Lacompagnie française de chemins de fer SNCF a investi dans l’une des startups américaines qui travaillent sur le projet futuriste de train à très grande vitesse "Hyperloop", né de

Hyperloop, c’est le projet extraordinaire d’Elon Musk fondateur de Tesla. Toujours en phase d’essai, on se retrouve déjà à rêver d’un monde nouveau si le fameux train venait connecter les pays et les continents entrent eux. Reliant ainsi le monde entier comme un métro peut relier chaque extrémité d’une ville. Voici à quoi pourrait ressembler le plus grand métro du monde, si l’Hyperloop devenait le transport de demain. Hyperloop un transport à très grande vitesse Ce projet futuriste imagine un train qui fonctionnerait par magnétisme et permettrait de relier deux points distants à une vitesse de 1000 km/h. À cette vitesse n’importe quel trajet sera réduit de plus de la moitié, au vu des temps de trajets que nous offrent nos transports à l’heure actuelle. Un Paris-Marseille en 45 minutes, ça pourrait bien être possible un jour ! Et à moindre coup parait-il, puisque l’une des promesses de Tesla c’est de rendre ce transport abordable et cela malgré la technologie et l’efficacité de celui-ci. Des essais ont déjà été effectués face à un public à 640 km/h et ainsi qu’à vitesse réelle dans un tube adapté, mais cette fois-ci, sans public. On est encore loin du résultat imaginé, mais cela rend le projet toujours un peu plus réel. Reste encore quelques petits détails à régler pour le constructeur, puisqu’on imagine qu’à cette vitesse les passagers risquent d’être pris de vertiges. À lire Hyperloop un train supersonique pour voyager à 1220 km/h Relier le monde par l’hyperloop Malgré cela, on a envie d’y croire nous à ce beau projet ! On s’imagine alors forcément, quel impact pourrait avoir une telle invention sur notre monde actuel. D’où cette carte. Sur laquelle imagine-t-on un monde où il sera possible d’atteindre le continent américain ou océanien en un rien de temps ? Cette carte, ressemblant fortement à celle d’un métro, elle a pourtant été créée en 2003, date à laquelle le projet d’Elon Musk n’existait pas, du moins, pas publiquement. C’est en fait l’œuvre d’un journaliste britannique nommé Mark Ovenden. Cette carte reste purement hypothétique, voir idyllique pour les férus de voyages. Mais si le projet d’Hyperloop voit le jour, on peut très vite s’en rapprocher. Relier Las Vegas à Los Angeles en moins d’une demi-heure, et Paris Marseille en moins d’une heure, c’est la promesse de Tesla d’ici de 2021. Vous imaginez prendre le train pour partir au Japon ou en Australie ? Pari surréaliste ? C’est le pari que se sont fixé Elon Musk et son équipe ! Affaire à suivre… À lire Spotmini le chien robot de Boston Dynamics ouvre des portes
Premierrecord de vitesse en 2017 sans passagers (386 km/h) et des annonces concrètes pour la mise en service de lignes aux Emirats Arabes Unis et en Inde, ainsi que des études de faisabilité aux Etats-Unis notamment. Depuis, l’entreprise qui visait de premiers trajets commerciaux pour le milieu des années 2020, a récemment procédé au premier voyage de Hyperloop One se rapproche d'un premier essai public aux Etats-Unis. Basée sur la technologie Hyperloop proposée par Elon Musk, elle permettrait de transporter des passagers dans des capsules circulant dans un tube à basse pression "à une vitesse pouvant atteindre 1 200 km/h". Un concept lancé en 2013 par le milliardaire, qui l'a laissé ouvert aux offres concurrentes de plusieurs entreprises souhaitant le développer et n'a investi d'argent dans aucune d'entre elles. Parmi les investisseurs d'Hyperloop One, on retrouve notamment la SNCF. Son rival le plus sérieux est la startup californienne Hyperloop Transportation Technologies HTT, qui a installé un centre de recherche à Toulouse avec, ici aussi, une prochaine piste d'essai courant 2017. Hyperloop One "devloop" piste d'essai Voici "DevLoop", une piste d'essai en construction aux Etats-Unis pour le concept Hyperloop de transport révolutionnaire il doit propulser une capsule de passagers dans un tuyau où un quasi-vide est fait, à très basse pression. Hyperloop One Hyperloop One "devloop" piste d'essai L'idée d'Hyperloop, digne de la science-fiction, a été mise au point par Elon Musk, fondateur de SpaceX et Tesla. Elle permettrait de transporter des personnes à des vitesses théoriques supérieures à 1000km/h. Hyperloop One Hyperloop One "devloop" piste d'essai Mais Hyperloop One, qui construit cette piste, n'a pas de lien direct avec Elon Musk c'est l'une des sociétés privées et concurrentes qui développent son idée. Le concept du milliardaire a d'ailleurs été amendé depuis son ébauche en 2013. Hyperloop One Hyperloop One "devloop" piste d'essai La piste d'Hyperloop One, qui mesure actuellement 500 mètres de long, est un assemblage d'énormes tubes mesurant 3,3 mètres de diamètre. Elle est en construction dans le désert du Nevada, non loin de Las Vegas. Hyperloop One Hyperloop One "devloop" piste d'essai L'installation doit permettre des essais publics "d'ici la mi-2017", selon Hyperloop One. L'entreprise a été ralentie par plusieurs mois de procès avec un ancien co-fondateur, Brogan Bambrogan, en désaccord avec le reste de l'équipe. Hyperloop One Hyperloop One "devloop" piste d'essai La piste doit atteindre une longueur de deux miles soit 3,2 kilomètres à la fin de sa construction. Après un premier test de propulsion réussi l'année dernière, Hyperloop One a lancé en novembre une étude aux Emirats arabes unis pour relier Dubaï et Abu Dhabi. Soit tout de même 120 kilomètres en seulement 12 minutes. Hyperloop One Les plus lus OpinionsLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre Assouline
HyperloopTT : un projet ferroviaire futuriste qui avance en région toulousaine. Hier, le sommet des start-up, organisé par le magazine Challenges, s’est déroulé à Toulouse. L’occasion pour Bibop Gresta, le cofondateur du projet de train hypersonique Hyperloop TT, d’expliquer et de montrer que les tests menés sur ce futur moyen de
Économie Après un an d'annonces, ce projet de transport subsonique, à mi-chemin entre le Concorde et le chemin de fer, a été dévoilé. Après plusieurs mois d'incertitude, le milliardaire américain Elon Musk a finalement dissipé les doutes sur la crédibilité de son projet baptisé "Hyperloop", en dévoilant lundi 12 août une première esquisse de ce qui pourrait devenir le "cinquième moyen de transport moderne", après l'avion, le train, l'automobile et le bateau à moteur. Evoqué pour la première fois en juillet 2012, ce système révolutionnaire de transport subsonique à mi-chemin entre le Concorde et le chemin de fer, capable d'atteindre la vitesse de 1 220 km/h, commençait à prendre des allures de chimère. Assurant s'être "tiré une balle dans le pied" avec ce projet, Elon Musk avait indiqué au début d'août n'avoir aucune intention de construire l'Hyperloop, préférant se concentrer sur ses deux entreprises, Tesla voitures électriques et SpaceX fusées. Lire "Hyperloop, le pari fou du PDG de Tesla, le 'génie' Elon Musk" Le cofondateur de PayPal a pourtant tenu sa promesse en présentant le 12 août un document de 57 pages sobrement intitulé "Hyperloop Alpha", première pierre d'un projet qui pourrait selon lui aboutir d'ici une dizaine d'années. VINGT EUROS L'ALLER SIMPLE "L'Hyperloop consiste en un tube à basse pressurisation au sein duquel des capsules sont transportées à faible et à grande vitesse, reposant sur des coussins d'air pressurisé", détaille le document, issu du travail conjugué des équipes de Tesla et de SpaceX. Les capsules seraient propulsées grâce à un champ magnétique généré par une version du moteur électrique utilisé sur la voiture électrique Tesla S, alimenté par l'énergie solaire. La sensation à bord serait proche de celle d'un avion. "Ce serait doux, comme voler sur l'air". A en croire ce document, le projet n'est pas guidé que par la folie des grandeurs de son inventeur. Il permettrait également de réaliser d'importantes économies sur les trajets inférieurs à 1 500 kilomètres. Elon Musk envisage d'ailleurs très sérieusement de relier en trente-cinq minutes Los Angeles et San Francisco, éloignés d'environ 600 kilomètres, pour un coût total de 6 milliards de dollars. Soit dix fois moins que les 68 milliards du projet de train à grande vitesse récemment approuvé par les autorités californiennes, auquel s'est vivement opposé Elon Musk. Et bien plus rapide que les deux heures quarante de son futur trajet. Pour un aller simple de 20 dollars, une capsule de vingt passagers pourrait partir toutes les trente secondes pour traverser la Californie en parallèle de la très encombrée autoroute I5. UN PROTOTYPE CONSTRUIT PAR MUSK ? En outre, l'Hyperloop serait beaucoup moins vulnérable aux séismes, très fréquents en Californie, et peu exposé aux accidents, "car il ne peut pas s'écraser ou dérailler". Restent deux motifs d'incertitude. D'une part, la volonté des autorités californiennes de revenir sur leur décision pour se lancer dans un tel projet. Mais surtout, le degré d'implication personnelle d'Elon Musk, qui pourrait peser dans la balance. Après avoir assuré plusieurs fois être "trop occupé" pour construire lui-même l'Hyperloop, le jeune milliardaire a laissé entendre lundi qu'il pourrait prendre en charge le lancement du projet, "avant de transmettre les rênes à quelqu'un d'autre". Le document de présentation est d'ailleurs clair sur ce point répétant à plusieurs reprises que le projet comporte "sans aucun doute des erreurs et des éléments à optimiser", M. Musk invite toutes les bonnes volontés à lui soumettre leurs idées, sur le modèle de l'open source. "Je suis tenté de créer au moins un prototype de démonstration, a-t-il toutefois reconnu. Je n'essaie pas de faire des tonnes d'argent avec ça, mais j'aimerais que [ce projet] devienne réalité et je pense que cela aiderait si je faisais un modèle." Lire également édition abonnés "Tesla, la dernière coqueluche de la Silicon Valley" Le Monde avec AFP et Reuters Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
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Grâceà un système de lévitation électrique à l'intérieur de tubes, l'Hyperloop développé par Zeleros transportera des passagers et des marchandises à plus de 1.000 km/h par heure/ Zeleros Les étudiants et chercheurs de l’École des mines, à Saint-Étienne, ont calculé que le train actuellement testé aux États-Unis permettrait de relier Lyon à Saint-Étienne en seulement huit minutes. Le train du futur devrait pouvoir parcourir les 700 km qui séparent Los Angeles et San Francisco en à peine 30 minutes. S'il était installé en France, 10 000 passagers quotidiens pourraient faire le trajet Lyon/Saint-Etienne en à peine 8 minutes, tout en réduisant sensiblement l'impact écologique, puisque l'Hyperloop fonctionne principalement grâce à l'énergie électrique captée par des panneaux solaires. De quoi ringardiser le projet d'autoroute A45 du président du conseil régional, Laurent Wauquiez. Les étudiants de l'École des mines sont allés jusqu'à calculer le prix d'une telle installation sans l'aide des collectivités locales 700 millions d'euros. La SNCF ou l'entreprise qui serait à la tête de la ligne devrait donc fixer un prix autour de 15 euros par trajet. Pour le moment, un tel projet n'est pas encore au programme, même si la SNCF s'est rapidement positionnée en investissant dans la start-up californienne Hyperloop One, du milliardaire Elon Musk. ILpermettrait Also DE Réaliser D'Importantes économies Sur Les Trajets inférieurs à 1 500 Kilomètres. Elon Musk envisager d'Ailleurs Très sérieusement de RELIER en trente-cinq minutes de Los Angeles et San Francisco, éloignés d'environ 600 Kilomètres, versez Coût totale de l'6 Milliards de dollars DE l'ONU. Soit Dix fois Moins que les 68 milliards du Projet de train à Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus. Ce mardi 29 Avril 2008 le gouvernement argentin signe le contrat d’adjudication, d’un montant de près de quatre milliards de dollars, pour la réalisation du premier train à grande vitesse d’Amérique latine entre Buenos Aires et Cordoba, située à 700 km au nord-ouest de la Argentine, beaucoup de voix se sont exprimées contre ce projet évalué à un cout global de 4 milliards de dollars et financé par un prêt de la Société générale. Pino Solanas, le réalisateur de documentaires comme le "Saccage de l'Argentine" sur l'ultra libéralisme de Menem et la "Hora de los Hornos" "l'heure des brasiers"sur les années soixante dix, qui a été candidat de Gauche à l'élection présidentielle de 2003, dénonce le projet du "Tren Bala" "Train Balle" comme étant un un "disparate" , "une connerie", "disparate" peut être aussi utilisé pour "tirer un coup de feu contre le pays", jeu de mot avec "balle"Les opposants font valoir que les gouvernements ultra libéraux, ont suivi les recommandations du FMI, ont démantelé son réseau ferroviaire 80 % du réseau a disparuavec la politique de privatisation généralisée des années 90 et il ne reste presque plus de réseau de marchandises ou de passagers en activité dans le pays. Partout, les ferrailleurs proposent de superbes madriers en chêne indestructible qui sont les traverses des rails démontés. La circulation de passagers et de marchandises est maintenant entre les mains des entreprises privées de Bus pullman et de camions polluants l’ la France arrêtera t'elle de vendre des armes et des projets industriels inadaptés aux pays émergents ? Les cocoricos sur notre super technologie devraient se faire entendre avec plus de discernements. Quelle politique de coopération ? On est en pleine politique impérialiste comme en soutenant Suez qui n'a pas respecté ses contrats de traitement des eaux en Argentine et qui exigent des réparations au tribunal du CIADI à Paris pour rupture de TGV risque d’être réservé aux classes moyennes et supérieures. Le futur prix des billets devrait exclure les classes populaires. Le projet fait craindre une dépendance à l’égard de la technologie française, à cause de sa complexité par rapport à un train ordinaire. Cela ne réactive pas l’industrie ferroviaire nationale. Et le financement augmentera la dette projet "Train pour tous" a été évalué en comparaison 120 km à l’heure 3 fois plus que la moyenne des trains encore en circulation 3,1 milliards de dollars. 1 milliard de dóllar de moins que le TGV. 18000 km de voies reconstruites 7000 Km de voies pour les trains de passagers et 11000 pour les trains de marchandises Les billets de train pourraient couter moins cher que les billets dans les bus actuels. Le réseau desservirait toutes les zones du pays Nord Ouest, Nord est, Centre et Patagonie, à toutes les grandes villes et à des centaines de petites villes qui seraient réactivées La construction de ce réseau utiliserait une technologie nationale et régionale du Mercosur et réactiverait l’industrie nationaleLe consortium Veloxia emmené par la firme française Alstom a remporté cette adjudication en janvier dernier. Il était le seul candidat en lice, pour cette liaison à grande vitesse, à travers la pampa, entre la capitale argentine et deux des villes les plus importantes du pays, Rosario et Cordoba. Le corridor Buenos Aires-Rosario-Cordoba est l’axe de communication le plus important d’Argentine. Ces trois villes, qui comptent quelque 15 millions d’habitants, sont au coeur du complexe agro-alimentaire argentin, en pleine expansion depuis cinq ans à la faveur de la forte hausse des matière premières agricoles. Alstom a prévu de faire circuler sur cet axe jusqu’à huit trains à deux étages. Quantà la société Virgin Hyperloop One, elle a certes annoncé l’année dernière plusieurs projets ambitieux, comme une ligne européenne qui permettrait aux passagers d’effectuer le trajet Vienne-Bratislava-Budapest en moins de 30 minutes, une autre qui relierait (en passant sous la Baltique), en 28 minutes Stockholm à Helsinki, ou encore une ligne Hyperloop
Un train du futur faisant voyager ses passagers dans des tubes à vitesse supersonique l'Hyperloop est annoncé depuis trois ans comme la révolution du transport. Mais d'énormes omissions techniques et des scandales internes viennent questionner la viabilité de cet immense projet. En février 1889, paraissait dans la revue américaine The Forum la nouvelle Au XXIXe siècle ou la journée d’un journaliste américain en 2889, signée Jules Verne. Dans son récit d'anticipation que les historiens attribuent en fait à son fils Michel, l'écrivain déplace ses personnages dans des tubes pneumatiques jetés à travers les océans » à la vitesse de 1 500 km/h. Cent vingt-cinq ans plus tard, le très ambitieux et hyperactif Elon Musk aimerait que l'idée de la famille Verne n'attende pas 2889 pour devenir réalité. Le charismatique entrepreneur de 45 ans, patron de SpaceX et Tesla Motors, est devenu une icône mondiale hors normes grâce à ses projets de vols spatiaux vers Mars, de voitures sans conducteur – et ses déclarations à vingt mille lieues dans les airs. Exaspéré par les célèbres embouteillages de Los Angeles, il imagine en 2012 un cinquième mode de transport » qui se déplacerait plus vite que tous les autres. Sur cette idée est pensé l'Hyperloop, un train qui transporterait d'ici 2020 personnes et marchandises à l'intérieur de capsules propulsées dans des tubes pneumatiques à vitesse supersonique plus de 1 200 km/h, contre 800 pour les avions, sur la terre comme sous l'eau. Musk, trop occupé par ses autres projets, propose à des entreprises de s'emparer de celui-ci, mais pas avant d'avoir levé autour de l'Hyperloop un exceptionnel enthousiasme en déclarant que le système pourrait relier San Francisco à Los Angeles en une grosse demi-heure, quand il faut six heures en voiture, le tout pour 20 dollars 18 euros. Un projet vaporeux Depuis deux ans, la société Hyperloop One dont Elon Musk ne fait pas partie fait les gros titres sur les cinq continents partenariats mondiaux, projets en Europe, deux levées de fonds de 26 et 80 millions de dollars parmi les investisseurs, la SNCF, premier test réussi… Les tuyaux » à très grande vitesse imaginés par Elon Musk ne seraient donc pas de la science-fiction. Je commence à croire que ça va vraiment arriver », assurait-il en janvier dernier devant des étudiants américains. Quatre cents personnes travaillent sur le projet, mais seulement le quart d'entre elles sont salariées par Hyperloop One la grande majorité sont des employés de la Nasa, de Boeing ou SpaceX qui troquent leur temps libre contre des stock-options et le sentiment de changer le monde. Pourtant, de nombreuses questions essentielles concernant ce train du futur restent sans réponse. Comment ce nouveau mode de transport s'adaptera-t-il aux législations en vigueur dans les différents Etats américains et pays du globe ? Comment les villes peuvent-elles se préparer à en accueillir les infrastructures d'ici 2020 ? Quels sont les coûts environnementaux de ces installations, sur terre et sous l'eau ? Comment assurer la sécurité des passagers en cas d'incident ? Pas le moindre début de réponse n'apparaît dans les documents publiés à ce jour, renforçant le scepticisme de nombreuses voix autour du projet. “Un voyage garanti vers la gerbe” Dès les premières annonces d'Hyperloop One d'abord nommée Hyperloop Technologies au début des travaux, une petite partie de la sphère scientifique et économique a émis des doutes sur la viabilité du programme. Les premiers sourcils se sont levés devant le coût avancé par Elon Musk 6 milliards de dollars 7,5 pour la version pouvant transporter des voitures, dont la construction et l'installation du tube représentent la majeure partie. Une bouchée de pain par rapport aux 68,4 milliards de la ligne à grande vitesse traversant la Californie actuellement en construction. Ce chiffre, comme celui des trente minutes de trajet, mais aussi les garanties de sécurité et d'efficacité ne sont que des projections qu'il est difficile de vérifier sur des tests à petite échelle et conditionnent pourtant la vie ou la mort des plans d'Hyperloop One. Second aimant à critiques, les conditions de voyage. De nombreux blogueurs high tech se demandent si se faire balader à 1 200 km/h dans une cabine sans fenêtres et trop petite pour se tenir debout ne ressemblerait pas plutôt à un aller simple pour l'enfer. Parmi eux, Alon Levy, mathématicien israélien spécialisé dans l'urbanisme et les transports en commun, pour qui l'aspirateur supersonique de Musk n'est pas un moyen de transport mais un voyage garanti vers la gerbe ». Le confort sera abominable pour les passagers, nous explique-t-il. L'ébauche sur laquelle est bâtie le projet oublie une quantité de facteurs qui font que l'Hyperloop n'ira au final pas plus vite, ne coûtera pas moins cher, transportera moins de gens et consommera beaucoup plus de ressources que les trains à grande vitesse. Sur tous ces plans, le complexe de Musk l'a poussé à vouloir tout réinventer en ignorant tous les travaux l'ayant précédé dans le domaine. » Techno-optimisme Sans aucun doute, l'aura d'Elon Musk est centrale dans la croissance ultra-rapide du projet et de ses soutiens. Un projet quasi-similaire de transport par tubes développé par l'entreprise du Colorado ET3 a manqué de financements jusqu'à ce que Musk en rachète la licence en 2013, avant d'annoncer ses plans pour l'Hyperloop. Il y a le sentiment dans les médias américains qu'une personne qui a réussi peut tout réussir, analyse Alon Levy. S'il dit qu'il peut le faire, alors il peut le faire. Comme si l'on pouvait être compétent dans tous les domaines. » Le concept américain de techno-optimisme » résume bien l'idée selon laquelle le progrès technologique améliore forcément le bien-être humain. Les États-Unis puis le reste du monde se sont enthousiasmés autour des autoroutes et en ont constuit partout pendant trente ans, compare Allison Arieff, de l'Association de recherche et d'urbanisme de la baie de San Francisco. Nous n'avions aucune idée des conséquences négatives sur les quartiers, la circulation, la pollution ou la santé. Quels seront les impacts involontaires mais possibles de l'Hyperloop ? » Allison Arieff fait partie des quelques centaines d'invités à avoir assisté au premier test de propulsion d'Hyperloop One dans le désert de Las Vegas en mai dernier Je m'attendais à revivre les records du monde de franchissement du mur du son et ce que j'ai vu ressemblait plutôt à un pistolet en mousse en action, je n'arrivais pas à y croire. » Un essai en grande pompe annoncé à 640 km/h qui n'atteindra finalement que les 480 km/h sur une durée de cinq secondes. Une bonne idée et beaucoup de difficultés Nous construisons vite, nous adaptons vite et accumulons des données plutôt que d'attendre et attendre jusqu'à ce qu'on arrive à un résultat qui ne fonctionnera pas forcément », justifiait Josh Giegel, vice-président de la filière conception d'Hyperloop One, au magazine du MIT. Un empirisme open source qui rappelle ce qu'est avant tout l'Hyperloop une bonne idée. C'est là toute la particularité du projet, d'une ampleur considérable mais élaboré aux yeux de tous à grand renfort de communication tonitruante avec son train supersonique, Elon Musk a vendu au monde entier l'acier du rail avant de l'avoir posé. Au scepticisme technique initial se sont ajoutées ces dernières semaines des inquiétudes sur l'équipe dirigeante, lorsqu'a été révélé qu'Hyperloop One n'allait pas éviter l'un des plus grands clichés de la Silicon Valley le passage par un tribunal. Au centre d'une série de procès entre les cofondateurs de la compagnie, l'un des directeurs a démissionné et porté plainte, entre autres, pour harcèlement moral après avoir trouvé une corde à nœud coulant sur son bureau. Lui-même est aujourd'hui accusé d'avoir voulu saboter l'entreprise en créant un Hyperloop Two » appelé Newco. Si ce genre de violentes inimitiés n'a pas empêché Apple, Facebook ou même, au hasard, Tesla d'atteindre le succès qu'on leur connaît, il s'agit là d'une difficulté non négligeable de plus pour la réussite du projet. Comme pour commencer à prendre quelques tardives précautions, Shervin Pishevar, l'un des confondateurs d'Hyperloop One, citait Roosevelt lors d'une présentation précédant le test dans le désert Ce n'est pas celui qui critique qui compte […]. Le crédit revient à celui qui est dans l'arène, dont le visage est couvert de poussière, de sueur et de sang […] car l'effort n'existe pas sans erreurs. » L'occasion de rappeler aux gladiateurs de la Silicon Valley que l'Hyperloop n'est pour l'instant qu'un rêve encore à quai. transports Nouvelles technologies Massachusetts Institute of Technology Etats-Unis Californie Elon Musk Partager Contribuer Sur le même thème
Lhyperloop utiliserait un système de coussin d’air et d’électromagnétisme pour permettre aux modules de léviter dans le tube sans frottements. En théorie, l’hyperloop pourrait se déplacer à 1200 km/h. Aujourd’hui, le record de vitesse d’un train est de 575 km/h ; un avion de ligne standard vole à environ 900 km/h. Si l Le train du futur pourrait dépasser les 1000 kilomètres à l’heure, vitesse atteinte par une maquette il y a quelques jours en Corée du Sud, pendant qu’aux États-Unis des passagers sont montés à bord d’un premier essai d’un prototype d’Hyperloop, ce train du futur qui pourrait dépasser les 1000 km/h, avec des passagers à bord s'est déroulé aux États-Unis, la semaine dernière. En Corée du Sud , une maquette de ce train supersonique a atteint les 1000 km/h. Elon Musk, fondateur de SpaceX et de Tesla, a imaginé l’Hyperloop un concept de train en suspension dans un tube qui pourrait dépasser les 1000 km/h. Cela permettrait de relier Los Angeles à San Francisco en 30 minutes. Il existe déjà un train à sustentation magnétique, avec une vitesse d’exploitation de 400 km/h, entre l’aéroport de Shanghai et le centre-ville. Et Stéphane Gendron, fondateur de Transpod a relevé le défi. On conçoit des véhicules qui ont la taille d’un wagon de train ou d’un bus et qui se déplacent à l’aide de systèmes magnétiques dans un tube, où on a enlevé la majeure partie de l’air, pour s’affranchir des contraintes aérodynamiques et atteindre des vitesses similaires à l’avion. Stéphane Gendron, fondateur de Transpod Plusieurs sociétés dans le monde visent le train du futur à très haute vitesse, comme Hyperloop One ou Hyperloop Transportation Technologies. Concurrents de l’avion entre des métropoles à moyenne distance, ils présentent de nombreux avantages capsules partant à la demande, suivant le nombre de passagers, pas de bruit pour les riverains, liaisons entre les centres villes. On imagine ainsi un Toulouse-Paris en 28 minutes ! Les tubes ne doivent tolérer aucune déformation, même de quelques millimètres. Il faut penser à l’évacuation éventuelle de passagers en cas de problème. Le coût de l’infrastructure va de 20 à 80 millions d’euros du kilomètre, une belle marge d’incertitude. Enfin, la mise sous vide et la sustentation, notamment magnétique, étant très énergivores, il faut compter sur d’autres recettes pour rentabiliser le principe. "On a rajouté des lignes de revenus supplémentaires, en plus des passagers le fret, tout ce qui est commerce en ligne et la nourriture, ainsi que tout ce qui génère de l’énergie. On a plusieurs centaines de kilomètres de panneaux solaires, comme une centrale solaire", souligne Stéphane Gendron, président de Transpod. Ces transports à haute vitesse ne devraient pas voir le jour en exploitation avant 2030/2035. Une autre rupture technologique, disponible beaucoup plus rapidement pour les transports urbains et suburbains, est de faire circuler des cabines au-dessus des routes ou autoroutes, ce qui évite les emprises au sol, et se révèle moins cher en investissements et en exploitation que le tramway par exemple. Comme le projet de la société Supraways. Nous sommes sur un projet de cabines de sept places, où les gens seront assis et attachés, à six mètres de hauteur au-dessus des espaces urbains. Ces cabines circulent sous une infrastructure très légère et intégrée et les véhicules seront autonomes et électriques. Claude Escala, fondateur de Supraways On pourrait imaginer, entre autres, que ces capsules aériennes puissent transporter rapidement, et en silence, des passagers de, et vers les aéroports une belle vitrine de la technologie française en visant, espère Claude Escala, les JO de 2024.
Lesdeux premiers chanceux étaient le directeur de la technologie et co-fondateur de Virgin Hyperloop, Josh Giegel, et la responsable de l'expérience passagers, Sara
Et si le TGV n’était déjà plus l’alpha et l’oméga du déplacement terrestre à grande vitesse ? Et s’il s’agissait même d’un véhicule qu’il faudra bientôt exposer dans les musées ? Des équipes d’ingénieurs travaillent sur un train sous vide d’air », appelé Hyperloop, capable de transporter des passagers à - km/h, dans des modules autonomes. L’idée n’est certes pas neuve puisque déjà évoquée au début du XXe siècle, mais les nouvelles technologies et l’évolution des matériaux ont accéléré le développement. Les premiers Hyperloop pourraient circuler entre 2025 et 2030. Imaginez-vous installer comme dans un avion, circulant à km/h, et ainsi réaliser un Paris-Limoges en… 25 minutes pour une quarantaine d’euros. Pas mal, non ? En Corée du Sud et au Canada, la technologie lire par ailleurs ne semble déjà plus être un problème. À tel point que les sociétés qui portent ces projets sont en phase de négociations avec plusieurs états pour que soient construites les premières lignes au Canada avec deux lignes possibles entre Toronto-Montréal et Edmonton-Calgary, aux États-Unis avec un San Francisco-Los Angeles, aux Émirats Arabes Unis, etc. S’il manque une ligne à grande vitesse en France, c’est bien entre Paris et Toulouse ! Sébastien Gendron, le cofondateur de TransPod, une start-up canadienne implantée à Toronto, qui travaille sur l’Hyperloop, croit en une première ligne commerciale entre Toronto et Montréal entre 2025 et 2030. Il faut dire que sa petite entreprise est poussée par le milliardaire Elon Musk. Surtout, il croit au déploiement de ce train entre Paris et Toulouse. Il y a un corridor exploitable. Et s’il manque une ligne à grande vitesse en France, c’est bien là ! » Sébastien Gendron a été reçu à l’Élysée avant l’élection présidentielle. Il regrette le peu d’intérêt porté ses interlocuteurs à son dossier. Mais le vent de l’histoire a soufflé. Nicolas Hulot s’est emparé du sujet, surtout que l’infrastructure tubulaire dans laquelle circule le module peut accueillir des panneaux solaires, rendant l’ensemble à énergie positive. Il a été transmis au ministère des Transports. Nous espérons un rendez-vous à la rentrée ». Une nouvelle levée de fonds Car ce train du futur file déjà à vive allure et certains y sont assis en première classe. Le Canada est partenaire. Nous travaillons avec la Suède sur les certifications. Les premières sont attendues en 2022. Nous espérons que la France s’engage également avant la fin de l’année. » La start-up a levé 20 millions de dollars canadiens de fonds pour le développement de sous-ensemble majeurs. Ces travaux sont menés au Canada et en Italie. Nous sommes en négociation pour une deuxième levée de fonds avec la Caisse de dépôt et placement du Québec. Il serait intéressant que la France puisse également participer au développement d’autres sous-ensembles du train », estime Sébastien Gendron. L’idée est évidemment d’avoir un pied en France, d’y conquérir des marchés outre Paris-Toulouse, un corridor Paris-Francfort est repéré, mais aussi dans les pays où la France a un réseau d’influence important, notamment au Moyen-Orient. Car outre sa vitesse, Hyperloop a un autre atout majeur. Il coûte 30 % moins cher à construire qu’une ligne à grande vitesse, assure Sébastien Gendron. Et plus on avancera dans la technologie plus on pourra faire baisser les coûts. Un scientifique américain nous assure que le coût peut encore être réduit si nous réalisons des tunnels sous-terrains, ce qui règle une grande partie des problématiques liées aux arrivées en centre-ville. » Sébastien Gendron ne voit donc pas ce qui pourrait contrarier la construction de telles infrastructures en France. Il s’agit juste d’une volonté politique ». D’autant qu’à la grande question du financement, le patron de la start-up assure avoir une réponse. Sur des corridors comme ceux-là, nous n’avons même pas besoin de l’État, même s’il voudra conserver un droit de regard sur les tarifs. Des investisseurs privés ont la capacité à aller sur ces domaines. » Y compris chez les opérateurs de transport. Nous ne sommes pas en concurrence avec eux. Nous avons des discussions avec Air France par exemple. Nous sommes concurrents des constructeurs tels qu’Alstom pour les trains mais aussi Airbus ou Bœing ». Un départ toutes les 80 secondes Hyperloop offre également un cadencement inégalable avec un départ toutes les 80 secondes ce qui permet de transporter 45 millions de passagers par an. Les modules ne peuvent transporter que 25 personnes à la fois mais c’est compensé par le nombre de trains qui circulent. Il faut les cadencer pour qu’ils desservent les villes en fonction de la demande. Et pour cela il suffit juste d’aiguiller la capsule en amont de la station » Reste évidemment à parler du prix du billet. On peut tenir un Paris-Toulouse à 60 euros ». Qui dit mieux ? Olivier Chapperon
LasVegas (Etats-Unis) - La compagnie française de chemins de fer SNCF a investi dans l'une des startups américaines qui travaillent sur
Le centre doit notamment comprendre des locaux de recherche et une piste d'essai "d'environ 1 km." TESLA L'Hyperloop, le train du futur, s'installe à Toulouse TESLA TRANSPORTS -À Toulouse, le futur. L'une des entreprises américaines travaillant sur le projet Hyperloop, système futuriste de transport à grande vitesse, a annoncé mardi 24 janvier l'implantation d'un centre de recherche et développement européen dans le sud-ouest de la France, à Toulouse. Hyperloop Transportation Technologies doit bâtir des locaux sur l'ancienne base aérienne de Francazal, selon un accord signé mardi matin par les dirigeants de la société, Toulouse métropole, la région Occitanie et la préfecture de région, annoncent les partenaires dans un communiqué commun. Piste d'essai Le centre doit notamment comprendre des locaux de recherche et une piste d'essai "d'environ 1 km". Les "premiers aménagements seront lancés dès 2017" avec la création de "50 emplois directs dans un premier temps", ajoutent-ils. Un investissement de 40 millions de dollars est prévu sur les 5 années à venir, ont précisé les dirigeants de l'entreprise, basée à Playa Vista, en Californie. La technologie d'Hyperloop, considérée par certains comme de la science-fiction, permettrait de transporter des passagers dans des capsules circulant dans un tube à basse pression, "à une vitesse pouvant atteindre km/h". "Toulouse est le centre névralgique de l'industrie aérospatiale européenne et il nous semble tout à fait naturel d'avoir une présence ici, aux côtés de nombreux de nos partenaires et confrères", a déclaré dans le communiqué Dirk Ahlborn, président-directeur général de la start-up. La SNCF dans le projet Le projet d'Hyperloop avait été lancé en 2013 par le milliardaire Elon Musk, déjà à l'origine des voitures électriques Tesla et du lanceur de satellites SpaceX. Estimant n'avoir pas le temps de s'y consacrer, Elon Musk a laissé son projet ouvert aux offres concurrentes de plusieurs entreprises souhaitant le développer et n'a investi d'argent dans aucune d'entre elles. Une start-up canadienne, TransPod, et une autre start-up américaine, Hyperloop One, sont dans la course pour concevoir ce système de transport futuriste. Hyperloop One, dans laquelle a notamment investi la SNCF, a annoncé début novembre le lancement d'une étude de faisabilité aux Emirats arabes unis pour transporter voyageurs et marchandises entre Dubaï et Abou Dhabi en 12 minutes, contre une heure et demie en moyenne aujourd'hui par l'autoroute. Ceprojet initié par le milliardaire américain Elon Musk (fondateur de Tesla et SpaceX), permettrait de parcourir en 30 minutes les 600 kilomètres séparant Los Angeles de San Francisco en allant à une vitesse de 1 000 km/h. Le train passerait dans un tube ce qui supprimerait la pression atmosphérique et les frottements de l’air. Un réseau test sera
Elon Musk est ce que l’on peut appeler un milliardaire fantasque ». Outre le fait d’être le fondateur de Paypal, de Space X et de Tesla, groupes brillants par leur avant-gardisme, celui que l’on compare souvent à Tony Stark a un nouveau projet en tête Hyperloop. Ce nouveau moyen de transport permettrait de rallier San Francisco depuis Los Angeles, éloignés de 530 km, en seulement 30 min soit 1100 km/h ! Alors simple lubie ou projet réel ? Nous avons tous joué au moins une fois au Air Hockey » dans une fête forraine. Ce jeu repose sur un plateau perforé par lequel est propulsé de l’air sous pression. Cela permet de surélever le palet, et ainsi d’accélérer son déplacement. C’est sur ce procédé que repose le projet Hyperloop se servir de l’air pour faire flotter et propulser un train. Pour mettre en place cette idée quelque peu fantasque, Elon Musk vise la liaison entre deux villes californiennes de grande envergure Los Angeles et San Francisco. L’autoroute I5 reliant les deux villes, très encombrée, serait donc désengorgée par ce nouveau moyen de transport, qui ne s’appuie a priori que sur des avantages plus rapide, plus fiable, plus écologique, et chose rare, moins cher ! La plus grosse avancée de ce projet serait son incroyable rapidité. Propulsée dans un tuyau d’air pressurisé, la capsule imaginée par Elon Musk peut atteindre 1220 km/h, soit être deux fois plus rapide que l’avion. Pour atteindre cette vitesse, Hyperloop repose sur la technologie de Tesla, capable de créer des champs magnétiques à partir d’énergie propre. On parle ici d’un moyen de transport entièrement alimenté par de l’énergie photovoltaïque, une première du genre ! Cette alliance de l’air et de l’énergie électrique permettrait en plus d’améliorer grandement le confort des voyageurs. Cette impression de flottaison sur coussin d’air nous semble en effet plus agréable que le doux bruit de la roue sur le rail en acier. Au niveau de la fréquence, ces capsules pouvant accueillir 20 passagers afficheraient des départs toutes les 30 secondes ! L’ambition d’Elon Musk est donc aussi de révolutionner notre façon d’utiliser les transports, avec comme slogan partez quand vous arrivez ». Voulant s’affranchir à la fois des temps d’attente et des horaires, l’Hyperloop permettrait à ses usagers de l’utiliser le plus naturellement du monde. On arrive, on s’installe, on part. Révolutionnaire non ? Souvent frappé par des catastrophes naturelles, l’Etat de Californie est intransigeant quant au respect des normes sismiques. Hyperloop serait ainsi beaucoup plus fiable qu’un train, car son déraillement sera techniquement impossible. Cet aspect sécuritaire peut peser dans la balance à l’heure où le projet de train à grande vitesse est de plus en plus contesté par diverses voix californiennes politiques, usagers, habitants, mais aussi et surtout Elon Musk. Premier opposant au projet, il déclarait il y a plus d’un an Ce que l’on veut c’est un système où il n’y ait jamais d’accidents, qui soit au moins deux fois plus rapide qu’un avion, qui soit alimenté par l’énergie solaire, et qui part dès que vous arrivez, donc qu’il n’y ait plus d’attente ni d’horaires précis. J’aimerai en parler au Gouverneur de Californie et au Président. Parce que le projet de train à grande vitesse à 60 milliards de dollars de Californie serait le plus lent de sa catégorie et le plus cher au kilomètre. Ils vont battre des records mais d’une mauvaise façon. » Puisque l’on parle d’argent, revenons-y. L’argument ultime de son projet n’est ni son côté écologique, ni sa rapidité, ni même sa sécurité c’est son coût ! Estimé à 6 milliards de dollars, Hyperloop serait donc 10 fois moins cher que le projet de train à grande vitesse. Ce faible coût permettrait en plus de faire bénéficier aux usagers d’un tarif défiant toute concurrence 20$, prix fixe et unique. Avec un départ de 20 personnes toutes les 30 secondes, on vous laisse faire un rapide calcul de chiffre d’affaires… en fait on l’a fait pour vous Hyperloop étant prévu 24h/24 et 7j/7, on obtient un annuel de 420,5 millions de $ 🙂 Folie des grandeurs ou réelle révolution, Elon Musk a au moins le mérite d’avoir jeté un pavé dans la mare en défiant plusieurs lobbies oui, un moyen de transport sûr, fiable, rentable et propre est possible. De son propre aveu trop occupé » pour mener le projet, le milliardaire en appelle à toute personne compétente pour participer à l’aventure. Voulant faire d’Hyperloop un sujet de société, son modèle de conception et de financement devrait reposer sur de l’open source et du crowdfunding. Tout un chacun pourra donc porter sa pierre à l’édifice, qu’elle soit financière ou matérielle.
HyperloopTechnologies vient de valider les premiers tests de l’Hyperloop, un système qui pourrait à terme remplacer le train pour le transport de fret et
Ce prototype, reposant sur le principe de lévitation magnétique, est testé pour la première fois aux Etats-Unis. Faut-il en déduire que ce nouveau moyen de transport represente l'avenir ? Francetv info a passé l'engin au banc d'essai. Relier Paris à Marseille en 45 minutes, Los Angeles à San Francisco en une demi-heure, Bratislava à Vienne, en moins de temps qu'il n'en faut pour décongeler un plat préparé au micro-ondes... L'avenir du transport se joue peut-être dans le désert du Nevada, aux Etats-Unis. Mercredi 11 mai, un prototype de "train supersonique", l'Hyperloop, a été testé sur une rampe d'essais, construite en quelques mois au beau milieu de ce paysage quasi-martien. Avec des promesses qui font rêver les voyageurs du monde entier, l'Hyperloop n'appartient pas à la science-fiction, mais au futur proche. Très proche, voire trop proche selon un constructeur ambitieux, une première ligne européenne doit voir le jour dès 2020. Mais qu'importe. Plus rapide que le train autour de 1 000 km/h, et moins polluant que l'avion il fonctionne essentiellement à l'énergie solaire, ce projet cher à Elon Musk, l'entrepreneur sud-africain naturalisé américain à l'origine des navettes spatiales SpaceX et des voitures électriques Tesla, se présente sobrement comme une révolution en marche. Vraiment ? Un vieux rêve pour le "transport du futur" "Ni train, ni avion, c'est peut-être la formule de l'avenir !" s'enthousiasme un journaliste à la voix nasillarde. A l'écran, un bolide file, propulsé sur un coussin d'air. Sauf que – surprise – ces images n'ont pas été tournées mercredi près de Las Vegas, ni diffusées en direct sur Twitter. Elles sont même en noir et blanc et se dénichent sur le site de l'INA. Nous sommes en 1966, quelque part entre Paris et Orléans. Sous la houlette de l'ingénieur Jean Bertin, des équipes imaginent un train dépourvu de roues, bien plus rapide, car sans frottements l'Aérotrain. Déjà la promesse d'une révolution, mais une première déception. En dépit de tests réussis, le projet est abandonné en 1974 et la France fait le choix de trains plus classiques adaptés à la grande vitesse, nos célèbres TGV. Bien avant l'Hyperloop, l'ambition de voyager à toute allure sur un coussin d'air a mobilisé les ingénieurs, expliquait en 2014 Hervé de Tréglodé, ingénieur général des mines et ancien de Réseau ferré de France et de la SNCF. "Combiner le vide et la technologie de la lévitation magnétique ... a déjà été approfondi par l'Américain Robert H. Goddard il y a une centaine d'années", écrivait le spécialiste sur son blog pour La Tribune. Contrairement à l'Aérotrain, guidé par une voie en forme de T, ces prototypes circulent à l'intérieur de tubes sous vide on parle de train "Maglev", l'acronyme de "Magnetic Levitation" la sustentation électromagnétique, en français. Des trains dits Maglev ont été expérimentés en Allemagne dès 1969, mais aussi en Chine, où se trouve le seul exemple de mise en circulation reliant Shanghaï et son aéroport, en banlieue. Au Japon, un tel train à sustentation électromagnétique devrait entrer en service en 2027, entre Tokyo et Nagoya. Pas donné la construction de la ligne finale, jusqu'à Osaka, est estimée à 70 milliards de dollars, ce train a toutefois fait ses preuves. En 2015, il a battu le record du monde de vitesse, circulant pendant 10 secondes à 603 km/h, contre 574,8 km/h pour le record du TGV français, atteint en 2007. Une belle performance qu'entend bien ridiculiser l'Hyperloop. Son objectif flirter avec la vitesse du son, en voyageant à plus de 1 000 km/h. Un nouveau champ de bataille pour les start-up Internet, automobile, conquête spatiale... Quand Elon Musk s'invite dans un secteur industriel, il aime renverser la table. Habitué des coups d'éclat, l'entrepreneur a publié à l'été 2013 un document technique PDF, en anglais de 57 pages décrivant un "cinquième mode de transport, après les avions, les trains, les voitures et les bateaux" Hyperloop Alpha. Il y présente une nouvelle technologie, ici détaillée par le Huffington Post, censée pouvoir pulvériser les scores des "Maglev", tout en gardant le principe d'un tube dans lequel serait propulsé un véhicule porté par un coussin d'air. Surtout, il ne dépose d'aucun brevet, invitant les ingénieurs du monde entier à plancher sur la faisabilité du projet, libre de droits. Plutôt que de créer une nouvelle start-up, l'entrepreneur se place en observateur. Sous ses yeux s'affrontent deux jeunes entreprises, chacune avide de mettre au point l'Hyperloop. C'est Hyperloop One anciennement baptisée Hyperloop Technology Inc., l'une d'elles, qui a réalisé mercredi son premier essai grandeur nature, dans le Nevada. En conférence de presse mardi soir, elle a annoncé avoir réussi à lever 80 millions de dollars, en s'associant notamment à des partenaires internationaux, parmi lesquels la SNCF et la société d'ingénierie française Systra filiale de la SNCF et la RATP. Mais face à elle, Hyperloop One doit se méfier de Hyperloop Transportation Technologies – HTT, pour les intimes. Cette entreprise, dans laquelle on retrouve des anciens de la Nasa, de SpaceX ou encore de Boeing n'a pas encore publiquement fait part de ses avancées, mais elle a assuré, deux jours avant le grand test de sa concurrente, se baser sur une technologie différente, moins énergivore "un système de 'lévitation magnétique passif'", détaille le Huffington Post. Selon CNBC, elle construit par ailleurs un prototype dans la ville de Quay Valley, à mi-chemin entre Los Angeles et San Francisco, et a signé en mars un contrat avec la Slovaquie, pour préparer son implantation en Europe. Au milieu de cette course à l'innovation, Transpod, une start-up canadienne, a annoncé la présentation de son prototype dès le mois de septembre. Quant à SpaceX, la firme d'Elon Musk, elle "n'est affiliée à aucune des entreprises Hyperloop", assure-t-elle sur son site internet. "Cependant, nous voulons aider au développement d'un prototype." C'est pourquoi SpaceX a construit une ligne d'essai d'1,6 km, en Californie. Les étudiants du MIT, vainqueurs cet été d'une compétition organisée par SpaceX pour imaginer le design de la nacelle de l'Hyperloop, pourront y tester leur prototype, explique Popular Science. Des travaux qui resteront en "open source". Une réalité technique mais une utopie politique ? Jamais l'Hyperloop n'avait été un rêve si concret. Pourtant, sa mise en circulation pourrait ne jamais avoir lieu, estiment certains observateurs. Pour The Verge, l'attrait du projet réside dans son faible coût, estimé à 6 milliards de dollars pour une ligne San Francisco-Los Angeles. "On imagine facilement des mesures de sécurité limiter la vitesse de déplacement. Enfin, les gares pourraient s'implanter loin des centres urbains pour des questions juridiques, explique le site. Serions-nous toujours excités en apprenant qu'un voyage de 30 minutes est en fait un voyage de 3 heures ? Qu'un projet à 6 milliards en coûte en réalité 60 ?" Quand le problème n'est pas technique, il est politique. Dès l'annonce d'Elon Musk en 2013, le site Business Insider jouait les Cassandre "Musk assure que l'Hyperloop n'occupera pas beaucoup de terrain. Il l'imagine sur des pylônes, installés le long de l'autoroute. Mais mener de tels travaux causera d'importants embouteillages pendant des années, écrivait Business Insider. Cela va être difficile à vendre aux gens." Et d'évoquer le tunnel sous la Manche, imaginé à l'époque napoléonienne et inauguré en 1994. Pour Eric Vidalenc, spécialiste des questions énergétiques et auteur d'un blog sur le site d'Alternatives économiques, l'Hyperloop est l'archétype de la fausse bonne idée. "On ne peut pas impunément voyager à 300 km/h et encore plus à 1 200 km/h et s’arrêter tous les 10 km", remarque-t-il dans un billet. Dans le futur, "on filerait donc toujours plus vite, entre des villes encore plus grosses et concentrées, au milieu de déserts et d’espace ruraux vides. Est-ce vraiment la vision d’aménagement du territoire que l’on souhaite promouvoir ?" questionne-t-il. En tout cas, pour Elon Musk et ses disciples, ce futur, c'est pour maintenant. Leprojet du livre blanc prenait en compte l’intégration de la LGV reliant Marseille à Nice, la modernisation de la ligne TER Aix-Marseille, la réouverture de la ligne Aix-Rognac, la réalisation de centaines de kilomètres de voies en site propre pour un réseau métropolitain de bus rapides, 700M€ pour des projets routiers, et 800M€ pour des projets liés aux modes doux (piétons

Un vieux rêve de la science-fiction est peut-être en train de commencer à se concrétiser lorsque l'on voit la compagnie Hyperloop Transportation Technologies plancher sérieusement sur un projet de train subsonique capable de rivaliser avec les avions de transport de passagers. Une fois réalisé, il permettrait de relier Los Angeles au centre de San Francisco en 30 minutes vue d’artiste du projet Hyperloop. D’ici la fin du XXIe siècle, il existera peut-être une sorte de métro mondial connectant les métropoles de la planète de façon écologique et fiable à des vitesses presque supersoniques. © Hyperloop Transportation Technologies Cela vous intéressera aussiArthur Clarke a autrefois prédit que, de même que le télégraphe et le train ont permis l'unification des États-Unis, les satellites de communications et les jumbo-jets feraient l'unification de la planète. Il semble que ce processus soit bel et bien en train de se produire en particulier avec l'essor d'internet dont l'écrivain avait compris le potentiel pour les années 2000 dès 1964. On peut se demander si finalement le rôle dévolu aux jumbo-jets ne va pas l'être à un autre moyen de transport dont les idées de base sont dans l'air depuis des décennies lorsqu'on découvre que le projet Hyperloop d'Elon Musk prend effet, un groupe d'une centaine d'ingénieurs dont certains sont employés par Boeing ou la Nasa utilisant le financement participatif et rassemblés au sein de la compagnie Hyperloop Transportation Technologies a annoncé récemment qu'il planchait sérieusement sur le concept médiatisé par le fondateur de SpaceX et Tesla présentation du projet Hyperloop. Pour obtenir une traduction en français assez fidèle, cliquez sur le rectangle avec deux barres horizontales en bas à droite. Les sous-titres en anglais devraient alors apparaître, si ce n’est pas déjà le cas. En passant simplement la souris sur l’écrou à droite du rectangle, vous devriez voir l’expression Traduire les sous-titres ». Cliquez pour faire apparaître le menu du choix de la langue, choisissez français », puis cliquez sur OK ». © Hyperloop Transportation Technologies, YouTubeUn faux vactrain, mais à propulsion magnétiqueUn regard superficiel sur le projet Hyperloop fait penser de prime abord qu'il s'agit d'un énième avatar du concept de vactrain, c'est-à-dire d'atteindre de très grandes vitesses pour des moyens de transport terrestre en les plaçant sur sustentions magnétiques et sous vide afin d'éliminer les frottements. Il semble que ce concept, avec des aimants ordinaires, ait été proposé et étudié presque simultanément dans les années 1910 par Robert Goddard aux États-Unis et surtout par le physicien et ingénieur russe Boris Weinberg lequel aurait même construit un prototype. Il a connu un nouveau souffle récemment avec, par exemple, la compagnie états-unienne nommée ET3 qui a proposé d'utiliser la technologie des Maglev vactrain peut en théorie atteindre des vitesses largement supersoniques, mais dans le cas d'Hyperloop on resterait généralement en déplacement subsonique bien qu'à des vitesses proches de celle du son. Les modules de transport ne se déplaceraient pas non plus sous vide, mais dans des tubes dans lesquels la pression de l'air serait faible, un millième de celle de l'atmosphère. Il est tout de même prévu de pouvoir atteindre des vitesses de l'ordre de km/h ce qui permettrait de joindre, par exemple, Los Angeles au centre de San Francisco en moins de 35 minutes, soit plus rapidement qu'avec des avions conventionnels sur le même trajet long d'environ 550 autre présentation du projet Hyperloop. Pour obtenir une traduction en français assez fidèle, cliquez sur le rectangle avec deux barres horizontales en bas à droite. Les sous-titres en anglais devraient alors apparaître, si ce n’est pas déjà le cas. En passant simplement la souris sur l’écrou à droite du rectangle, vous devriez voir l’expression Traduire les sous-titres ». Cliquez pour faire apparaître le menu du choix de la langue, choisissez français », puis cliquez sur OK ». © Truthloader, YouTubePour accélérer des capsules aux vitesses prévues, il est envisagé de faire appel à la technique du canon magnétique encore nommée canon de Gauss le même concept a été proposé pour lancer des charges utiles en orbite, de la surface de la Lune ou de la Terre. On utiliserait un ensemble d'électroaimants en forme de solénoïde parcourus par des courants électriques alternatifs bien précis. Un corps ferromagnétique y est initialement attiré magnétiquement vers le centre du solénoïde avant qu'une inversion du sens du courant ne l'en expulse. Les capsules de Hyperloop seraient aussi en suspension sur des coussins d'air pendant qu'un compresseur aspirerait l'air comprimé en face des capsules en mouvement pour tout à la fois alimenter ces coussins et rejeter l'air à l'arrière, supprimant un certain effet indésirable lié à la compression de l'air à l'avant par un objet se déplaçant dans un tube et que l'on appelle la limite de train subsonique alimenté par des panneaux solaires ?Le projet Hyperloop a plusieurs avantages selon Elon Musk et les ingénieurs qui s'y sont penchés, comme le montre un rapport de 57 pages mis en ligne en 2013. Il pourrait faire baisser de façon très significative les prix des trajets entre des métropoles distantes de plusieurs centaines de kilomètres. Ses coûts de constructions seraient inférieurs à ceux de nouvelles voies ferrées avec des trains à grandes vitesses envisagés depuis quelque temps. Il suffirait en effet d'utiliser des routes déjà existantes pour construire juste à côté des pylônes supportant les tubes à basse pression où circuleraient des capsules. Des panneaux solaires le long du trajet permettraient d'alimenter en électricité les tubes, ce qui en ferait un moyen de transport écologique. La disparition de certaines lignes aériennes signifierait aussi la disparition de nuisances sonores et la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Enfin, il ne serait plus nécessaire d'attendre pour embarquer sur un vol subsonique puisque des départs seraient possibles presque à tout moment dans des gares connectées aux tubes de l' par ce que vous venez de lire ?

Leprojet de train Hyperloop permettrait aux passagers, installés dans des capsules sur coussin d’air, de voyager à 334 m/s. Combien de temps mettrait l’hyperloop pour réaliser le trajet Paris-Marseille (700 km) ? Exprimer le résultat en heure et en minutes. Publié le 9 oct. 2020 à 1741Dans la grande famille Hyperloop, voici le projet de Virgin, qui reprend des couleurs. Momentanément ralenti par la pandémie de coronavirus, à l'image du tissu industriel mondial, le projet de Richard Branson a franchi une nouvelle étape clé aux Etats-Unis, avec l'installation de son centre de certification mondiale en Virginie-Occidentale, dans l'est du pays. Le principe de l'Hyperloop repose sur des capsules en lévitation, dans un tunnel posé sur pylônes, propulsées à près de kilomètres/heure. Imaginé par Elon Musk en 2013, puis repris par une myriade d'industriels, ce train du futur n'a pour l'instant jamais été testé avec de véritables passagers à l' investissement colossalLe milliardaire britannique vient d'investir 500 millions de dollars dans la création de ce centre d'expérimentation, qui sera opérationnel en 2023 et envisage des premières certifications dès 2025. Virgin Hyperloop dispose déjà d'un centre d'essai dans le désert du Nevada à proximité de Las Vegas, où des tests ont été menés avec quatre prototypes, afin de valider les technologies et le design. Mais pour développer un système 100 % opérationnel, Virgin devra encore lever des millions de dollars pour acquérir suffisamment de terrain pour tester son engin grandeur nature, et certifier que l'Hyperloop puisse rouler de façon sécurisée. Advancements at the Hyperloop Certification Center will pave the way for commercial hyperloop projects - in places like Ohio, Texas, Missouri, Washington, and North Carolina - to connect the country from coast to coast. Virgin Hyperloop virginhyperloop October 8, 2020Pour l'instant donc, le rêve d'un train supersonique est loin d'être atteint. Le dispositif de tube sous pression dans lequel les rames circulent grâce à un champ magnétique promettait une vitesse maximum de kilomètres/heure. Lors des derniers tests, il n'atteint pour l'instant que» 463 kilomètres/heure . Hyperloop se donne donc moins de cinq ans pour certifier un train capable de transporter des passagers et du fret à km/h . L'objectif étant que chaque capsule puisse supporter une vingtaine de passagers et 3 tonnes de millions de dollars déjà investisRichard Branson n'est pas seul à être convaincu que ce rêve deviendra réalité. L'actionnaire principal de Virgin Hyperloop est DP World, troisième exploitant portuaire mondial et filiale du fonds Dubai World, avec 59 % du capital. En 2016, la SNCF a aussi rejoint l'entreprise, aux côtés d'autres actionnaires publics et privés. Au total, 400 millions de dollars ont déjà été dépensés dans ce dans la technologie Hyperloop, Virgin n'est pas seule en lice. Les deux autres projets sont celui du franco-canadien Transpod , qui devait commencer les premiers travaux dans le Limousin courant 2020, et celui d' Hyperloop Transportation Technologies , société californienne qui a ouvert son centre de recherche européen à Toulouse. Une étude de faisabilité devait être lancée en Occitanie, concernant une ligne entre Toulouse et Montpellier. Mais avec la situation sanitaire et économique actuelle, tout semble à l'arrêt. Correctanswers: 1 question: Le projet de train Hyperloop permettrait aux passagers, installés dans des capsules circulant sur un coussins d’air, de voyager à 1 200 km/h. a) Quelle distance pourrait parcourir ce train en 1 s ? b) Combien de temps mettrait l’Hyperloop pour réaliser le trajet Paris-Marseille ( 700 km )? Exprime le résultat en heure et minute. Svp aider moi merci avec AFP 07h35, le 11 mai 2016, modifié à 08h28, le 11 mai 2016 L'entreprise française a investi dans des startups américaines qui se penchent sur la circulation de passagers dans des capsules sur coussin d' compagnie française de chemins de fer SNCF a investi dans l'une des startups américaines qui travaillent sur le projet futuriste de train à très grande vitesse Hyperloop, né de l'imagination du milliardaire américain Elon Musk. Cet entrepreneur touche-à-tout, déjà derrière les voitures électriques Tesla et le lanceur de satellites SpaceX, avait lancé en 2013 l'idée de propulser des passagers dans des capsules circulant sur des coussins d'air dans un tube à basse km en 30 minutes. Le projet, considéré par certains comme de la science-fiction, permettrait de parcourir en 30 minutes les quelque 600 kilomètres séparant Los Angeles de San Francisco, et il est ouvert aux offres concurrentes de plusieurs entreprises de la high-tech. C'est dans l'une d'entre elles, tout juste rebaptisée Hyperloop One ex-Hyperloop Technologies que la SNCF a investi, a confirmé mardi cette startup basée à Los Angeles, à la veille d'une démonstration "à échelle et vitesse réelle" de ce qu'elle a réussi à accomplir jusqu'ici dans le désert à proximité de Las levée de fonds de 80 millions de dollars. La startup n'a pas précisé le montant exact du financement apporté par la SNCF, saluée comme "l'une des forces principales derrière le rail à haute vitesse en Europe", indiquant juste qu'il faisait partie d'une levée de fonds de 80 millions de dollars 70 millions d'euros, à laquelle ont également participé neuf autres investisseurs. On retrouve parmi eux beaucoup de fonds de capital-risque, mais aussi GE Ventures, une branche d'investissement du conglomérat industriel américain General en une heure... Ce nouveau moyen de transport ferait des merveilles en terme de temps de trajets et les passagers pourraient même en venir à laisser l'avion de côté. Pour un Paris-Rome, il faut aujourd'hui compter 704 minutes en train classique, 125 minutes en avion, alors qu'il ne faudrait que 69 minutes en Hyperloop, dévoile Le Parisien, qui a comparé les temps de voyages sur plusieurs trajets. Autre exemple, pour un Paris-Istanbul, le trajet en avion nécessite 205 minutes contre 168 en Hyperloop. Enfin, gagner Londres en Hyperloop depuis la capitale française ne demanderait que 22 minutes contre 75 pour l'avion aujourd'hui. IQ2TzgL.
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