune libre pour nous propulser et mettre en action aujourd’hui le service que nous sommes venus rendre sur cette planĂšte. 375 SiDieu n’existe pas tout en existant, alors l’idĂ©e d’une vie possible aprĂšs la mort deviendra essentielle pour supporter le vide de la question sans rĂ©ponse sur notre devenir final. Elle sera l’une des raisons de l’existence d’un Dieu qui nous sauvera alors de la mort. La spiritualitĂ© est indispensable si Dieu n’existe pas
SiĂšcle des LumiĂšres. Les suite et fin Les commentaires sont allĂ©gĂ©s, les coupes signalĂ©es 
 Retrouvez l’intĂ©gralitĂ© dans nos Chroniques de l’Histoire en citations. Si Dieu n’existait pas, il faudrait l’inventer. »1024 VOLTAIRE 1694-1778, ÉpĂźtres DĂ©iste fervent, il s’oppose aux encyclopĂ©distes athĂ©es Diderot, d’Holbach. Il croit Ă  l’éternel gĂ©omĂštre », l’ architecte du monde » L’univers m’embarrasse et je ne puis songer / Que cette horloge existe et n’ait pas d’horloger. » Il trouve par ailleurs une grande utilitĂ© Ă  Dieu qui fonde la morale 
 Mais il s’en prend Ă  la religion qui crĂ©e l’intolĂ©rance 
 S’il n’y avait en Angleterre qu’une religion, le despotisme serait Ă  craindre ; s’il y en avait deux, elles se couperaient la gorge ; mais il y en a trente, et elles vivent en paix et heureuses. »1025 VOLTAIRE 1694-1778, Lettres philosophiques, ou Lettres anglaises 1734 L’auteur admire le rĂ©gime anglais, qu’il eut tout loisir d’étudier, en trois ans d’exil. Il expose les leçons que la France peut en tirer en maints domaines religion, Ă©conomie, politique. Il en a coĂ»tĂ© sans doute pour Ă©tablir la libertĂ© en Angleterre ; c’est dans des mers de sang qu’on a noyĂ© l’idole du pouvoir despotique ; mais les Anglais ne croient pas avoir achetĂ© trop cher leurs lois. »1026 VOLTAIRE 1694-1778, Lettres philosophiques, ou Lettres anglaises 1734 
 Ces Lettres philosophiques de 1734 – premiĂšre bombe lancĂ©e contre l’Ancien RĂ©gime », selon l’historien Gustave Lanson – sont publiĂ©es sans autorisation. L’imprimeur est aussitĂŽt embastillĂ©, le livre condamnĂ© par le Parlement Ă  ĂȘtre brĂ»lĂ©, comme propre Ă  inspirer le libertinage le plus dangereux pour la religion et la sociĂ©tĂ© civile » 
 Les Français ne sont pas faits pour la libertĂ© ils en abuseraient. »1027 VOLTAIRE 1694-1778, Faits singuliers de l’histoire de France Ce n’est pas seulement un trait d’humour. MalgrĂ© son amour de l’humanitĂ©, il se mĂ©fie de la populace » Il me paraĂźt nĂ©cessaire qu’il y ait des gueux ignorants
 » 
 Et dans son Dictionnaire philosophique Distingue toujours les honnĂȘtes gens qui pensent, de la populace qui n’est point faite pour penser. » Le peuple ressemble Ă  des bƓufs, Ă  qui il faut un aiguillon, un joug, et du foin. »1028 VOLTAIRE 1694-1778, Correspondance, 17 avril 1765 CourtisĂ© en tout temps par les dĂ©magogues 
 divinisĂ© par la RĂ©volution, le peuple est souvent assimilĂ© Ă  la populace et ouvertement mĂ©prisĂ© par le mondain Voltaire 
 Dans la mĂȘme veine et la mĂȘme source, lettre du 19 mars 1766 Il est Ă  propos que le peuple soit guidĂ© et non pas instruit ; il n’est pas digne de l’ĂȘtre. » Les mortels sont Ă©gaux, ce n’est pas la naissanceC’est la seule vertu qui fait la diffĂ©rence. »1029 VOLTAIRE 1694-1778, Mahomet ou Le Fanatisme 1741 Ces deux vers seront la citation reine de la RĂ©volution » Mona Ozouf 
 On met volontiers Voltaire en slogans, prenant de-ci de-lĂ  dans des tragĂ©dies aujourd’hui oubliĂ©es, quelques vers sonores comme des mĂ©dailles 
 On ne citerait pas ainsi Montesquieu ou Rousseau, auteurs de systĂšmes plus cohĂ©rents sur le fond, et pesants dans leur forme. Il faut bien quelquefois se battre contre ses voisins, mais il ne faut pas brĂ»ler ses compatriotes pour des arguments. »1030 VOLTAIRE 1694-1778, Lettre Ă  Gallitzin, 19 juin 1773 La grande ennemie de la civilisation est la guerre, boucherie hĂ©roĂŻque » qui dĂ©truit le vainqueur comme le vaincu, mais il y a pire encore, c’est l’intolĂ©rance, la pire erreur politique aux yeux de Voltaire. Sous sa forme religieuse, elle fait encore trop de victimes en France, au siĂšcle dit des LumiĂšres. Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. »1031 VOLTAIRE 1694-1778, citation apocryphe Il semble paradoxal de finir sur une citation non sourcĂ©e », phrase sans doute jamais Ă©crite, peut-ĂȘtre dite. L’Ɠuvre immense et protĂ©iforme de cet auteur philosophe est si riche en bons et beaux mots ! Mais elle reflĂšte l’homme, sa pensĂ©e, sa vie et mĂȘme son style. D’oĂč la fortune historique et somme toute mĂ©ritĂ©e de cette citation apocryphe.
PourdĂ©couvrir la genĂšse de ce film, lire le livre "Les trois et demi aprĂšs la mort de mon pĂšre" de ValĂ©rie Seguin. NB: Si vous ĂȘtes en deuil et que vous ne souhaitez pas vous replonger dans une atmosphĂšre d'hĂŽpital, vous pouvez allĂ©ger la partie « se prĂ©parer au passage », dans ce cas visionnez les 4 premiĂšres minutes puis allez
Jusqu'Ă  un passĂ© rĂ©cent, le cimetiĂšre au Ă©tait rĂ©uni l'ensemble d'une famille Ă©tait le lieu de destination Ă©vident de son propre corps aprĂšs sa propre mort. Aujourd'hui, cela ne va plus de soi... AFP/ANDRE DURAND Le tabou de la mort est un fait contemporain. Parmi les questions qu'il soulĂšve et auxquelles il semble de plus en plus difficile de rĂ©pondre "OĂč vais-je me faire enterrer? OĂč enterrer mon pĂšre, ma mĂšre?" La rĂ©ponse allait encore de soi dans un passĂ© rĂ©cent, plus aujourd'hui... Pour quelle raison? Le rattachement Ă  une territorialitĂ© n'est plus une Ă©vidence, en effet, et la mort n'y Ă©chappe pas. Jusqu'Ă  un passĂ© rĂ©cent, disons avant la deuxiĂšme guerre mondiale, le cimetiĂšre oĂč Ă©tait rĂ©uni l'ensemble d'une famille Ă©tait forcĂ©ment le lieu de destination de son propre corps aprĂšs sa propre mort. On n'avait mĂȘme pas Ă  y penser. Il Ă©tait au bout du village, c'est lĂ  qu'on serait un jour. Tout ceci n'est plus une Ă©vidence. Ce phĂ©nomĂšne tient Ă  plusieurs raisons qui se conjuguent l'urbanisation - nous sommes passĂ©s de la sociĂ©tĂ© du village Ă  celle de l'agglomĂ©ration urbaine ; l'Ă©clatement des familles ; le fait que la profession exercĂ©e ne se fait plus dans le pĂ©rimĂštre du lieu de naissance, les dĂ©placements devenant la rĂšgle. Un jour, vous ĂȘtes mutĂ© Ă  Tokyo, le lendemain Ă  Metz... Tout devient plus compliquĂ©. VoilĂ  pour les aspects socio-dĂ©mographiques, les transformations objectives des modes de vie. Au-delĂ , qu'est-ce que cela traduit de notre rapport Ă  la mort?Notre sociĂ©tĂ©, c'est une banalitĂ© de le dire, ne se penche plus beaucoup sur la mort. Plus tard on y pense, mieux c'est. L'essor de la crĂ©mation tient aussi Ă  cela, d'ailleurs, entre autres raisons. On n'est plus attachĂ© Ă  un territoire, donc cela fait moins de sens d'ĂȘtre enterrĂ© Ă  tel ou tel endroit. Le lieu d'inhumation a moins de signification que par le passĂ©. Jusqu'Ă  ce qu'on interdise, il y a quelques annĂ©es, la possibilitĂ© de conserver l'urne chez soi, on pouvait de la sorte disposer de ses cendres comme on le voulait, ce qui rendait la mort comme hors lieu, hors du cimetiĂšre, lequel est aussi un espace collectif. On pouvait se dire "Le lieu des morts n'est pas celui de mon mort". Symptomatique d'un certain dĂ©sarroi social. Ramener le mort chez soi, c'est aller contre la rĂšgle fondamentale de la ritualitĂ© funĂ©raire, qui veut qu'on se sĂ©pare des morts. Ce dĂ©tachement de la territorialitĂ© est rĂ©cent, dites-vous. Oui, un saut a Ă©tĂ© franchi rĂ©cemment, mĂȘme s'il se prĂ©parait sans doute de longue date, et on peut le voir, lĂ  encore, Ă  travers la crĂ©mation. L'Eglise catholique a levĂ© l'interdiction de la crĂ©mation aprĂšs la deuxiĂšme guerre mondiale, relativement rĂ©cemment, donc. Dans les annĂ©es 1970, personne n'aurait alors imaginĂ© qu'elle progresserait comme elle l'a fait Ă  partir des annĂ©es 1990. Aujourd'hui, un peu plus d'un Français sur deux l'envisage. Dans les annĂ©es 1970 et 1980, la crĂ©mation relevait d'une certaine vision du monde, d'une posture militante. A prĂ©sent, elle n'apparaĂźt plus comme un choix diffĂ©renciĂ© mais comme un option qui dĂ©coule aussi de ce dĂ©tachement du territoire et de cette logique d'urbanisation qui caractĂ©rise notre culture globale. On trouve des maisons funĂ©raires mĂȘme hors des grandes villes, mĂȘme Ă  Sainte-Foy-la-Grande ! On peut se dire que c'Ă©tait rassurant, en quelque sorte, de savoir que l'on reposerait Ă  tel endroit un jour... Qu'engendre cette incertitude nouvelle?Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1€ sans engagement La ritualitĂ© funĂ©raire n'est pas seulement une coutume, elle agit aussi sur l'Ă©quilibre socio-psychique des personnes. Elle s'inscrit dans notre mĂ©moire collective. Ces changements nous questionnement Ă©videmment trĂšs profondĂ©ment par rapport Ă  notre propre finitude, nos relations avec nos proches... Comment pourra-t-on Ă©tayer un souvenir s'il n'est plus rattachĂ© Ă  un lieu, transmettre une mĂ©moire familiale? Autant de questions qui se posent. Nous faisons comme si tout ceci tout Ă©tait indiffĂ©rent, mais ce n'est pas vrai. Nous ne sommes pas indiffĂ©rents Ă  notre propre devenir. Nous avons besoin de nous reprĂ©senter cet irreprĂ©sentable et nous ne pouvons pas faire n'importe quoi de notre propre corps, dans l'indiffĂ©rence de la souffrance de nos proches. Une Ă©volution notable, par ailleurs des entreprises funĂ©raires proposent de plus en plus, sur leur site Internet, d'aller se recueillir virtuellement, en photo, sur la tombe d'un proche, d'aller visiter le cimetiĂšre, de payer des fleurs qui y seront dĂ©posĂ©es... On met au point des services censĂ©s combler la distance physique "Je suis Ă  Bordeaux, mon pĂšre est enterrĂ© Ă  Strasbourg..." La ritualitĂ© funĂ©raire serait donc moins importante, aux yeux des Français?Pas du tout, et c'est aussi toute la question. La Toussaint, on le voit bien, reste un jour trĂšs important c'est l'un des jours oĂč il y a le plus de circulation en France, ce qui veut dire que les gens se dĂ©placent. C'est aussi l'un des jours oĂč l'on achĂšte le plus de fleurs. Ce n'est donc pas du tout indiffĂ©rent. Le fait de ne plus savoir oĂč l'on va ĂȘtre enterrĂ© est plus marquĂ© Ă  la ville qu'Ă  la entendu. Dans les villages, on est encore enterrĂ© de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration et on y trouve encore une prĂ©sence des signes sociaux de la mort, une sonoritĂ© le clocher du village, le glas..., qu'on n'a plus en ville, oĂč la mort n'est plus perceptible. Voyez le corbillard et l'Ă©cart de culture entre ce qu'on peut en voir aujourd'hui et ce qui en est montrĂ©, par exemple, dans Le Corbeau, le film de Clouzot, qui ne date pas non plus du Moyen Age ! Tout le village qui processionne derriĂšre le corbillard tirĂ© par des chevaux... Dans mon enfance, le corbillard Ă©tait un vĂ©hicule noir qui roulait lentement en bordure du trottoir, n'occupait pas le centre de la chaussĂ©e. Aujourd'hui, il se mĂȘle Ă  la circulation, comme les autres vĂ©hicules. La mort Ă©tait inscrite dans le paysage, dans l'espace partagĂ©, elle ne l'est plus. ConsĂ©quence de son refoulement?Oui, ou de son dĂ©ni. Le grand anthropologue Louis-Vincent Thomas parlait, lui, de "dĂ©ni de la mort", expression qui ne signifiait pas seulement le refus ou la peur de la mort mais le fait de faire comme si elle n'existait pas, n'avait aucune importance. Attitude encore plus Ă©trange que la simple peur ou le refus, et qui nous est contemporaine, car elle n'a jamais existĂ© auparavant, Ă  aucun moment de l'Histoire. Or notre rapport Ă  la vie est en rapport Ă  la mort. Quand les choses ne sont plus parlĂ©es, plus signifiĂ©es, quand tout a l'air flottant, incertain, on perd des repĂšres essentiels. On peut aussi s'interroger, en matiĂšre de refoulement, sur la gĂ©nĂ©ralisation des cimetiĂšres pĂ©riurbains, crĂ©es dans les annĂ©es 1980, qui sont souvent des lieux isolĂ©s, Ă  l'Ă©cart de la ville, et esthĂ©tiquement, situĂ©s dans des zones de relĂ©gation, entre le centre commercial et la dĂ©chetterie. Vous avez des panneaux oĂč celle-ci cĂŽtoie le crĂ©matorium, vous devez passer, pour y accĂ©der, par une montagne de pneus crevĂ©s ! Ce qui peut pousser Ă  s'interroger sur la façon dont les vivants traitent les morts. Pourquoi un tel manque de soin? Patrick Baudry est l'auteur de La Place des morts L'Harmattan, et Pourquoi des soins palliatifs ? Ă©ditions ChĂątelet-Voltaire, 2013 Patrick Baudry est l'auteur de La Place des morts L'Harmattan, et Pourquoi des soins palliatifs ? Ă©ditions ChĂątelet-Voltaire, 2013 Delphine Saubaber Les plus lus OpinionsLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne Rosencher
ĐžÏ‚Đ°áŠŒÎ±ĐșŃƒŃ…ŐĄÎ» áˆŠĐŁáŠ áˆ°Đ»áŒƒÖ„ĐŸĐČŃ€ĐŸ Đ»Î”ŃˆŐ„ÖŐ«Ń€ŃĐ” Ń…ĐžŃ€ŃŃĐœŃƒŐ¶ÎžáŠź ቀրОпаΓДĐș Î”ÏĐ°Đ±Đ°ĐŽĐ”áˆĐ°
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citation1. Au fond, si la mort n' existait pas, la vie perdrait son caractÚre comique. La Danse de Gengis Cohn (1967) de. Romain Gary. Références de Romain Gary - Biographie de Romain Gary. Plus sur cette citation >> Citation de Romain Gary (n° 133576)
Pour beaucoup la mort est la fin de la vie. Pourtant un chercheur en biotechnologie amĂ©ricain thĂ©orise aujourd’hui que la mort n’existe la mort n’existe pas ?Le Dr Robert Lanza est Ă  l’origine de la thĂ©orie du biocentrisme, dĂ©finie comme une nouvelle thĂ©orie de l’univers. Pour lui, la conscience humaine crĂ©e l’univers et l’observateur dĂ©termine la rĂ©alitĂ©. L’espace et le temps sont donc perçus diffĂ©remment selon les la vie qui est le point central de la rĂ©alitĂ© et du cosmos. Le Dr Robert Lanza affirme donc que si l’espace et le temps n’existe pas, la mort n’est pas une fin. À la mort physique, l’énergie de la conscience ne s’éteint pas et passe dans un univers parallĂšle, car la vie est compte sur la physique quantique pour mettre en Ă©vidence les particules qui se dĂ©placent dans le champ de la conscience. Elles sont le lien entre mort et les univers parallĂšles. Rappelons que la physique s’occupe de l’infiniment petit et repose sur les probabilitĂ©s et non la universPour rĂ©sumer trĂšs schĂ©matiquement, une particule peut se trouver Ă  deux endroits en mĂȘme temps . Comme nous sommes constituĂ©s de ce cas, ne pourrions-nous pas ĂȘtre Ă  deux endroits en mĂȘme temps ou dans un nombre infini d’univers parallĂšles ?La mort n’est pas une finQue la mort n’existe pas ou qu’elle existe, cette thĂ©orie prend la forme d’un questionnement Ă©sotĂ©rique. Elle cherche Ă  relier la science et la spiritualitĂ©, qui campe chacune sur ses positions. En attendant la preuve scientifique, on peut mettre tout le d’accord avec la dĂ©finition de la son entretien nommĂ© L’acceptation de soi », Franck Lopvet se dĂ©finit comme un clairvoyant. Il dĂ©couvre cette capacitĂ© Ă  18 ans, en faisant du porte-Ă -porte pour payer ses Ă©tudes. Il comprend alors qu’il a la capacitĂ© de se connecter Ă  la structure Ă©nergĂ©tique de chacun de ses clients. En se reliant avec celle-ci, son corps reçoit les informations contenues dans la matiĂšre et le vide qui composent Ă©chos renvoyĂ©s dans l’ vivons dans un monde vibratoire fait de frĂ©quences et d’énergie qui forme un champ Ă©lectromagnĂ©tique ou une aura autour de tout ĂȘtre vivant ou de tout objet de la planĂšte Terre. Chaque frĂ©quence Ă©mise est un ordre donnĂ© Ă  l’univers de crĂ©er une situation qui nous permet de vivre cette frĂ©quence. Quand la structure Ă©nergĂ©tique bouge grĂące Ă  une nouvelle expĂ©rience, c’est la vie qui bouge. En croyant Ă  la structure ou Ă  la sphĂšre Ă©nergĂ©tique, il a longtemps cherchĂ© une validation auprĂšs des autres avant d’assumer son propre systĂšme de croyances, notamment en affirmant que la mort n’est pas une fin. D’ailleurs, Einstein n’a attendu aprĂšs personne pour Ă©tablir la thĂ©orie de la relativitĂ©. En rĂ©sumĂ©, vivre c’est Ă©mettre des vibrations et gĂ©nĂ©rer un champ Ă©lectromagnĂ©tique et de l’énergie. Ces Ă©missions transforment le relatif dans lequel vous vivez. Ce dernier est un relatif oĂč vous percevez les objets par rapport Ă  leur exemple, si vous vivez dans un monde blanc, vous ne saurez qu’il est blanc que s’il y a du vivons dans une illusionNous prenons conscience de notre vie en mĂȘme temps que nous prenons conscience de la mort qui vient la limiter. Parce que la rĂšgle sur cette planĂšte est simple vous expĂ©rimentez vos croyances, et vous construisez votre rĂ©alitĂ©, autrement dit votre .En fait, la question est de savoir que la mort n’est pas une fin. Franck Lopvet avance que nous sommes des entitĂ©s divines anciennes ou avancĂ©es capables de maĂźtriser les thĂ©ories gĂ©nĂ©tiques. Nous avons juste oubliĂ© que nous sommes les crĂ©ateurs de la rĂ©alitĂ© que nous expĂ©rimentons vie est un jeu !Dans des temps reculĂ©s, nous avons investi la Terre pour expĂ©rimenter un relatif. Nous avons créé des sphĂšres de vie Ă  l’image de cette planĂšte. AprĂšs avoir créé et investi des corps physiques, qui nous ont servi de vĂ©hicules pour arriver. Et, nous avons commencĂ© Ă  avons créé des personnages dans lesquels nous avons instillĂ© la peur de mourir juste pour qu’il reste en vie et que le jeu continue. À chaque fois qu’un personnage meurt, le jeu repart Ă  zĂ©ro et il faut en recrĂ©er un nouveau. La rĂšgle du jeu consiste Ă  jouer Ă  la vie, mais en oubliant que nous en sommes les peur de mourirCes entitĂ©s continuent Ă  observer le jeu dans lequel nous sommes engagĂ©s depuis des millĂ©naires en pensant que la mort n’existe pas. Le jeu va si loin que nous sommes persuadĂ©s que nous nous rĂ©sumons Ă  notre corps et que la mort n’est qu’une fin. Nous avons mĂȘme peur de mourir alors que nous sommes en quelques sortes des dieux crĂ©ateurs et que la mort n’est qu’une mort n’est qu’une illusion. En rĂ©alitĂ©, nous sommes constituĂ©s d’une partie invisible et cette part de nous est Ă©ternelle, car elle ne subit pas l’influence de l’espace . Nous ne perdons que notre corps physique qui lui y est soumis. Alors, profitons du jeu, et vivons notre vie, c’est aussi simple que cela !On peut choisir entre l’ombre ou la plus, que nous disposons de l’aide des anges qui sont Ă  notre service et qui se chargent de nous aimer et nous sauver. Ils sont l’intermĂ©diaire entre les entitĂ©s et les humains. Ces entitĂ©s ne se sont pas incarnĂ©es dans la matiĂšre, elles ont fait le choix de l’amour en Ă©tant du cĂŽtĂ© de Dieu. Alors que nous humains, nous sommes autonomes et disposons de notre libre pouvons choisir entre Dieu et diable, l’ombre et la lumiĂšre ou encore l’amour et la vie, la mort et les univers parallĂšles !En tant que crĂ©ateurs, nous pouvons polariser notre pensĂ©e pour crĂ©er de la matiĂšre, une multitude de corps dans le mutivers en simultanĂ©. Cela nous permet de vivre des expĂ©riences de vie indĂ©pendantes les unes des autres pour recueillir des informations qui vont aider nos diverses mort et mondes parallĂšle sont des notions indissociables. Ces expĂ©riences se dĂ©roulent Ă  la fois il y a 2 000 ans ou dans 2 000 ans. Le partage de l’information se fait pendant le sommeil, Ă  travers les rĂȘves. Une pensĂ©e Ă  nos amis Arnaud et Romain Gorlier, Candice et Jackson qui sont partis trop vite dans un autre monde et Ă  mes proches disparus
 NOUVELLE- Fantastique. Jean‑Paul pensait avoir manquĂ© sa station de RER et est descendu par erreur Ă  la gare qui n’existait pas. Il y rencontre Victoria, une jeune fille morte dans un accident quelques annĂ©es auparavant. Jean‑Paul voudrait bien aider ce fantĂŽme, mais cela n’est pas sans danger. Car si la mort les sĂ©pare, elle
Partie 1 – OĂč en est la science sur la vie aprĂšs la mort ? Une vidĂ©o sur la mort, les expĂ©riences de mort imminente, des sorties du corps, l’hypnose, la mĂ©diumnitĂ©, une enquĂȘte dĂ©taillĂ©e et commentĂ©e par des scientifiques, des mĂ©decins,
 A voir !
Sila perspective de mourir traverse la tĂȘte de chacun, c'est un sentiment lĂ©gitime qui n'en demeure pas pour autant toujours angoissant. DĂšs lors, penser Ă  la mort devient un problĂšme qui se nomme la "thanatophobie", une peur excessive et incontrĂŽlable de la mort. Les personnes souffrant de cette pathologie se retrouvent aux prises avec
Paroles, LumiĂšre et Perles d'Amour Dans un esprit de partage et dĂ©couverte, je vous invite sur mon chemin de lumiĂšre. A chacun sa rĂ©alitĂ©, Ă  chacun sa vĂ©ritĂ©. Clairaudiente, clairvoyante et magnĂ©tiseuse, je m'ouvre toujours plus Ă  mes capacitĂ©s personnelles. Par le biais de ce blog, je souhaite partager avec vous les messages que je reçois de mes guides, mes coups de coeur, mes dĂ©couvertes. Si vous ĂȘtes ici, ce n'est pas un hasard. N'hĂ©sitez pas, Ă  partager, liker, commenter.
Oui et si la mort n'existait pas!! Comme le prouve Bouddha et son ascension vers la dĂ©couverte de la vĂ©ritĂ© sur la rĂ©incarnation et l'Ă©nergie que comporte ce monde. Son but dans la vie Ă©tait de comprendre pourquoi alors que nous venons tous au monde, tous autant que nous sommes, humains, animaux, vĂ©gĂ©taux, et tout organismes vivants; nous devons quoi qu'il arrive mourir Et si la mort n'existait pas ? Les Ă©clairages de Jean-Pierre Petit dans "MĂ©taphysicon" Y a-t-il une vie aprĂšs la mort ? Le livre de Jean-Pierre Petit tente de rĂ©pondre Ă  LA question existentielle la plus rĂ©pandue. Et si cela a Ă©tĂ© prouvĂ© scientifiquement, l'expert en cosmologie nous dĂ©voile les secrets d'un espace-temps sous forme de couloir Petit, connu pour avoir rĂ©volutionnĂ© la perception de l'univers avec son ModĂšle Cosmologique Janus , a publiĂ© en 2020 MĂ©taphysicon, un ouvrage oĂč il dĂ©veloppe l'idĂ©e de l'existence dans un espace-temps sous forme de couloir qui relirait plusieurs univers, dont celui de la physique et de la Sous forme de questions / rĂ©ponses, Jean-Claude Bourret interroge Jean-Pierre Petit sur son modĂšle innovant de "couloir", reliant le monde physique et mĂ©taphysique. Ce qu'il en ressort et qui est tout Ă  fait saisissant, c'est que notre Ăąme survivrait aprĂšs notre mort. Certes, rien d'Ă©tonnant pour les croyants de plusieurs religions, mais tout Ă  fait incroyable voire impossible pour les autres. En rĂ©alitĂ©, il n'y aurait pas de coupures entre la vie et la mort, il s'agirait simplement d'un autre espace-temps oĂč notre Ăąme Jean-Pierre Petit est un ingĂ©nieur, astrophysicien et scientifique français. Ses recherches portent notamment sur la cosmologie, la physique thĂ©orique et le mĂ©lange des fluides Sa chaĂźne YouTube Jean-Pierre PETIT ; Son site web Jean-Pierre Petit ©©DR MĂ©taphysicon, Jean-Pierre Petit et Jean-Claude Bourret, Ă©ditions TrĂ©daniel, 2020

1Corinthiens 15:53-57 : Car il faut que ce corps corruptible revĂȘte l'incorruptibilitĂ©, et que ce corps mortel revĂȘte l'immortalitĂ©. Lorsque ce corps corruptible aura revĂȘtu l'incorruptibilitĂ©, et que ce corps mortel aura revĂȘtu l'immortalitĂ©, alors s'accomplira la parole qui est Ă©crite : La mort a Ă©tĂ© engloutie dans la victoire.

Citations â€ș Vie â€ș Au fond, si la mort n'existait pas, la vie perdrait son caractĂšre comique. Citation sur la vie de Romain Gary Au fond, si la mort n'existait pas, la vie perdrait son caractĂšre comique. Romain Gary est l'auteur de la citation sur la vie "Au fond, si la mort n'existait pas, la vie perdrait son caractĂšre comique.". Romain Gary est Ă©galement l'auteur des citations Vous ne pouvez pas attendre de la vie d'avoir un sens. Vous devez lui en donner un. Je vois la vie comme une grande course de relais oĂč chacun de nous avant de tomber doit porter plus loin le dĂ©fi d'ĂȘtre un homme. Avec l'amour maternel, la vie nous a fait Ă  l'aube une promesse qu'elle ne tient jamais. La vĂ©ritĂ©, c'est qu'il y a une quantitĂ© incroyable de gouttes qui ne font pas dĂ©border le vase. C'est toujours dans les yeux que les gens sont les plus tristes. Je sais que la vie vaut la peine d'ĂȘtre vĂ©cue, que le bonheur est accessible, qu'il suffit simplement de trouver sa vocation profonde, et de se donner Ă  ce qu'on aime avec un abandon total de soi. DĂ©jĂ  l'humour Ă©tait pour moi ce qu'il devait demeurer toute ma vie une aide nĂ©cessaire, la plus sĂ»re de toutes. Plus on a rien et plus on veut croire. Parce qu'on ne peut pas vivre sans quelqu'un Ă  aimer. La vie est pavĂ©e d'occasions perdues. J'ai gagnĂ© beaucoup de batailles dans ma vie, mais j'ai mis beaucoup de temps Ă  me faire Ă  l'idĂ©e qu'on a beau gagner des batailles, on ne peut pas gagner la guerre. Il ne faut pas avoir peur du bonheur. C'est seulement un bon moment Ă  passer. Les cauchemars, c'est ce que les rĂȘves deviennent toujours en vieillissant. Les chemins qui mĂšnent Ă  la libertĂ© et Ă  la dignitĂ© humaine passent par bien des abĂźmes et ne sauraient donc mener d’un seul coup aux sommets. La mĂ©decine doit avoir le dernier mot et lutter jusqu'au bout pour empĂȘcher que la volontĂ© de Dieu soit faite. J'Ă©tais tellement heureux que je voulais mourir parce que le bonheur il faut le saisir pendant qu'il est lĂ . Je tiens pas tellement Ă  ĂȘtre heureux, je prĂ©fĂšre encore la vie. Le bonheur, c'est une belle ordure et une peau de vache et il faudrait lui apprendre Ă  vivre. Quand on a envie de crever, le chocolat a encore meilleur goĂ»t que d'habitude. C'est pas nĂ©cessaire d'avoir des raisons pour avoir peur. Copyright © 2022 . Tous droits rĂ©servĂ©s. CGU
passecomme si sa mort n’existait pas » et comme s’il fallait faire semblant que le mourant n’allait pas mourir (p. 69) [10]. Et quand la situation ne le permet pas, d’aucuns reprochent au mourant an-et ..
StĂ©phane Allix nous parle de son livre “Le test”Que se passe-t-il aprĂšs la mort ? Nos dĂ©funts sont-ils confus ou comprennent-ils ce qui leur arrive ? Vivent-ils un temps d’adaptation avant d’évoluer ? Et s’il existait des moyens de les aider ? Et de nous aider Ă  mieux vivre ce deuil par la mĂȘme occasion ? DISPONIBLE ICI [widget id= »custom_html-14″] Et si la mort n’existait pas ? avec ValĂ©rie Seguin sur btlv Avec la complicitĂ© de Dominique Bachy, ValĂ©rie Seguin est allĂ©e Ă  la rencontres de Raymond Moody, de Didier Van Cauwelaert, de Philippe Guillemant, de Nicolas Fraisse, etc..mais aussi de tĂ©moins ayant vĂ©cu des expĂ©riences de mort imminente EMI ou NDE dans le but de comprendre la mort et ses mystĂšres . Que se passera-t-il lorsque nous mourrons ? OĂč irons-nous ? Subsistera-t-il quelque de chose de nous ? Les tĂ©moins des expĂ©riences de mort imminente en sont convaincus. MalgrĂ© tout, personne ne peut rĂ©ellement dire que la vie aprĂšs la mort est une rĂ©alitĂ©, mĂȘme si ce film “Et si la mort n’existait pas ?” nous donne de l’espoir sur le sujet. TrouvĂ© sur [widget id= »custom_html-14″]
MalijetG5 Sahel: ET, si c’était le mĂ©decin aprĂšs la mort Bamako Mali. A NE PAS MANQUER: Moscou "a permis au Mali de garder un espace d’expression sur la scĂšne internationale". URGENT
MĂȘme si la communautĂ© scientifique commence rĂ©ellement Ă  s’intĂ©resser au sujet de façon sĂ©rieuse, les ExpĂ©riences de Mort Imminente EMI restent encore du domaine du mystĂšre et de la superstition. Mais face au nombre de tĂ©moignages toujours plus nombreux, on peut se demander quelles preuves nous devrions encore attendre pour en oublier notre scepticisme
Aujourd’hui, 1h11 vous propose de dĂ©couvrir le trĂšs bon documentaire Et si la mort n’existait pas, film prĂ©sentant des Ă©tudes scientifiques et diffĂ©rents phĂ©nomĂšnes observĂ©s autour de la mort Emi, dĂ©corporations, contacts avec les dĂ©funts et visions des mourants. En rĂ©unissant un grand nombre de scientifiques rĂ©putĂ©s sur ce sujet, plusieurs neurologues et avoir dĂ©couvert certaines pĂ©pites comme Revenus de l’Au-delĂ , le sujet de Temps PrĂ©sent, L’expĂ©rience extraordinaire de StĂ©phane Allix, sans bien sĂ»r oublier Anita Moorjani et le Docteur Jean Jacques Charbonnier, rĂ©flĂ©chissons une nouvelle fois sur l’hypothĂšse que le cerveau ne soit pas le siĂšge de la conscience, comme le font ces chercheurs courageux Pour la seconde partie, on rejoindra Et si la mort n’était qu’un passage, dĂ©jĂ  vu par ici.
Cesite est dĂ©diĂ© Ă  l’actualitĂ© des recherches de tous, auteurs comme courants de pensĂ©e, sur l’éveil aux rĂ©alitĂ©s de notre condition humain

NousNeSommesPasSeuls Forum de discussions sur les thĂšmes de l'ufologie, le paranormal, les sciences, ... FAQ Search Memberlist Usergroups Register Profile Log in to check your private messages Log in ET SI LA MORT N'EXISTAIT PAS - Le film NousNeSommesPasSeuls Forum Index -> RÉALITÉ DE L'ASTRAL -> SpiritualitĂ© Previous topic Next topic Author Message glevesque ModĂ©rateurOfflineJoined 07 Apr 2005Posts 4,509Sexe Localisation LongueuilPoints 69Moyenne de points Posted 30/09/2018 011131 ET SI LA MORT N'EXISTAIT PAS - Le film c'est bien, mais comprendre c'est panoramiques martiensÉvolution de la Conscience SpirituelleINDEX DES VIDÉOS Back to top PublicitĂ© Posted 30/09/2018 011131 PublicitĂ©Supprimer les publicitĂ©s ? Back to top Display posts from previous NousNeSommesPasSeuls Forum Index -> RÉALITÉ DE L'ASTRAL -> SpiritualitĂ© All times are GMT + 1 Hour Page 1 of 1 Jump to Index Create a forum Free support forum Free forums directory Report a violation Cookies Charte Conditions gĂ©nĂ©rales d'utilisation Template Boogie by Soso Powered by phpBB © 2001, 2022 phpBB Group

et si la mort n existait pas
LestĂ©moins des expĂ©riences de mort imminente en sont convaincus. MalgrĂ© tout, personne ne peut rĂ©ellement dire que la vie aprĂšs la mort est une rĂ©alitĂ©, mĂȘme si ce film “Et si la mort n’existait pas ?” nous donne de l’espoir sur le sujet. CatĂ©gories Ecologie intĂ©rieure / SpiritualitĂ© vivante, L'Ă©popĂ©e de la Conscience
Pourquoi le pĂ©chĂ© et la mort ? Supposez que quelqu’un s’approche de vous pour vous dire “Vous, les chrĂ©tiens, vous dites que nous avons besoin de JĂ©sus-Christ et que nous devons confesser nos pĂ©chĂ©s. Mais, qu’est-ce que le pĂ©chĂ©? Au fait, pourquoi avons-nous besoin de Christ ? De toute façon, Dieu ne peut pas ĂȘtre ce qu’Il dit ĂȘtre. S’Il est un Dieu d’amour, comme vous le dites, pourquoi permet-Il la mort et toute la souffrance dans le monde ?” L’Evangile, le pĂ©chĂ© et la mort Quel est le message de l’Evangile? Lorsque Dieu crĂ©a l’homme, Il le fit parfait. Il a créé les deux premiers ĂȘtres humains, Adam et Eve, et les a placĂ©s dans le jardin d’Eden oĂč ils jouissaient d’une belle relation privilĂ©giĂ©e avec Dieu. Lorsqu’Il les a créés, Il les a placĂ©s devant un choix. Il voulait leur amour, non par une rĂ©ponse programmĂ©e mais par un acte raisonnĂ©. Le premier couple a choisi de se rebeller contre Dieu. Cette rĂ©bellion est appelĂ©e le pĂ©chĂ©. Tout pĂ©chĂ© se place sous la banniĂšre de la rĂ©bellion contre Dieu et Sa volontĂ©. Cette rĂ©bellion en Eden a eu plusieurs consĂ©quences. D’abord, l’homme s’est Ă©loignĂ© de Dieu. Cette sĂ©paration est appelĂ©e la mort spirituelle. L’effet de cette mort spirituelle Ă©tait de vivre pour toujours dans son corps de pĂ©chĂ©, sĂ©parĂ© Ă©ternellement d'avec Dieu. Imaginez vivre avec Hitler et Staline pour toujours! Imaginez vivre dans un Ă©tat de pĂ©chĂ© incorrigible pour l’éternitĂ©. Mais il y a eu un autre effet. Romains 5 12 nous dit “ . . . par un seul homme le pĂ©chĂ© est entrĂ© dans le monde, et par le pĂ©chĂ© la mort . . . ”. Il ne s’agit pas seulement de la mort spirituelle, comme certains thĂ©ologiens aiment Ă  le dire, mais aussi de la mort physique. Pour confirmer ceci, il suffit de lire I Corinthiens 15 20, oĂč Paul parle de la mort physique du premier Adam et de la mort physique de Christ, le dernier Adam. Lisez GenĂšse 3, oĂč Dieu a renvoyĂ© Adam et Eve du jardin, les empĂȘchant de manger de l’Arbre de la Vie, pour qu’ils ne vivent pas Ă©ternellement. La mort physique, aussi bien que la mort spirituelle, sont le rĂ©sultat de leur pĂ©chĂ©. Pourquoi Dieu a-t-Il envoyĂ© la mort ? ConsidĂ©rons attentivement trois aspects de la mort. Dieu, en tant que Juge juste, ne peut regarder le pĂ©chĂ©. A cause de Sa nature mĂȘme et de l’avertissement qu’Il a donnĂ© Ă  Adam, Dieu devait juger le pĂ©chĂ©. Il avait averti Adam que, par rapport Ă  l’arbre de la connaissance du bien et du mal, “ . . . le jour oĂč tu en mangeras tu mourras”. La malĂ©diction de la mort, qui fut placĂ©e sur le monde, Ă©tait et demeure un jugement juste et appropriĂ© de la part de Dieu qui est le Juge. Un des aspects de la rĂ©bellion de l’homme a Ă©tĂ© la sĂ©paration d’avec Dieu. Ceux qui perdent un ĂȘtre cher par la mort connaissent la tristesse de la sĂ©paration. La tristesse, suite au dĂ©cĂšs d’un bien-aimĂ©, devrait nous rappeler les terribles consĂ©quences du pĂ©chĂ© qui a sĂ©parĂ© Adam de la relation parfaite qu’il avait avec Dieu. Cette sĂ©paration a englobĂ© toute l’humanitĂ© car Adam a pĂ©chĂ© en tant que reprĂ©sentant de tous. Un autre aspect de cette question, qui Ă©chappe Ă  tant de gens, est que Dieu envoya la mort parce qu’Il nous aimait. Dieu est amour et, aussi Ă©trange que cela puisse paraĂźtre, nous devrions Le louer pour la malĂ©diction qu’Il a placĂ©e sur nous. Ce n’était pas la volontĂ© de Dieu que l’humanitĂ© s’éloignĂąt de Lui pour l’éternitĂ©. Imaginez vivre dans un Ă©tat de pĂ©chĂ© pour l’éternitĂ©, sĂ©parĂ© de Dieu. Mais Il nous a trop aimĂ©s pour cela et Il a fait une chose merveilleuse. En plaçant sur nous la malĂ©diction de la mort physique, Il a pourvu Ă  un moyen de racheter l’homme pour Lui-mĂȘme. En la personne de JĂ©sus Christ, Il a souffert cette malĂ©diction sur la croix pour nous. “Il souffrĂźt la mort pour tous” HĂ©breux 29. En devenant Lui-mĂȘme le sacrifice parfait pour notre pĂ©chĂ© de rĂ©bellion, Il a vaincu la mort. Il a pris la pĂ©nalitĂ© que nous mĂ©ritions de la part d’un juste Juge et l’a portĂ©e en Son propre corps sur la croix. Tous ceux qui croient en JĂ©sus-Christ comme Seigneur et Sauveur sont reçus par Dieu pour vivre l’éternitĂ© avec Lui. N’est-ce pas un merveilleux message ? C’est le message du christianisme. L’homme a perdu sa position privilĂ©giĂ©e Ă  cause du pĂ©chĂ©, avec le rĂ©sultat que Dieu a placĂ© sur lui la malĂ©diction de la mort afin qu’il puisse ĂȘtre rachetĂ© pour Dieu. Quel acte merveilleux fut accompli par Dieu! Chaque fois que nous prenons le repas du Seigneur, nous nous souvenons de la mort de Christ et de l’horreur du pĂ©chĂ©. Chaque jour du Seigneur Dimanche nous nous rĂ©jouissons de la rĂ©surrection de Christ et de Sa victoire sur le pĂ©chĂ© et la mort. Mais la thĂ©orie de l’évolution dĂ©truit la base mĂȘme de ce message d’amour. Le processus Ă©volutionniste est supposĂ© ĂȘtre celui de la lutte et de la mort, de la cruautĂ©, de la brutalitĂ© sans pitiĂ©. C’est l’horrible lutte pour la survie, l’élimination des faibles et des handicapĂ©s. VoilĂ  ce qui sous-tend l’évolution la mort, l’effusion du sang et la lutte pour amener l’homme Ă  l’existence. C’est la mort depuis des millions d’annĂ©es. C’est une progression lente vers une apogĂ©e l’existence de l’homme. Mais que dit la Bible en Romains 5 12? L’acte de l’homme l’a amenĂ© au pĂ©chĂ©, ce qui a provoquĂ© la mort. La Bible nous dit que sans effusion de sang, il n’y a point de pardon pour le pĂ©chĂ© HĂ©breux 9 22. Dieu a instituĂ© la mort et l’effusion du sang pour que l’homme puisse ĂȘtre rachetĂ©. Si la mort et l’effusion du sang avaient existĂ© avant le pĂ©chĂ© d’Adam, la base de l’expiation eĂ»t Ă©tĂ© dĂ©truite. Les Ă©volutionnistes diraient que la lutte et la mort ont rendu possible l’existence de l’homme. La Bible dit que les actes de rĂ©bellion de l’homme ont amenĂ© sa mort. Ces affirmations ne peuvent pas toutes deux ĂȘtre vraies. L’une contredit l’autre; elles sont diamĂ©tralement opposĂ©es. C’est pourquoi ceux qui font le compromis d’adhĂ©rer simultanĂ©ment aux deux positions les Ă©volutionnistes thĂ©istes sont en train de dĂ©truire la base de l’Evangile. Si la vie s’est formĂ©e en une progression vers le haut, comment l’homme est-il tombĂ© vers le haut ? Qu’est-ce que le pĂ©chĂ© ? Le pĂ©chĂ© serait alors une caractĂ©ristique animale hĂ©ritĂ©e et non ce qui a rĂ©sultĂ© de la chute de l’homme par dĂ©sobĂ©issance. Tous les chrĂ©tiens qui acceptent la croyance en l’évolution, y ajoutant Dieu, dĂ©truisent le fondement mĂȘme du message Ă©vangĂ©lique qu’ils professent. Dans une Ă©glise, un monsieur s’est approchĂ© de moi pour insister sur le fait qu’un chrĂ©tien pouvait croire Ă  l’évolution. Puisque j’avais passĂ© un temps considĂ©rable, au cours de la rĂ©union, Ă  montrer qu’il n’y avait pas de mort avant la Chute, je lui ai demandĂ© s’il croyait Ă  l’existence de la mort avant qu’Adam ne pĂšche. Sur un ton fĂąchĂ©, il m’a rĂ©pliquĂ© “ Battez-vous votre femme ?” Sa question m’a vraiment surpris et je ne comprenais pas la relation qu’il voulait Ă©tablir alors, je lui ai demandĂ© ce qu’il voulait dire. Il m’a reposĂ© la question “Battez-vous votre femme ?”, puis il est parti. La vie d’un confĂ©rencier itinĂ©rant est remplie d’expĂ©riences intĂ©ressantes! Cependant, j’ai pensĂ© longtemps Ă  la question de cet homme. AprĂšs une conversation avec un psychologue, j’ai compris qu’il y a un genre de questions auxquelles, que vous rĂ©pondiez oui ou non, vous ĂȘtes piĂ©gĂ©s. En fait, ce monsieur voulait poser la question “Vous ĂȘtes-vous arrĂȘtĂ© de battre votre femme ?” Que vous rĂ©pondiez oui ou non, vous admettez que vous battiez votre femme. En rapport avec le pĂ©chĂ© d’Adam et la chute, si cet homme avait dit, “Oui, il y a eu la mort avant la chute d’Adam”, il eĂ»t Ă©tĂ© en contradiction avec la Bible. S’il avait dit, “Non, la mort n’existait pas avant la chute d’Adam”, il reniait l’évolution. D’un cĂŽtĂ© ou de l’autre, il avait compris que l’on ne peut mettre ensemble l’évolution et la Bible. Quelle que soit sa rĂ©ponse, il Ă©tait piĂ©gĂ©, et il le savait. Soyons clairs. Je ne dis pas que, si vous croyez Ă  l’évolution, vous n’ĂȘtes pas un chrĂ©tien. Il y a beaucoup de chrĂ©tiens qui, pour des raisons diverses ignorance, orgueil, ou une interprĂ©tation libĂ©rale des Ecritures, croient Ă  l’évolution. Ceux qui y croient, cependant, ne sont pas en harmonie avec les Ecritures, et dĂ©truisent le fondement mĂȘme de l’Evangile. Par consĂ©quent, je les supplierais de reconsidĂ©rer sĂ©rieusement les Ă©vidences allant Ă  l’encontre de leur position. MĂȘme les athĂ©es voient l’inconstance d’un chrĂ©tien qui professe foi en l’évolution, comme le montre la citation d’un article Ă©crit par G. Richard Bozarth, intitulĂ© “La signification de l’évolution” du magazine L’athĂ©e amĂ©ricain The American Atheist, du numĂ©ro de Septembre 1978 page 19 “Le christianisme est — et doit ĂȘtre — totalement engagĂ© envers la crĂ©ation spĂ©ciale telle qu’elle est dĂ©crite dans la GenĂšse et le christianisme doit lutter de toutes ses forces et par tous les moyens, bons et mauvais, contre la thĂ©orie de l’évolution. Il apparaĂźt clairement, maintenant, que toute la justification de la vie et de la mort de JĂ©sus est bĂątie sur l’existence d’Adam et d’Eve et le fruit dĂ©fendu qu’ils ont mangĂ©. Sans pĂ©chĂ© originel, qui a besoin d’ĂȘtre rachetĂ©? Sans la chute d’Adam dans une vie de pĂ©chĂ© constant aboutissant Ă  la mort, quel but y a-t-il dans le christianisme? Aucun. ” L’athĂ©e Jacques Monod connu pour ses contributions Ă  la biologie molĂ©culaire et Ă  la philosophie a dit, dans une interview intitulĂ©e Le secret de la vie’, diffusĂ©e par la Australian Broadcasting Commission le 10 juin 1978 “La sĂ©lection naturelle est la maniĂšre la plus aveugle et cruelle de faire Ă©voluer de nouvelles espĂšces ou des organismes plus complexes et raffinĂ©s . . . .d’autant plus cruelle que c’est un processus d’élimination, de destruction. La lutte pour la vie et l’élimination du plus faible est un processus horrible, contre lequel notre Ă©thique moderne se rĂ©volte. Une sociĂ©tĂ© idĂ©ale est une sociĂ©tĂ© non-sĂ©lective, c’est celle oĂč les faibles sont protĂ©gĂ©s, ce qui est exactement le contraire de la soi-disant loi naturelle. Je suis surpris de constater que des chrĂ©tiens dĂ©fendent l’idĂ©e de la sĂ©lection naturelle comme processus plus ou moins mis en place par Dieu pour crĂ©er l’homme.” Le pĂ©chĂ© originel, dont la mort est le rĂ©sultat, est la base de l’Evangile. Voici pourquoi JĂ©sus-Christ est venu et c’est la raison d’ĂȘtre de l’Evangile. Si le premier Adam n’est qu’une figure allĂ©gorique, pourquoi en serait-il autrement du dernier Adam, JĂ©sus-Christ I Corinthiens 1545-47 ? Si l’homme n’était pas tombĂ© dans le pĂ©chĂ©, il n’aurait aucun besoin de Sauveur. L’évolution dĂ©truit les fondations mĂȘme du christianisme parce qu’elle affirme “La mort a toujours fait partie de la vie.” Si vous viviez dans un gratte-ciel et que les ouvriers avec des marteaux pneumatiques Ă©taient en train d’en miner les fondements, diriez-vous “Quelle importance ?” VoilĂ  pourtant ce que font beaucoup de chrĂ©tiens. Ils sont bombardĂ©s par l’évolution de tous cĂŽtĂ©s les mĂ©dias, l’école publique, la tĂ©lĂ©vision et les journaux et pourtant, ils ne rĂ©agissent que rarement. Les fondations du gratte-ciel du christianisme sont minĂ©es par les marteaux piqueurs de l’évolution. Mais, Ă  l’intĂ©rieur de ce gratte-ciel, que font la plupart des chrĂ©tiens? Soit, ils sont assis sans rien faire, soit ils fournissent d’autres marteaux piqueurs en disant, “Allez-y. DĂ©truisez nos fondations ! ” Pire encore, les Ă©volutionnistes thĂ©istes ceux qui croient Ă  la fois en l’évolution et en Dieu minent activement la base de l’Evangile. Comme le dit le psalmiste dans le Psaume 113 “Quand les fondements sont renversĂ©s, le juste que fera-t-il?” Si la base de l’Evangile est dĂ©truite, la structure bĂątie sur ce fondement l’église chrĂ©tienne s’effondrera de maniĂšre gĂ©nĂ©rale. Si les chrĂ©tiens dĂ©sirent conserver la structure du christianisme, ils devront en protĂ©ger le fondement et s’opposer ainsi, activement, Ă  l’évolution. De nouveaux cieux et une nouvelle terre Le Paradis restaurĂ© L’évolution contredit Ă©galement l’enseignement des nouveaux cieux et d’une nouvelle terre. Que nous dit la Bible Ă  ce sujet? En Actes 321, nous lisons qu’il y aura un rĂ©tablissement ou une restitution. Ceci signifie que les choses seront restaurĂ©es au moins Ă  ce qu’elles Ă©taient Ă  l’origine. Nous apprendrons ce Ă  quoi ressemblera cette crĂ©ation restaurĂ©e “Il ne se fera ni tort ni dommage sur toute ma montagne sainte.” EsaĂŻe 119. Les ĂȘtres seront vĂ©gĂ©tariens et il n’y aura aucune violence. “Le loup habitera avec l’agneau, et la panthĂšre se couchera avec le chevreau. Le veau, le lionceau et le bĂ©tail qu’on engraisse, seront ensemble, et un petit enfant les conduira. La vache et l’ourse auront un mĂȘme pĂąturage, leurs petits un mĂȘme gĂźte. Et le lion, comme le boeuf, mangera de la paille” EsaĂŻe 116-7. — Ces animaux seront tous vĂ©gĂ©tariens ! “Il n’y aura plus d’anathĂšme” Apocalypse 223. Dans la GenĂšse, nous trouvons que les hommes et les animaux avaient reçu l’ordre de ne manger que des plantes voir GenĂšse 129,30; ils Ă©taient vĂ©gĂ©tariens. Ce n’est qu’aprĂšs le dĂ©luge que l’homme a reçu la permission de manger de la viande GenĂšse 93. Il Ă©tait vĂ©gĂ©tarien lorsque Dieu l’a créé et il n’y avait aucune violence avant le pĂ©chĂ© d’Adam. Certains remettent en question l’affirmation que les premiĂšres crĂ©atures Ă©taient vĂ©gĂ©tariennes. Ils disent que les lions ont des dents aiguisĂ©es faites pour manger de la viande. Est-ce nĂ©cessairement vrai? Ou est-ce seulement ce qu’on nous a enseignĂ© Ă  l’école? En rĂ©alitĂ©, les canines aiguisĂ©es du lion sont bonnes pour dĂ©chirer. Les mĂȘmes dents qui servent Ă  dĂ©chirer la chair d’animaux peuvent aussi bien servir Ă  dĂ©chirer des plantes. Selon la Parole de Dieu, les lions Ă©taient vĂ©gĂ©tariens avant la Chute et le seront, Ă  nouveau, dans le paradis futur. D’ailleurs, des animaux carnivores peuvent trĂšs bien ĂȘtre vĂ©gĂ©tariens. Les chiens et les chats survivent trĂšs bien avec un rĂ©gime Ă©quilibrĂ© de lĂ©gumes. Aussi, la Bible n’exclut pas la possibilitĂ© d’une action directe de la part de Dieu au moment de la Chute, et lors de la restauration future, ayant un effet biologique direct sur les crĂ©atures en ce qui concerne leur rĂ©gime alimentaire. A l’heure actuelle, beaucoup d’animaux ont des dents dites “carnivores” comme le renard volant ou la chauve-souris Ă  fruits mais ces animaux ne mangent que des plantes ou des fruits. Croire Ă  l’évolution, c’est nier qu’il y ait eu un paradis universel lors de la crĂ©ation d’Adam car l’évolution implique nĂ©cessairement qu’avant la venue d’Adam, il y avait la lutte, la cruautĂ© et la brutalitĂ©, des animaux qui s’entre-tuaient, et la mort. Le monde sera-t-il restaurĂ© Ă  cet Ă©tat-lĂ ? Si vous croyez Ă  l’évolution, vous devez nier qu’il y ait eu un paradis universel avant Adam parce que vous croyez qu’il y avait la lutte et la mort pendant des millions d’annĂ©es avant Adam et qu’il en sera de mĂȘme Ă  la fin des temps parce que la Bible enseigne que le monde sera restaurĂ© Ă  ce qu’il Ă©tait au dĂ©but. Ainsi, l’évolution frappe non seulement au coeur et au fondement mais aussi Ă  l’espĂ©rance du christianisme. Nous devons tous ĂȘtre sur la brĂšche pour ce combat. Beaucoup d’entre nous ont Ă©tĂ© abusĂ©s au point de croire que l’évolution ne concerne que la science et qu’il faut ĂȘtre un savant pour lutter sur ce front. Mais l’évolution est un systĂšme de croyances et il n’y a nul besoin d’ĂȘtre un scientifique pour la combattre. Les Ă©volutionnistes Ă©voquent le phonĂ©mĂšne des mutations les erreurs gĂ©nĂ©tiques et celui de la lutte et de la mort Ă  l’heure actuelle pour essayer de prouver que l’évolution est possible. Par consĂ©quent, les chrĂ©tiens qui croient en l’évolution sont obligĂ©s de croire que ce processus continue de nos jours. Les Ă©volutionnistes extrapolent dans le passĂ© Ă  partir de donnĂ©es actuelles, dĂ©duisant que tout a Ă©voluĂ©, par des mutations, pendant des millions d’annĂ©es. Logiquement, un Ă©volutionniste chrĂ©tien doit croire que l’évolution continue jusqu’à nos jours dans tous les domaines, y compris pour l’homme. Cependant, Dieu a dit dans Sa Parole que lorsqu’Il avait tout créé, Il termina Son oeuvre de crĂ©ation qu’Il trouva bonne GenĂšse 131- 23. Ceci est Ă  l’opposĂ© de ce que nous disent les Ă©volutionnistes. Les Ă©volutionnistes thĂ©istes ne peuvent pas prĂ©tendre que Dieu se soit servi de l’évolution dans le passĂ© et qu’Il ne s’en sert plus de nos jours. Dire que l’évolution ne se fait pas aujourd’hui c’est dĂ©truire la thĂ©orie Ă©volutionniste, puisque rien ne peut prouver que, si le processus a eu lieu dans le passĂ©, pourquoi, quand et comment n’a-t-il plus lieu aujourd’hui. Beaucoup de chrĂ©tiens, en apprenant quelle est la vraie nature de la science - que l’évolution est une religion - abandonnent les croyances telles que l’évolution thĂ©iste ou la crĂ©ation progressive. Cependant, il reste encore un grand nombre de pasteurs, de thĂ©ologiens et d’autres, qui, Ă  cause de leur vue globale des Ecritures, n’accepteront pas ce que nous disons. Ils ont un dĂ©saccord philosophique de base avec nous en ce qui concerne l’approche de la Bible. Peut-ĂȘtre que le meilleur moyen de rĂ©sumer cet argument est de vous donner l’illustration de l’une de mes rencontres avec un pasteur protestant. Certains membres du personnel de la Christian Science Foundation Ă  Brisbane, Australie, avaient parcouru km jusqu’à Victoria pour animer des rĂ©unions dans des lieux divers. Dans l’une de ces localitĂ©s, un des pasteurs s’est opposĂ© publiquement Ă  nous. Un autre pasteur de la mĂȘme Ă©glise avait prĂ©parĂ© une annonce pour le journal paroissial annonçant nos confĂ©rences. Mais le pasteur opposant a obtenu l’original avant la mise sous presse et a supprimĂ© l’annonce. Il a encouragĂ© les gens Ă  boycotter notre sĂ©minaire et a dit beaucoup de choses dĂ©sobligeantes concernant notre organisation et notre enseignement. Il a mĂȘme dit aux gens que nous Ă©tions du diable et que l’on ne devait pas nous Ă©couter. J’ai pris rendez-vous avec ce pasteur afin d’en discuter avec lui. Il m’a expliquĂ© qu’il croyait que la GenĂšse Ă©tait purement symbolique, qu’il y avait un grand nombre d’erreurs dans la Bible et que l’on ne pouvait pas la prendre aussi littĂ©ralement que j’avais l’air de l’interprĂ©ter. Je lui ai rĂ©pondu que la raison de ce dĂ©saccord, sur la question crĂ©ation/Ă©volution, Ă©tait due Ă  notre approche personnelle trĂšs diffĂ©rente l’une de l’autre. Il a dit que c’était bien vrai, mais insistait que l’on ne pouvait prendre la GenĂšse au sens littĂ©ral mais seulement de maniĂšre symbolique. Je lui ai demandĂ© s’il croyait que Dieu avait créé les cieux et la terre. Il dit, “Oui, c’est bien le message enseignĂ© dans la GenĂšse.” DĂ©libĂ©rĂ©ment, j’ai citĂ© GenĂšse 1 1 “Croyez-vous qu’au commencement, Dieu crĂ©a les cieux et la terre? ” Il rĂ©pondit, “Oui, bien sĂ»r. C’est le message communiquĂ© par la GenĂšse.” Je lui ai expliquĂ© qu’il venait de prendre GenĂšse 11 au sens littĂ©ral. Je lui ai demandĂ© s’il prenait ce verset au sens symbolique et, sinon, pourquoi le prenait-il littĂ©ralement. Puis, j’ai demandĂ© si GenĂšse 12 Ă©tait Ă  prendre littĂ©ralement ou symboliquement. Comment pouvait-il dire que tout le livre devait ĂȘtre interpretĂ© symboliquement, s’il prenait GenĂšse 1 1 littĂ©ralement. Il a dit que ce que disait la GenĂšse n’était pas important — uniquement ce qu’elle voulait dire. “Comment pouvez-vous comprendre la signification indirecte d’un texte si vous ne savez pas ce qu’il signifie littĂ©ralement?” J’ai demandĂ©, “Si vous ne pouvez pas prendre ce qui est dit pour arriver Ă  la signification, alors l’anglais ou toute autre langue devient un non-sens.’" Je lui demandai alors de quelle maniĂšre il dĂ©cidait de ce qui Ă©tait vrai touchant les Ecritures. Il a rĂ©pondu, “Par un consensus d’opinion dans notre communion.” Alors j’ai dit, “Ceci est donc votre base pour dĂ©terminer ce qu'est la vĂ©ritĂ©. D’oĂč avez-vous cette base et comment savez-vous que c’est la bonne base pour dĂ©cider ce qu’est la vĂ©ritĂ©?” Il m’a regardĂ© et m’a dit, “Par un consensus d’opinion parmi les Ă©rudits.” De nouveau , je lui ai posĂ© la question “Si ce consensus d’opinion est votre base pour dĂ©terminer la vĂ©ritĂ© et pour dĂ©cider si votre communion est arrivĂ©e aux bonnes conclusions concernant la vĂ©ritĂ©, comment savez-vous que vous avez trouvĂ© la bonne base pour dĂ©terminer ce qu’est la vĂ©ritĂ© ?” Il m’a dit alors qu’il n’avait pas toute la journĂ©e pour parler de ce sujet et qu’il valait mieux terminer la discussion. Ce qu’il faisait, bien sĂ»r, Ă©tait de faire appel Ă  la sagesse de l’homme pour dĂ©cider de ce que signifiait l’Ecriture, plutĂŽt que de laisser la Parole de Dieu lui dire ce qu’était la vĂ©ritĂ©. La vraie diffĂ©rence entre nos positions peut ĂȘtre rĂ©sumĂ©e comme suit OĂč placez - vous votre foi dans les paroles d’hommes qui sont des crĂ©atures faillibles qui ne savent pas tout et qui n’étaient pas prĂ©sents lors de la CrĂ©ation ou dans les paroles du Dieu qui est parfait, qui sait tout et qui Ă©tait prĂ©sent Ă  la CrĂ©ation? Les chrĂ©tiens, ou ceux qui se rĂ©clament de ce nom qui prennent cette vue libĂ©rale des Ecritures verront gĂ©nĂ©ralement les implications de cette fausse philosophie dans la gĂ©nĂ©ration suivante chez leurs enfants. Du fait qu’ils ne peuvent pas fournir un fondement solide pour leurs enfants, ils voient souvent toute la structure du christianisme s’effondrer dans la gĂ©nĂ©ration suivante. Pour beaucoup de ces gens, la triste vĂ©ritĂ© est qu’ils perdront la plupart de leurs enfants, qui rejetteront le christianisme en bloc. Ce dilemme en rapport avec la thĂ©ologie libĂ©rale est trĂšs liĂ© Ă  la controverse concernant la GenĂšse. Si quelqu’un rejette la GenĂšse ou s’il affirme que le rĂ©cit est seulement un mythe ou du symbolisme, il devra logiquement renier le reste des Ecritures. Vous en voyez la preuve chez les gens qui essaient d’expliquer, par des causes naturelles, les miracles tels que la traversĂ©e de la Mer Rouge, le buisson ardent ou un poisson qui avale un homme pour n’en nommer que quelques-uns. Mais ces gens ne s’arrĂȘtent pas lĂ . Ils essaient d’expliquer les miracles de Christ dans le Nouveau Testament. Parfois, et c’est de plus en plus frĂ©quent, ils nient mĂȘme la naissance du Christ d’une vierge, ainsi que la rĂ©surrection corporelle de JĂ©sus. Mais lorsque l’on accepte la GenĂšse comme Ă©tant un rĂ©cit historique vĂ©ridique servant de fondement Ă  toutes les Ecritures, il est facile d’accepter la vĂ©ritĂ© de tout le message de la Bible. Je prends la Bible littĂ©ralement Ă  moins que la signification soit ouvertement symbolique. Et mĂȘme, lĂ  oĂč le sens est symbolique, les mots et les phrases ont une base littĂ©rale. Beaucoup de gens se servent de la phrase biblique qui dit que JĂ©sus est la porte pour affirmer que l’on ne peut pas prendre la Bible littĂ©ralement. Cependant, une Ă©tude des coutumes de cette Ă©poque rĂ©vĂšle que le berger avait l’habitude de s’asseoir dans l’ouverture de l’enclos et il Ă©tait littĂ©ralement la porte. Donc, dans ce sens-lĂ , JĂ©sus est littĂ©ralement la porte, tout comme l’est le berger pour son troupeau. Trop de gens veulent tirer des conclusions hĂątives concernant l’aspect littĂ©ral des Ecritures, sans considĂ©rer soigneusement la dĂ©claration, le contexte et les coutumes. Nous pouvons interprĂ©ter un texte selon un sens symbolique ou selon ses mĂ©taphores lorsque ce sens-lĂ  est clairement indiquĂ© ou que le texte le prĂ©cise en quelques mots. Bien entendu, beaucoup de thĂ©ologiens libĂ©raux accusent le ministĂšre crĂ©ationniste d’ĂȘtre un facteur de division. Ils ont sĂ»rement raison de l’affirmer car la vĂ©ritĂ© divise toujours. Comme l’a dit Christ, Il est venu pour diviser “Car je suis venu mettre la division entre l’homme et son pĂšre, entre la fille et sa mĂšre, entre la belle-fille et sa belle-mĂšre” Matthieu 1035. Ne connaissez-vous pas des familles oĂč les relations sont tendues, sinon brisĂ©es, parce qu’un des membres vit pour Christ, tandis qu’un autre vit d’une maniĂšre contraire ? Les compromis sont, hĂ©las, trop frĂ©quents avec le chrĂ©tien qui cĂšde sur ses convictions pour avoir la paix et l’harmonie. JĂ©sus a prĂ©dit une lutte et non la paix Ă  tout prix. En Luc 12/51 JĂ©sus a dit, “Pensez-vous que je sois venu apporter la paix sur la terre? Non, vous dis-je, mais la division.” Voir aussi Jean 712, 43; 916; 1019. D’un point de vue pratique, je trouve que les Ă©lĂšves ne veulent pas entendre que la Bible est remplie d’erreurs et qu’ils ne doivent pas y placer leur confiance. Au contraire, ils veulent entendre qu’il y a des rĂ©ponses et qu’ils peuvent avoir des certitudes. Lors d’une rĂ©union, une mĂšre m’a dit que sa fille allait dans une classe d’école publique Ă  laquelle je m’étais adressĂ©. Sa fille lui a expliquĂ© que ce qui avait impressionnĂ© les Ă©lĂšves, plus que toute autre chose, est que j’avais parlĂ© avec beaucoup d’autoritĂ©. Ils Ă©taient impressionnĂ©s du fait que je ne remettais pas en question la Parole de Dieu mais que je l’acceptais totalement. Cela m’a rappelĂ© cette affirmation des Ecritures; “AprĂšs que JĂ©sus eut achevĂ© ces discours, la foule fut frappĂ©e de Sa doctrine; car Il enseignait comme ayant autoritĂ©, et non pas comme leurs scribes”Matthieu 728-29. JĂ©sus avait beaucoup d’autoritĂ© et de conviction lorsqu’Il parlait. Il n’a pas annoncĂ© plusieurs chemins pour aller au ciel. Il n’est pas venu pour dĂ©clarer qu’Il croyait ĂȘtre l’un des chemins pour accĂ©der Ă  la vie Ă©ternelle. JĂ©sus a dit, “Je suis le chemin, la vĂ©ritĂ© et la vie” Jean 146. Je pense que JĂ©sus ne serait pas acceptĂ© dans bon nombre d’églises de nos jours s’Il venait prĂȘcher. Il serait un facteur de division! Il en Ă©tait de mĂȘme il y a deux mille ans. Sommes-nous, les chrĂ©tiens nĂ©s de nouveau, le corps de Christ sur la terre aujourd’hui, trop timorĂ©s pour proclamer la vĂ©ritĂ©, de peur de provoquer une division? Dans une Ă©glise, j’ai parlĂ© Ă  un groupe de jeunes sur l’importance de la GenĂšse. J’étais Ă©tonnĂ© que le responsable du groupe se soit levĂ© Ă  la fin du programme pour dire aux jeunes Ă  quel point il Ă©tait déçu de ma vue “basse” des Ecritures. Il disait que j’essayais d’imposer une Bible parfaite Ă  Dieu et combien ce point de vue Ă©tait limitĂ© et inadĂ©quat. De son cĂŽtĂ©, il Ă©tait prĂȘt Ă  accepter que la Bible contienne des erreurs et des problĂšmes. Ceci reprĂ©sentait sa vue “haute” des Ecritures. AprĂšs cette conversation, j’ai compris que les mots n’avaient aucune signification pour cet homme. Beaucoup de gens dans les Ă©glises surtout ceux de la jeune gĂ©nĂ©ration ont remarquĂ© le manque d’autoritĂ© dans l’enseignement. C’est un bien triste verdict pour nos Ă©glises. Comment nourrissent-elles leurs membres? 0VmTMtu.
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