THEHOUSE THAT JACK BUILT Un film de Lars von Trier. Distribution France. THE HOUSE THAT JACK BUILT. Un film de Lars von Trier. Avec Matt Dillon, Bruno Ganz,
Film Suspense, Danemark, France, Allemagne, SuÚde, Belgique, Tunisie, 2018, 2h32Moins de 16 ansVOSTHDJack revendique une soixantaine de meurtres. Cet assassin méthodique revient sur le sort qu'il a réservé à cinq femmes. Jack est fou, atteint de TOC et narcissique. Seuls les meurtres lui permettent de se soulager. Jack se prend pour un artiste, ce que conteste Verge, à qui il se confie...Avec Matt Dillon, Bruno Ganz, Uma Thurman, Siobhan Fallon Hogan, Sofie Grabol, Riley Keough, Jeremy Davies, Ed Speleers, David Bailie, Ji-tae Yu, Cohen Day, Jerker FahlströmCritiques presseUn tueur en série, qui veut élever le crime au rang des beaux-arts, revient sur cinq de ses meurtres. Lars von Trier signe une fantasmagorie noire, grotesque et inventive, riche de digressions de la provocation, von Trier se surpasse ici en s'intéressant au mal absolu. Un film volontairement provocant et insupportable mais traversé de moments de génie visuel. Le meilleur ou le pire film du cinéaste ? Il ne peut que diviser et, en ce sens, il remplit sa la navigation pour parcourir la derniÚre catégorieContinuer la navigation pour parcourir la derniÚre catégorie
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LaCasa di Jack (The House That Jack Built) - Un film di Lars von Trier. Citazioni colte, il divertissement e la camera a mano. Von Trier ricalca se stesso senza innovare. Con Matt Dillon, Bruno Ganz, Uma Thurman, Siobhan Fallon Hogan, Sofie GrÄbÞl, Riley Keough. Horror, Danimarca, Francia, Germania, Svezia, 2018. Durata 155 min. Consigli per la

Parce que le film a pour le moins suscitĂ© la polĂ©mique lors de sa projection Ă  Cannes, spectateurs quittant la salle d’un cĂŽtĂ©, longue standing ovation de l’ revendique une soixantaine de meurtres. Cet assassin mĂ©thodique revient sur le sort qu'il a rĂ©servĂ© Ă  cinq femmes. Jack est fou, atteint de TOC et narcissique. Seuls les meurtres lui permettent de se soulager. Jack se prend pour un artiste, ce que conteste Verge, Ă  qui il se confie...1 min avant2 min aprĂšsLes avis sens critiqueLes + de filmo1 min avantLars Von Trier est-il vraiment un provocateur ? Et si derriĂšre les outrances de ses films se cachait un rĂ©alisateur particuliĂšrement mal Ă  l’aise avec le monde ? Plus encore que les autres, The house that Jack built confirme l’idĂ©e d’un autoportrait d’artiste, totalement dĂ©semparĂ© face Ă  ses nĂ©vroses. Depuis Breaking the waves, quoiqu’on puisse se demander si ce n’est pas le cas depuis son premier long mĂ©trage, Element of crime, Von Trier ne cesse d’explorer les chemins de croix de personnages torturĂ©s. Le tueur en sĂ©rie de The house that Jack built fait encore moins exception Ă  cette rĂšgle mais retourne ce principe quand le rĂ©cit de son parcours meurtrier Ă  un mystĂ©rieux confesseur laisse peu Ă  peu apparaĂźtre les questionnements personnels du rĂ©alisateur plus marquĂ© qu’on le pensait par la fameuse confĂ©rence de presse cannoise de Melancholia en 2011, et son aussi grinçante que malheureuse sortie sur sa comprĂ©hension du nazisme. Pour aussi perturbant qu’il soit dans sa cruditĂ©, The house that Jack built a pourtant tout du mea culpa d’un Von Trier interrogeant le bien-fondĂ© de son travail comme de ses valeurs. Et s’il ne demande sans doute pas, Ă©gocentrisme oblige, qu’on le pardonne, cette Ă©prouvante odyssĂ©e dans l’esprit malade d’un tueur en sĂ©rie, s’avĂšre moins dĂ©rangeante que la mise Ă  nu de son auteur, l’auto-introspection de d’un Von Trier prisonnier de son enfer personnel Ă©tant Ă  l’arrivĂ©e bien plus sombre que la balade sanglante qu’elle propose. Dans le mĂȘme genre vous pouvez trouver L'ÉTRANGLEUR DE BOSTON Une autre plongĂ©e dans l'esprit d'un tueur en sĂ©rie, entre autres dans une seconde partie consacrĂ©e Ă  son interrogatoire ou encore HENRY PORTRAIT OF A SERIAL KILLER Une Ă©tude trĂšs froide d'un tueur de masse, surprenante par son ton clinique. SharkAttack-1999.MP4 - MIRROR Link. TĂ©lĂ©charger le cinĂ©mathĂšque Shark Attack 1999 L'un des impacts les plus imposants de l'industrie du streaming de films a Ă©tĂ© sur l'industrie du DVD, qui a incontestablement rencontrĂ© sa rĂ©siliation dĂšs la popularisation de la couche de secret en ligne.
À l’exception de sa pĂ©riode chrĂ©tienne marquĂ©e par Breaking the Waves, la filmographie de Lars von Trier rĂ©vĂšle une vision peu indulgente Ă  l’égard du genre humain. C’est avec une froideur mĂ©thodique et ciblĂ©e qu’il a rĂ©glĂ© ses comptes avec les AmĂ©ricains Dogville et Manderlay, le troisiĂšme Ă©pisode n’ayant pu se faire faute d’une interprĂšte consentante, les acteurs Le DirektĂžr, et les femmes, auxquelles il a consacrĂ© une trilogie complĂšte dĂ©butĂ©e avec Antichrist qui traitait de l’hystĂ©rie, tandis que les titres de Melancholia et Nymphomaniac parlaient pour eux-mĂȘmes. Mais si LVT est sĂ©vĂšre avec ses semblables, il a la dĂ©cence de se mettre dans le mĂȘme panier, Ă  la diffĂ©rence de Michael Haneke, un autre misanthrope notoire auquel on a pu le comparer. Alors que l’Autrichien est un dominateur mĂ©prisant qui aime infliger la douleur et conçoit ses films comme des punitions administrĂ©es Ă  un public masochiste, le Danois ne prend aucun plaisir Ă  traiter de sujets pĂ©nibles. Pour lui, la souffrance est le prix Ă  payer pour accomplir une oeuvre de valeur. Depuis son adolescence, von Trier a toujours admirĂ© Strindberg, dont la vie a Ă©tĂ© ponctuĂ©e de terribles crises qui coĂŻncidaient avec ses pĂ©riodes de crĂ©ativitĂ© les plus fortes. Par analogie, on peut se demander si le cinĂ©aste, lui-mĂȘme tourmentĂ© par les phobies, les crises d’angoisse, les TOC et la dĂ©pression, ne s’est pas nourri de sa maladie pour trouver l’inspiration Ă  moins qu’à l’inverse, la pratique du cinĂ©ma n’ait aggravĂ© son mal. Toujours est-il qu’il assume totalement l’impĂ©ratif de souffrir pour son artistique C’est un peu le sujet de son dernier film dans lequel il s’identifie Ă  Jack, le tueur en sĂ©rie jouĂ© par Matt Dillon. Cinq chapitres dĂ©crivent autant d’ incidents », Ă  savoir les rencontres plus ou moins fortuites avec des victimes que Jack tue aprĂšs les avoir parfois torturĂ©es. Comme le cinĂ©aste, Jack souffre de TOC, et il pratique son activitĂ© avec un perfectionnisme, une exigence et une inventivitĂ© qui lui demandent beaucoup de peine. Dans ses moments de doute, il trouve un rĂ©confort en conversant avec Verge, un personnage invisible qui peut ĂȘtre aussi bien un alter ego que la voix de sa conscience. À la fin, lorsque Verge/Virgile prend l’apparence de Bruno Ganz, on pense encore Ă  Strindberg et son Inferno, mĂȘme si de façon beaucoup plus explicite, c’est Dante qui est convoquĂ©. Lars von Trier a-t-il livrĂ© son testament artistique avec ce portrait par procuration, assorti d’images d’holocauste, d’autocitations, ainsi que d’énigmatiques extraits de concert de Glenn Gould ? Ce serait l’argument le plus convaincant de ce film qui, en dĂ©pit de la cruautĂ© de certaines images, n’appelle Ă  crier ni au scandale, ni au gĂ©nie. Au dernier Festival de Cannes, oĂč il est apparu trĂšs diminuĂ© physiquement, le cinĂ©aste dĂ©clarait qu’il n’aurait plus la force de tourner des longs mĂ©trages et envisageait une sĂ©rie de programmes courts. Il faut donc aller voir celui-ci pendant que c’est encore le dernier.
POQ2.
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